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Bücher von Charles-Augustin Sainte-Beuve

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  • - Tome III
    von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    22,90 €

    "Portraits Littéraires, Tome III" est la troisième partie de la série d'essais écrite par Charles Augustin Sainte-Beuve, un critique littéraire français du XIXe siècle. Cette série, intitulée "Portraits littéraires", constitue une collection d'analyses et de critiques littéraires où Sainte-Beuve explore la vie et l'oeuvre de divers écrivains contemporains de son époque. Comme dans les tomes précédents, les essais de Sainte-Beuve dans le "Tome III" adoptent une approche personnelle et psychologique de la critique littéraire. Il cherche à établir des liens entre la vie des écrivains et leurs oeuvres, offrant ainsi une perspective plus complète sur la création artistique. L'ensemble de la série "Portraits Littéraires" de Sainte-Beuve est considéré comme une contribution significative à la critique littéraire du XIXe siècle en France, offrant des perspectives profondes sur la vie intellectuelle et littéraire de l'époque.

  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    9,99 €

    Écrire la vie de M. de Talleyrand n'est guère chose possible, et je ne crois pas que la publication de ses Mémoires tant désirés et tant ajournés, si elle se fait jamais, y aide beaucoup. Acteur consommé, M. de Talleyrand, plus encore qu'aucun autre auteur de Mémoires, aura écrit pour colorer sa vie, non pour la révéler; s'il avait l'àpropos en toutet savait ce qu'il faut dire, il savait encore mieux ce qu'il faut taire. Les rares privilégiés qui ont entendu quelques parties de ces fameux Mémoires ont paru surtout enchantés et ravis d'un récit de première communion (la première communion de M. de Talleyrand!) et de ses premières amours de séminaire: ce sont là en France decharmantes amorces, et qui prennent tout lecteur par son faible. Ce maître accompli en l'art de séduire et de plaire aura certes bien su ce qu'il faisait en triomphant de sa paresse pour écrire. Mais ce n'est point la vie de M. de Talleyrand que sir Henry Bulwer a eu dessein de retracer[]; il a choisi exclusivement l'homme public, et chez celuici les principaux moments, et pas tous ces moments encore au même degré. Il s'était proposé pour étude un certain nombre de personnages qu'il appelle représentatifs d'une idée,d'une doctrine ou d'une forme de caractère, et M. de Talleyrand tout le premier lui a paru un de ces types les plus curieux. Envisagé à ce point de vue, l'essai de sir Henry Bulwer, sans être complet, est tout à fait digne de l'homme d'État distingué qui l'a écrit, et il est piquant, pour nous Français, autant qu'instructif, de voir des événements et des hommes avec lesquels nous sommes familiers, jugés dans un esprit élevé et indépendant, par un étranger, qui d'ailleurs connaît si bien la France et qui, de tout temps, en a beaucoup aimé le séjour et la société, sinon les gouvernements et la politique.

  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    9,99 €

    «Le Clou d'or» est un petit roman épistolaire, des lettres d'un homme à une femme. Il l'aime, elle ne l'aime pas comme il voudrait. Elle veut «en rester aux fleurs», il veut «le fruit». Alors, il cajole, supplie, tempête, menace. Tour à tour on est ému... et on le trouve insupportable. Et la femme ? Estce une «timorée» qui craint pour sa position sociale comme l'auteur veut en faire l'archétype? Ou, comme le dit son personnage, madame de S..., «le plus sûr moyen de garder toujours l'ami [ne seraitil pas] de lui résister toujours. Combien de fois l'amour commencetil plus sérieux chez la femme en ce moment où le désir satisfait s'éteint chez l'homme? ». Ou encore jouetelle du plaisir narcissique d'avoir un poursuivant qui s'obstine? Ou au contraire, lassée, désire telle s'en séparer mais en le ménageant pour qu'il ne fasse pas d'éclat? On ne sait... mais l'histoire est vieille comme le monde. «Le pendule», dédié à Töpffer, écrivain et protobédéiste genevois contemporain de l'auteur, est l'histoire ¿ narrée au travers des visites périodiques d'un horloger réglant ses pendules à domicile ¿ d'une jeune femme que son amant abandonne. Elle tombe malade puis les années passant retrouve quelqu'un d'autre. Un même grand amour?

  • von Charles-Augustin Sainte-Beuve
    38,00 €

    »Vor einer Stunde ... erhielt ich die Menschen des 18. Jahrhunderts ... es entzückte mich ... Ich glaube, ich habe geweint, und es müsste sonderbar zugehen, wenn dieses kleine gute Buch nicht manchem Anderen die Empfindung dergestalt erregte.« Friedrich NietzscheIst Charles-Augustin Sainte-Beuve, dieser berühmte, verehrte wie angefeindete französische Literaturkritiker des 19. Jahrhunderts heute in Deutschland passé? Als er 1869 in Paris starb, fast so alt wie das Jahrhundert, da fragte Gustave Flaubert, mit wem er sich jetzt noch über Literatur unterhalten könne. Marcel Prousts Buch Contre Sainte-Beuve hat den Nachruhm kompromittierend befördert - in Deutschland ist heute so gut wie kein Buch dieses enorm einflussreichen Intellektuellen erhältlich.Ausgerechnet Friedrich Nietzsche, eigentlich auch ein Gegner von Sainte-Beuve, ermutigte Ida Overbeck, einige Texte aus den Causeries du lundi, den regelmäßigen Montagskritiken, zu übertragen: 1880 erschien erstmals dieses kulturgeschichtliche Dokument Menschen des XVIII. Jahrhunderts. Sainte-Beuve ermöglicht mit seinen Studien markanter Persönlichkeiten tiefe Einblicke in die Welt der französischen Aufklärung - er erkundet die Lebens-, Denk- und Schreibformen von Fontenelle, Montesquieu, Mme de Grafigny und Voltaire, Mme du Châtelet, Mme Latour-Franqueville und Rousseau, Diderot, Vauvenarges, Mlle de Lespinasse und Beaumarchais. Es entsteht ein Epochenporträt in seinen individuellen Ausprägungen: für uns eine bisher verborgen gebliebene neue Aussicht auf das 18. Jahrhundert; elegant, eindringlich und unterhaltsam erzählt.Die vollständige Neuausgabe ist kommentiert, aber ohne gelehrten Ballast; zu einer ausführlichen Einleitung gesellen sich Auszüge aus unpublizierten Nachlass-Aufzeichnungen von Ida und Franz Overbeck, die die Geschichte der damals wie heute kühnen Sainte-Beuve-Unternehmung erhellen.Der Editor Andreas Urs Sommer, geboren 1972, lehrt als Professor für Philosophie an der Albert-Ludwig-Universität in Freiburg. Von ihm erschienen in der Anderen Bibliothek Die Kunst selber zu denken (Band 214) und Lexikon der imaginären philosophischen Werke (Band 326).

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