Große Auswahl an günstigen Büchern
Schnelle Lieferung per Post und DHL

Bücher von Charles-Augustin Sainte-Beuve

Filter
Filter
Ordnen nachSortieren Beliebt
  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    9,00 €

    Au début de 1833 parut à Paris un ouvrage en deux vo- lumes dont il importe de donner le titre complet : Mélanges politiques et philosophiques extraits de la correspondance de Thomas Jefferson, précédés d'un essai sur les principes de l'école américaine et d'une traduction de la constitution des États-Unis, avec un commentaire tiré, pour la plus grande partie, de l'ouvrage publié, sur cette constitution par William Rawle, L. L. D. ; par L.-P. Conseil. Le titre de l'introduction précisait encore plus l'intention du traducteur : « Essai sur les mémoires et la correspondance de Jefferson, considérés comme l'expression la plus complète et la plus pure des principes de l'école américaine. » Cet essai ne comptait pas moins de 184 pages et l'auteur ne dissimulait nullement « qu'en travaillant à préciser le sens que l'on doit attacher au mot de république, » il s'était flatté qu'il parviendrait « à faire aimer la chose à ceux qui paraissent n'avoir besoin que de la mieux connaître pour s'y attacher. » Pour L.-P. Conseil, en effet, à toutes les critiques que l'on aurait pu opposer à la conception républicaine s'opposait non pas une théorie mais un fait : de l'autre côté de l'Atlantique, une nation puissante offre, depuis cinquante ans, à l'étude et à l'imitation des hommes, l'exemple d'une république organisée comme à dessein pour fournir une réponse vivante à toutes les objections des détracteurs de cette forme de gouvernement."

  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    9,99 €

    Écrire la vie de M. de Talleyrand n'est guère chose possible, et je ne crois pas que la publication de ses Mémoires tant désirés et tant ajournés, si elle se fait jamais, y aide beaucoup. Acteur consommé, M. de Talleyrand, plus encore qu'aucun autre auteur de Mémoires, aura écrit pour colorer sa vie, non pour la révéler; s'il avait l'àpropos en toutet savait ce qu'il faut dire, il savait encore mieux ce qu'il faut taire. Les rares privilégiés qui ont entendu quelques parties de ces fameux Mémoires ont paru surtout enchantés et ravis d'un récit de première communion (la première communion de M. de Talleyrand!) et de ses premières amours de séminaire: ce sont là en France decharmantes amorces, et qui prennent tout lecteur par son faible. Ce maître accompli en l'art de séduire et de plaire aura certes bien su ce qu'il faisait en triomphant de sa paresse pour écrire. Mais ce n'est point la vie de M. de Talleyrand que sir Henry Bulwer a eu dessein de retracer[]; il a choisi exclusivement l'homme public, et chez celuici les principaux moments, et pas tous ces moments encore au même degré. Il s'était proposé pour étude un certain nombre de personnages qu'il appelle représentatifs d'une idée,d'une doctrine ou d'une forme de caractère, et M. de Talleyrand tout le premier lui a paru un de ces types les plus curieux. Envisagé à ce point de vue, l'essai de sir Henry Bulwer, sans être complet, est tout à fait digne de l'homme d'État distingué qui l'a écrit, et il est piquant, pour nous Français, autant qu'instructif, de voir des événements et des hommes avec lesquels nous sommes familiers, jugés dans un esprit élevé et indépendant, par un étranger, qui d'ailleurs connaît si bien la France et qui, de tout temps, en a beaucoup aimé le séjour et la société, sinon les gouvernements et la politique.

  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    9,99 €

    «Le Clou d'or» est un petit roman épistolaire, des lettres d'un homme à une femme. Il l'aime, elle ne l'aime pas comme il voudrait. Elle veut «en rester aux fleurs», il veut «le fruit». Alors, il cajole, supplie, tempête, menace. Tour à tour on est ému... et on le trouve insupportable. Et la femme ? Estce une «timorée» qui craint pour sa position sociale comme l'auteur veut en faire l'archétype? Ou, comme le dit son personnage, madame de S..., «le plus sûr moyen de garder toujours l'ami [ne seraitil pas] de lui résister toujours. Combien de fois l'amour commencetil plus sérieux chez la femme en ce moment où le désir satisfait s'éteint chez l'homme? ». Ou encore jouetelle du plaisir narcissique d'avoir un poursuivant qui s'obstine? Ou au contraire, lassée, désire telle s'en séparer mais en le ménageant pour qu'il ne fasse pas d'éclat? On ne sait... mais l'histoire est vieille comme le monde. «Le pendule», dédié à Töpffer, écrivain et protobédéiste genevois contemporain de l'auteur, est l'histoire ¿ narrée au travers des visites périodiques d'un horloger réglant ses pendules à domicile ¿ d'une jeune femme que son amant abandonne. Elle tombe malade puis les années passant retrouve quelqu'un d'autre. Un même grand amour?

Willkommen bei den Tales Buchfreunden und -freundinnen

Jetzt zum Newsletter anmelden und tolle Angebote und Anregungen für Ihre nächste Lektüre erhalten.