Große Auswahl an günstigen Büchern
Schnelle Lieferung per Post und DHL

Bücher von Camille Bellaigue

Filter
Filter
Ordnen nachSortieren Beliebt
  • von Camille Bellaigue
    29,00 €

    This scarce antiquarian book is a facsimile reprint of the original. Due to its age, it may contain imperfections such as marks, notations, marginalia and flawed pages. Because we believe this work is culturally important, we have made it available as part of our commitment for protecting, preserving, and promoting the world's literature in affordable, high quality, modern editions that are true to the original work.

  • von Camille Bellaigue
    14,00 €

    " Le p. Gralry a parlé dans les Sources de cet unique travail que l'oracle imposait à Socrate dans sa prison, pendant les quelques jours qui le séparaient de la mort, lorsqu'il lui dit ce mot que nous ne savons pas traduire : Ne faites plus que de la musique ; mot qui doit signifier qu'il faut finir sa vie dans l'harmonie sacrée. Ce travail unique a été tout le travail du P. Gratry, le travail de son esprit et de son c¿ur. Il a pratiqué, dans le sens le plus étendu et le plus noble, le précepte qu'il croyait ne pas savoir traduire, et sa vie ne s'est pas seulement achevée dans l'harmonie : elle s'y est écoulée tout entière.Harmonie de l'homme avec lui-même : accord entre les divers modes de connaître, entre les divers objets de la connaissance, entre les sciences, ou plutôt la science comparée, et la foi ; harmonie de tous les hommes et de tous les peuples entre eux par la commune obéissance aux lois évangéliques de justice et de charité : tels sont les cercles toujours élargis et comme dilatés, que le P. Gratry a remplis de lumière par sa pensée et de chaleur par son amour..."

  • von Camille Bellaigue
    14,00 €

    "... Nietzsche d'abord est le plus proche de nous. Quelques-uns d'entre nous peuvent encore le revoir en personne à travers ses ouvrages et retrouver dans ses écrits l'accent avec le timbre, - musical, dit-on, - de sa voix. Et parce qu'il fut notre contemporain, il eut sur ses devanciers, même les plus éminents, sur un Hegel, par exemple, l'avantage de connaître toute musique, y compris celle d'un âge musical entre tous, le nôtre, et de pouvoir ainsi fonder, élever sur une base pratique plus large l'appareil ou l'édifice idéal de ses spéculations..."

  • von Camille Bellaigue
    15,00 €

    "... Music is the food of love, la musique est l'aliment de l'amour, a dit Shakspeare. Langue que pour l'amour inventa le génie, a dit Musset. Avec moins de poésie et plus de finesse, Berlioz a remarqué que, si l'amour ne pouvait donner aucune idée dis la musique, la musique, au contraire, pouvait donner une certaine idée de l'amour. Oui, sans doute, une idée de l'amour, et même des idées d'amour ; elle exprime l'amour, et l'inspire.Il n'est pas étonnant que l'amour tienne dans la musique plus de place que dans les autres arts. d'abord la peinture, la sculpture, l'architecture, savent exprimer des idées et des faits. La musique, non pas ; les sentimens seuls sont de son domaine, et, de tous les sentimens, le premier, à l'ancienneté comme au choix, c'est l'amour. De plus, les sons produisent sur les nerfs un effet spécial que ne produisent ni les formes ni les couleurs, et la musique est de la sorte à la fois conseillère et interprète d'amour..." C.B.

  • von Camille Bellaigue
    15,00 €

    "...On comprend qu'au spectacle du monde physique, intellectuel et moral les philosophes aient conçu l'idée de l'évolution, et qu'ils aient dit: le changement est la loi. La nature extérieure, l'esprit et le c¿ur humain sont dans un perpétuel devenir ; hommes et choses semblent entraînés par un mouvement, par une tendance incessante. Toutes les grandes voies de l'humanité sont faites d'étapes successives et toujours renouvelées ; semées, comme les voies romaines, de pierres où les passans se reposent avant de repartir. Il est des passans qui ne reprennent pas leur chemin, qui tombent pour ne plus se relever. Les civilisations, les religions, les arts peuvent mourir; mais la civilisation, la religion et l'art ne meurent jamais. Leurs formes passagères s'usent, comme les sandales d'un éternel voyageur ; le voyageur marche toujours. Il sait que la course est longue, mais qu'un jour peut-être il touchera la terre promise..." C.B.

  • von Camille Bellaigue
    15,00 €

    " ... Son caractère est ouvert, gai, vif quelquefois jusqu'à la pétulance, un peu mobile, néanmoins excellent. À tout considérer, c'est un enfant aimable, qui donnera de la satisfaction à ses maîtres et deviendra la consolation et l'orgueil de sa mère. Voilà le premier portrait de Gounod. Daté du 30 mars 1829, il est signé d'Hallays-Dabot, directeur de la pension que l'écolier de onze ans quittait alors pour entrer au lycée Saint-Louis. Quelques mois plus tard, le soir de la Saint-Charlemagne, après deux heures d'attente sous la neige de janvier, le petit garçon pénétrait pour la première fois dans la salle du Théâtre-Italien. Il y entendit Otello, et la musique lui fut révélée. Par quelle page de l'¿uvre ? On aime à croire que ce fut par la plus belle, par l'immortelle plainte qu'avec admiration, peut-être avec reconnaissance, Gounod devait rappeler un jour, en invoquant sur la tombe de Rossini le triste et doux gondolier de Desdemona ..."" ... Son caractère est ouvert, gai, vif quelquefois jusqu'à la pétulance, un peu mobile, néanmoins excellent. À tout considérer, c'est un enfant aimable, qui donnera de la satisfaction à ses maîtres et deviendra la consolation et l'orgueil de sa mère. Voilà le premier portrait de Gounod. Daté du 30 mars 1829, il est signé d'Hallays-Dabot, directeur de la pension que l'écolier de onze ans quittait alors pour entrer au lycée Saint-Louis. Quelques mois plus tard, le soir de la Saint-Charlemagne, après deux heures d'attente sous la neige de janvier, le petit garçon pénétrait pour la première fois dans la salle du Théâtre-Italien. Il y entendit Otello, et la musique lui fut révélée. Par quelle page de l'¿uvre ? On aime à croire que ce fut par la plus belle, par l'immortelle plainte qu'avec admiration, peut-être avec reconnaissance, Gounod devait rappeler un jour, en invoquant sur la tombe de Rossini le triste et doux gondolier de Desdemona ..."

  • von Camille Bellaigue
    15,00 €

    " En 1524 selon le témoignage déjà ancien de l'abbé Baini, en 1526 d'après les plus récentes recherches du docteur Haberl, Clément VII étant pape et Charles-Quint empereur, naquit à Palestrina, au pied des montagnes de Sabine, l'enfant qui devait faire un jour sien et célèbre à jamais le nom de sa ville natale. Il s'appelait Giovanni Pierluigi. Ses parents, Santi Pierluigi et Maria Ghismondi, étaient de petits bourgeois et possédaient un peu de bien : une maisonnette avec quelques châtaigniers, sur les pentes escarpées d'où la bourgade qui fut Préneste regarde encore les horizons romains..."

  • von Camille Bellaigue
    18,00 €

    " Comment n¿a-t-on joué que deux fois en France, et dans de médiocres conditions, cette ¿uvre admirable et déjà trentenaire ? Pourquoi surtout ne l¿avoir pas exécutée l¿année dernière, à la mémoire de L¿illustre musicien qui venait de mourir ? Sinon dans une église, où peut-être n¿eût pas été admis un Requiem allemand, du moins dans cette salle, dans ce temple de beauté maintenant fermé : au Conservatoire. Là furent jouées pour la première fois les symphonies de ce Beethoven que Brahms aimait tant et que parfois il rappelle. J¿aurais souhaité que cet hommage, en ce lieu, fût rendu au grand disciple du plus grand des maîtres.De l¿aveu général, le Requiem allemand est l¿¿uvre maîtresse de Brahms. A trente années de distance, cette musique apparaît très pure, très pieuse, à la fois puissante et douce. Volontairement isolée, contemporaine et indépendante de la réforme wagnérienne, on dirait qüelle l¿ignore ou la dédaigne. Elle ne proteste pas ; elle atteste seulement qüen dehors d¿un mouvement en apparence irrésistible, au-dessus d¿un flot qui menaçait de tout engloutir, quelque chose de grand a pu naître, et demeure. Le Requiem allemand, c¿est un sommet très haut, très fier, et non submergé."

  • von Camille Bellaigue
    33,00 €

Willkommen bei den Tales Buchfreunden und -freundinnen

Jetzt zum Newsletter anmelden und tolle Angebote und Anregungen für Ihre nächste Lektüre erhalten.