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Bücher von Jean-Jacques Stormay

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  • von Jean-Jacques Stormay
    14,00 €

    Charles de Koninck est probablement le philosophe qui a le mieux parlé du bien commun parmi les thomistes, en ce sens qu'il a montré que le bien commun est le meilleur du bien particulier, en tant même qu'il est commun, à savoir en tant qu'il est aussi le bien d'un autre. Il a raison de cause finale, il appelle d'être aimé comme commun parce que sa communicabilité est indissociable de sa perfection. Mais de Koninck et les catholiques traditionalistes en général ¿ dont le Père Garrigou-Lagrange, qui subordonnait la société à la personne ¿ ne comprennent pas qu'un bien puisse avoir raison de cause finale sans être cause finale ultime.Il n'est qu'une manière cohérente de soutenir la supériorité intrinsèque du bien commun sur le bien particulier, et de conserver à celui-là, en tant que politique le privilège du statut de cause finale ; c'est d'établir que ¿ à la manière dont, analogiquement, un mobile est tout entier quoique non totalement dans chacun des moments intermédiaires de son mouvement ¿ la personne est tout entière quoique non totalement ordonnée au bien commun terrestre comme à sa fin, tout entière et totalement ordonnée au Souverain Bien qu'est la béatitude comme à sa fin ultime.Ce fascicule est un tiré à part de l'Annexe du livre Doctrine du Fascisme Catholique, en abrégé.

  • - Doctrine elementaire du bien commun
    von Jean-Jacques Stormay
    25,00 €

    Le mondialisme satanique est l'horizon de plus en plus visible de l'histoire contemporaine frénétiquement secouée par des aspirations eschatologiques dévoyées, vécues sur le mode d'un collapsus mortifère de toutes les identités nationales traditionnelles. Le mondialisme est satanique parce qu'il est la forme politique que se donne l'homme révolté pour procéder à une réalisation terrestre du Souverain Bien, c'est-à-dire du Royaume qui pourtant, par essence, n'est pas de ce monde. L'imminence d'un tel danger invite les croyants, les patriotes et plus généralement tous les hommes de bonne volonté attachés à l'ordre des choses, à se tourner, pour le conjurer, vers des solutions exclusivement non politiques (telle la prière). Quand, par ailleurs, le souci de la chose politique n'est pas négligé, ils ont recours à des solutions théologico-politiques orientées vers le service du Bien commun transcendant et séparé, au détriment du service d'un bien commun immanent supposé solidaire, à cause de son immanence, de la pathologie mondialiste, à tout le moins tenu pour impuissant à la détruire. L'objet du présent travail, qui prolonge notre Réflexions sur le nationalisme : En relisant 'Doctrines du nationalisme' de Jacques Poncard d'Assac, est de montrer que ces solutions sont ou bien illusoires, ou bien insuffisantes. L'organicité politique, adéquatement thématisée dans la doctrine bien comprise du nationalisme, demeure, plus que jamais, la médiation obligée entre nature et surnature, vie terrestre et fins dernières. Et toute tentative de conjurer le mondialisme en faisant l'économie d'une réhabilitation de l'organicité nationaliste est vouée à l'échec.

  • - Manuel de combat du traditionalisme revolutionnaire
    von Jean-Jacques Stormay
    52,00 €

  • - En relisant 'Doctrines du nationalisme' de Jacques Ploncard d'Assac
    von Jean-Jacques Stormay
    29,00 €

  • - Pour une pensee liberee de la tyrannie judeo-maconnique
    von Jean-Jacques Stormay
    48,00 €

    Pour l'homme de droite, il existe un ordre des choses dont la liberté ne décide pas et auquel elle a vocation à se conformer. La politique est science architectonique dans l'ordre pratique, la métaphysique est science architectonique dans l'ordre spéculatif. Et c'est encore un principe de la pensée traditionnelle ¿ ainsi de la « philosophia perennis » expressive de l'ordre des choses ¿ que la pratique soit subordonnée à la contemplation. Or l'ordre dit la disposition des choses en vue d'une fin ; c'est donc l'activité spéculative, voulue pour elle-même, qui, en droit, fixe leurs contenus et leurs limites aux autres activités humaines, mais qui en retour, s'anticipant en elles de manière obligée, se fait conditionner par leurs exigences propres. Le politique admet ainsi des limites que lui prescrit son essence, et dont le respect est la garantie de sa rectitude et de son efficacité. Tout ne relève pas par essence du politique, maints domaines lui échappent. Mais tout est dépendant du politique, soit qu'il le prépare et s'y ordonne (auquel cas le politique s'anticipe en lui en le conditionnant), soit qu'il le transcende (auquel cas c'est lui qui s'anticipe dans le politique en le déterminant par les fins qu'il lui prescrit, non sans se faire affecter par ce à quoi il se rend immanent), et dans les deux cas le politique marque de ses besoins spécifiques les sphères avec lesquelles il est en relation. C'est pourquoi il existe une manière propre à l'esprit de droite de résoudre les questions relevant de l'esthétique, de la connaissance scientifique, de la morale, de l'économie, de la pédagogie, de l'évolution des techniques, de la religion, du langage, des relations intersubjectives et des différents thèmes évoqués par l'étude de la psychologie des facultés. Afin d'illustrer la manière dont un homme de droite s'efforce à penser quand il ne fait pas directement de la politique, l'auteur s'est plu ici à traiter, dans un climat libéré de toute contrainte académique ¿ c'est-à-dire, concrètement, du joug de la « political correctness » ¿ des sujets de dissertations et de commentaires de philosophie générale. Veuille le lecteur lui faire l'honneur de prendre part au plaisir qu'il a pris à les rédiger.

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