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  • von Alphonse Aulard
    14,00 - 15,90 €

  • von Alphonse Aulard
    15,90 - 24,90 €

  • von Alphonse Aulard
    14,00 €

    En 1848, la première proclamation que le gouvernement provisoire adres- sa au peuple français (24 février) se terminait par ces mots :« La Liberté, l¿Égalité et la Fraternité pour principes, le Peuple pour de- vise et mot d¿ordre, voilà le gouvernement démocratique que la France se doit à elle-même et que nos efforts sauront lui assurer. »Et, le 26 février, le même gouvernement provisoire déclara que sur le drapeau tricolore on inscrirait : République française, et Liberté, Égalité, Fraternité, « trois mots qui expliquent le sens le plus étendu des doctrines démocratiques, dont ce drapeau est le symbole, en même temps que ses cou- leurs en continuent les traditions ».La devise Liberté, Égalité, Fraternité fut donc la devise officielle de la seconde république. Abolie sous le second empire, elle fut reprise par la Ré- publique actuelle, dont elle est également la devise officielle.On semblait croire généralement, en 1848, que ç¿avait été aussi la devise officielle de la première République, ou plutôt la devise officielle de la Révo- lution française, et c¿est encore aujourd¿hui l¿idée de beaucoup de personnes.Voici quelques éléments pour l¿histoire, assez obscure, des origines et des vicissitudes de la fameuse devise.Disons d¿abord qüil n¿y eut pas de devise officielle ni de la Révolution française ni de la première République, en ce sens que ni la Constituante, ni la Législative, ni la Convention n¿imposèrent ou ne proposèrent jamais une devise nationale aux Français, comme le fit le gouvernement provisoire de 1848.

  • von Alphonse Aulard
    15,90 €

  • von Alphonse Aulard
    22,00 €

    On sait qüen l¿an II la France révolutionnaire essaya, sans y réussir, d¿abolir la religion chrétienne au moyen du culte de la Raison, puis de la remplacer par le culte de l¿Être suprême.Cette tentative étonna, en l¿effrayant, l¿Europe d¿alors ; mais, comme elle a échoué, on la trouva ensuite plus scandaleuse qüintéressante, et il a été de bon goût de présenter le culte de la Raison et le culte de l¿Être suprême comme une des plus sottes aberrations du délire révolutionnaire.Des écrivains sont venus qui ont réagi contre ces jugements trop sommaires: les uns ont cru voir dans l¿hébertisme antichrétien l¿heureuse réalisation de la pensée de l¿Encyclopédie ; les autres ont présenté le déisme robes- pierriste comme la religion qui convenait alors et qui con- viendrait encore aujourd¿hui à notre race. Le plus vrai (si- non le plus exact) des historiens de la Révolution, Michelet, a pensé que ni la sécheresse du culte de la Raison ni la froideur du culte de l¿Être suprême ne convenaient aux fils du XVIIIe siècle, et, dans cette tête pleine de Diderot, dans ce c¿ur amoureux de la France, s¿est formée l¿idée d¿une religion de la patrie et de l¿humanité, religion dont l¿esprit, s¿il avait prévalu dans la politique des gouvernants, comme il vivait secrètement, selon Michelet, dans l¿instinct populaire, eût fécondé la révolution, eût orienté l¿âme française dans un sens conforme à son génie et eût peut-être rayonné sur le monde.

  • von Alphonse Aulard
    19,90 €

    Alphonse Aulard est un historien français renommé, notamment pour ses travaux sur la Révolution française. "Le Culte de la Raison et le Culte de l'Être Suprême" est un ouvrage qui explore deux aspects importants de cette période révolutionnaire.Le "Culte de la Raison" et le "Culte de l'Être Suprême" étaient des développements significatifs pendant la Révolution française. Le premier était une tentative de promouvoir la rationalité et la laïcité, tandis que le second visait à instaurer un culte religieux de la divinité suprême, moins centré sur l'Église catholique.Alphonse Aulard examine ces deux mouvements de manière approfondie, analysant leurs origines, leurs acteurs clés et leur impact sur la société de l'époque. Il offre également des perspectives sur les débats intellectuels et les tensions politiques qui ont entouré ces développements.L'ouvrage d'Aulard contribue à la compréhension des événements complexes de la Révolution française, mettant en lumière les conflits idéologiques qui ont façonné cette période cruciale de l'histoire. Pour ceux qui s'intéressent à l'histoire politique et religieuse, cet ouvrage offre une analyse approfondie des enjeux et des débats de l'époque.

  • von Alphonse Aulard
    15,90 - 22,90 €

  • von Alphonse Aulard
    21,00 €

    " On sait qüen l¿an II la France révolutionnaire essaya, sans y réussir, d¿abolir la religion chrétienne au moyen du culte de la Raison, puis de la remplacer par le culte de l¿Être suprême.Cette tentative étonna, en l¿effrayant, l¿Europe d¿alors ; mais, comme elle a échoué, on la trouva ensuite plus scandaleuse qüintéressante, et il a été de bon goût de présenter le culte de la Raison et le culte de l¿Être suprême comme une des plus sottes aberrations du délire révolutionnaire. Des écrivains sont venus qui ont réagi contre ces jugements trop sommaires: les uns ont cru voir dans l¿hébertisme antichrétien l¿heureuse réalisation de la pensée de l¿Encyclopédie ; les autres ont présenté le déisme robes pierriste comme la religion qui convenait alors et qui con- viendrait encore aujourd¿hui à notre race. Le plus vrai (si- non le plus exact) des historiens de la Révolution, Michelet, a pensé que ni la sécheresse du culte de la Raison ni la froideur du culte de l¿Être suprême ne convenaient aux fils du XVIIIe siècle, et, dans cette tête pleine de Diderot, dans ce c¿ur amoureux de la France, s¿est formée l¿idée d¿une religion de la patrie et de l¿humanité, religion dont l¿esprit, s¿il avait prévalu dans la politique des gouvernants, comme il vivait secrètement, selon Michelet, dans l¿instinct populaire, eût fécondé la révolution, eût orienté l¿âme française dans un sens conforme à son génie et eût peut-être rayonné sur le monde. L¿investigation pénétrante d¿Edgar Quinet est arrivée à de tout autres résultats. Ce penseur ne s¿est point scandalisé de l¿impiété de nos pères, et cependant, il n¿a pas rêvé le triomphe de la libre pensée. Tout en accusant les révolutionnaires de timidité française, tout en se moquant des hésitations de ces Polyeucte prudents, qui insultaient le dogme et en avaient trop peur pour le détruite ou le changer vrai- ment, Edgar Quinet leur reproche de n¿avoir pas demandé au christianisme même la religion des temps nouveaux. Et quelle est la conclusion implicite de tant de railleries éloquentes sur la servitude intellectuelle d¿un Hébert ou d¿un Robespierre ? C¿est qüil eût fallu se borner à convertir la France de la révolution au protestantisme."

  • von Alphonse Aulard
    19,00 €

  • von Alphonse Aulard
    19,00 €

  • von Alphonse Aulard
    19,00 €

  • von Alphonse Aulard
    38,00 €

  • von Alphonse Aulard
    35,00 - 48,00 €

    This pioneering eight-volume study of the French Revolution (published 1893-1921) was the first to apply nineteenth-century historicist methods to this subject. Aulard's work included thorough evaluation of his sources and critical commentary on earlier accounts. Volume 4 focuses on Georges Jacques Danton, a leading figure in the early Revolution.

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