Bücher von Gemael Yanick Mboumba Mboumba

Les populations des quartiers de Kinsoundi et Massina ont une bonne connaissance de l¿érosion, à travers l¿énumération des causes, des manifestations (des ravinements régressifs très spectaculaires, des déchaussements des fondations des maisons et des arbres) et des effets qui s¿en suivent (perte des logements, agrandissement des terres marginales, accidents divers avec ou sans perte des vies humaines, ensablement des lieux ou des cases d¿habitation, des frayères au niveau des cours d¿eau, rupture des digues,...). Malgré cette perception des risques érosifs par les populations, celles-ci occupent ces lieux précaires en raison des coûts d¿acquisition relativement abordables. Elles se contentent des mesures palliatives, en raison de leur vulnérabilité économique et ne sont pas en mesure de mettre en ¿uvre les méthodes de lutte efficace et onéreuse, qui nécessitent l¿intervention de l¿État. Du reste, l¿étude estime que la présence de l¿homme sur ces sites fragiles, crée davantage des conditions favorables à l¿aggravation du phénomène érosif. L¿habitat étant vulnérable, les toits des maisons augmentent le volume des eaux qui tombent directement sur le sol et la disposition des voiries.

Une érosion hydrique aux conséquences catastrophiques, notamment la destruction des infrastructures, des équipements publics et des surfaces constructibles, l¿ensablement et la pollution des cours d¿eau. Toutefois, en dépit des efforts réels, moins efficaces, consentis aussi par l¿État que par la population, les sols continuent à se dégrader sous l¿effet des eaux de ruissellement, important parfois les ouvrages anti-érosifs. L¿objectif du travail de terrain consisté, à observer et décrire le phénomène de l¿érosion, à mesurer les dimensions moyennes (longueur, largeur, hauteur) des principales formes de ravinement. Ces mesures ont permis de calculer les superficies des formes puis les volumes des vides créés. Par ailleurs, les bassins de la Tsiémé et de la Mfilou, sur lesquels se sont développés plusieurs quartiers de Matari, Jacques Opagault, Itsali, Massina et Mpiéré, font l¿objet d¿un intense ravinement dû au ruissellement des eaux de pluie. Ce qui signifie que ces quartiers sont victimes d¿une érosion très dynamique avec son lot de dégâts. En outre, bien que l¿intensité pluviométrique en soit la principale cause, cette érosion est aussi amplifiée par d¿autres facteurs.

Amerykäski filozof John Rawls powróci¿ do niej i zaproponowä now¿ perspektyw¿ sprawiedliwo¿ci opartej na sprawiedliwo¿ci spo¿ecznej. Takie oparcie sprawiedliwo¿ci na s¿uszno¿ci oznacza nadziej¿, ¿e zasady ustalone wspólnie przez partnerów pod "zas¿on¿ niewiedzy" nie b¿d¿ mog¿y by¿ przez nich naruszone lub zakwestionowane, gdy zaangäuj¿ si¿ w ¿ycie cywilne. W tym celu konsekwencj¿ jest solidarno¿¿, która ¿¿czy ró¿nych partnerów. Ta solidarno¿¿ nie prowadzi do równo¿ci szans, ale do sprawiedliwej równo¿ci szans, aby dä kädemu szans¿ na sukces i rozwój. Zak¿ada to zatem utworzenie podstawowych struktur, którymi s¿ podstawowe instytucje. W ten sposób, poprzez zasad¿ równej wolno¿ci, John Rawls pokazuje, ¿e wolno¿¿ jest ¿wi¿t¿ zasad¿, która musi by¿ przyznana i zagwarantowana jednostkom bez ogranicze¿. Poprzez zasad¿ ró¿nicy autor Teorii sprawiedliwo¿ci wskazuje, ¿e walka z nierówno¿ciami spo¿ecznymi rozpoczyna si¿ od podniesienia warstw mniejszo¿ciowych.