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  • von Simone Weil
    33,00 €

    Introducing the Selected Works of Simone Weil

  • von Simone Weil
    16,00 €

    Il ne dépend pas de nous de croire en Dieu, mais seulement de ne pas accorder notre amour à de faux dieux. Premièrement, ne pas croire que l'avenir soit le lieu du bien capable de combler. L'avenir est fait de la même substance que le présent. On sait bien que ce qu'on a en fait de bien, richesse, pouvoir, considération, connaissances, amour de ceux qu'on aime, prospérité de ceux qu'on aime, et ainsi de suite, ne suffit pas à satisfaire. Mais on croit que le jour où on en aura un peu plus on sera satisfait. On le croit parce qu'on se ment à soi-même. Car si on y pense vraiment quelques instants on sait que c'est faux. Ou encore si on souffre du fait de la maladie, de la misère ou du malheur, on croit que le jour où cette souffrance cessera on sera satisfait. Là encore, on sait que c'est faux ; que dès qu'on s'est habitué à la cessation de la souffrance on veut autre chose...

  • von Simone Weil
    19,00 €

    ... Quand la liberté d'expression se ramène en fait à la liberté de propagande pour les organisations de ce genre, les seules parties de l'âme humaine qui méritent de s'exprimer ne sont pas libres de le faire. Ou elles le sont à un degré infinitésimal, à peine davantage que dans le système totalitaire.Or c'est le cas dans une démocratie où le jeu des partis règle la distribution du pouvoir, c'est-à-dire dans ce que nous, Français, avons jusqu'ici nommé démocratie. Car nous n'en connaissons pas d'autre. Il faut donc inventer autre chose.Le même critérium, appliqué d'une manière analogue à toute institution publique, peut conduire à des conclusions également manifestes...

  • von Simone Weil
    20,00 €

    Sie ist erst 33 Jahre alt und wird ein Jahr später sterben, als sie im April und Mai 1942 ihren wichtigsten spirituellen Text verfasst. Das Unglück und die Gottesliebe erschien posthum mit einem Vowort von T.S. Eliot. Das Unglück - in Form von physischem oder seelischem Schmerz, aber auch sozialer Erniedrigung - enwurzelt den Menschen so sehr, dass der von ihm Betroffene das Ganze seines Leben nicht mehr einzuordnen vermag und es als sinnlos empfindet. Um nicht vollständig vom Unglück zerrissen zu werden, muss der Mensch das, was ihm auferlegt ist, annehmen und ihm zustimmen. Dies gelingt ihm jedoch nur dann, wenn er sich etwas Größerem unterordnet. Das kann nur Gott sein, bzw. übernatürliche Liebe. So ist das Mysterium des Unglücks das Erleben einer religiösen Erfahrung und ein mystischer Weg in die Gottesliebe, die ihm verwehrt bliebe, wenn er von sich aus danach strebte, denn das Tor zu Gott ist unmöglich zu öffnen - es sei denn, es wird von innen geöffnet. So braucht es Geduld, um die Erfahrung der Liebe Gottes zu machen, die einem geschenkt oder vorenthalten wird, aber auf keinen Fall zu erwerben ist. Voraussetzung ist das Aufmerken, aufmerksam sein, anderen gegenüber, der Natur, den Armen, den Verstoßenen gegenüber. Aufmerksamkeit ist ein Kraftfeld, in dem das Ich kleiner wird und das Du immer größer. Aufmerksamkeit ist der Weg zu Gott.

  • von Simone Weil
    68,00 - 223,00 €

  • von Simone Weil
    18,00 €

    Ce recueil est formé de traductions du grec et d'études ou de fragments d'études concernant la pensée grecque. Deux de ces études sont des articles que Simone Weil publia dans des revues. Les autres textes sont tirés de ses cahiers.

  • von Simone Weil
    20,00 €

    Le moment depuis longtemps prévu est arrivé, où le capitalisme est sur le point de voir son développement arrêté par des limites infranchissables. De quelque manière que l'on interprète le phénomène de l'accumulation, il est clair que capitalisme signifie essentiellement expansion économique et que l'expansion capitaliste n'est plus loin du moment où elle se heurtera aux limites mêmes de la surface terrestre. Et cependant jamais le socialisme n'a été annoncé par moins de signes précurseurs. Nous sommes dans une période de transition ; mais transition vers quoi ? Nul n'en a la moindre idée...

  • von Simone Weil
    18,00 €

    ... Il me semble que la volonté de Dieu n'est pas que j'entre dans l'Église présentement. Car, je vous l'ai déjà dit, et c'est encore vrai, l'inhibition qui me retient ne se fait pas moins fortement sentir dans les moments d'attention, d'amour et de prière que dans les autres moments. Et cependant j'ai éprouvé une très grande joie à vous entendre dire que mes pensées, telles que je vous les ai exposées, ne sont pas incompatibles avec l'appartenance à l'Église, et que par suite je ne lui suis pas étrangère en esprit...

  • von Simone Weil
    24,00 €

    Ce livre est composé avec le contenu des derniers cahiers de Simone Weil. Ce sont, comme on le verra, en majeure partie, des pensées, des ébauches d'¿uvres, des notes de lecture, mais aussi quelques bibliographies et des citations. Il y a sept cahiers et un carnet. Les cahiers sont de la période qui va du départ de Marseille pour le Maroc le 17 mai 1942, au départ des États-Unis pour l'Angleterre le 10 novembre 1942.

  • von Simone Weil
    21,00 €

    L'humanité a commencé, comme chaque homme commence, par ne posséder aucune connaissance, hors la conscience de soi et la perception du monde. Cela lui suffisait, comme cela suffit encore aux peuples sauvages, ou, parmi nous, aux travailleurs ignorants, pour savoir se diriger dans la nature et parmi les hommes autant qu'il était nécessaire pour vivre. Pourquoi désirer plus ? Il semble que l'humanité n'aurait jamais dû sortir de cette heureuse ignorance, ni, pour citer Jean-Jacques, se dépraver au point de se mettre à méditer. Mais cette ignorance, c'est un fait qu'autant que nous pouvons savoir jamais l'humanité n'a eu proprement à en sortir, car jamais elle ne s'y est renfermée...

  • von Simone Weil
    17,00 €

    La période présente est de celles où tout ce qui semble normalement constituer une raison de vivre s'évanouit, où l'on doit, sous peine de sombrer dans le désarroi ou l'inconscience, tout remettre en question. Que le triomphe des mouvements autoritaires et nationalistes ruine un peu partout l'espoir que de braves gens avaient mis dans la démocratie et dans le pacifisme, ce n'est qu'une partie du mal dont nous souffrons ; il est bien plus profond et bien plus étendu...

  • von Simone Weil
    22,00 €

    ... Il y a dans le travail des mains et en général dans le travail d'exécution, qui est le travail proprement dit, un élément irréductible de servitude que même une parfaite équité sociale n'effacerait pas. C'est le fait qu'il est gouverné par la nécessité, non par la finalité. On l'exécute à cause d'un besoin, non en vue d'un bien ; parce qu'on a besoin de gagner sa vie , comme disent ceux qui y passent leur existence. On fournit un effort au terme duquel, à tous égards, on n'aura pas autre chose que ce qu'on a. Sans cet effort, on perdrait ce qu'on a...

  • von Simone Weil
    21,00 €

    La notion d'obligation prime celle de droit, qui lui est subordonnée et relative. Un droit n'est pas efficace par lui-même, mais seulement par l'obligation à laquelle il correspond ; l'accomplissement effectif d'un droit provient non pas de celui qui le possède, mais des autres hommes qui se reconnaissent obligés à quelque chose envers lui. L'obligation est efficace dès qu'elle est reconnue. Une obligation ne serait-elle reconnue par personne, elle ne perd rien de la plénitude de son être. Un droit qui n'est reconnu par personne n'est pas grand'chose...

  • von Simone Weil
    16,00 €

    L'humanité a commencé, comme chaque homme commence, par ne posséder aucune connaissance, hors la conscience de soi et la perception du monde. Cela lui suffisait, comme cela suffit encore aux peuples sauvages, ou, parmi nous, aux travailleurs ignorants, pour savoir se diriger dans la nature et parmi les hommes autant qu'il était nécessaire pour vivre. Pourquoi désirer plus ? Il semble que l'humanité n'aurait jamais dû sortir de cette heureuse ignorance, ni, pour citer Jean-Jacques, se dépraver au point de se mettre à méditer...

  • von Simone Weil
    16,00 €

    L'ouvrage intitulé Réflexions sur les causes de la liberté et de l'oppression sociale est un essai de la philosophe française Simone Weil, écrit en 1934 et publié en 1955 dans le recueil Oppression et liberté, dans la collection « Espoir » que dirigeait Albert Camus aux éditions Gallimard. Comme tous les livres de Weil, il a été publié à titre posthume. Il s'agit, avec L'Enracinement, de l'¿uvre philosophique la plus importante de Weil, qui la désignait comme son « grand ¿uvre » ou son « testament ». L'essai comporte une introduction, puis quatre sections centrales, intitulées respectivement « Critique du marxisme », « Analyse de l'oppression », « Tableau théorique d'une société libre » et « Esquisse de la vie contemporaine », suivies d'une conclusion.De manière générale, Simone Weil se demande dans cet essai à quelles conditions le travail peut constituer un acte libre. Toutefois, le passage de l'oppression à la liberté ne réside pas, selon elle, dans l'abolition du travail, malgré ce que pourraient croire les utopistes qui rêvent d'une société des loisirs, ni dans la libération du travail humain par la machine, contrairement à ce que les adeptes du progrès technique pourraient s'imaginer. Car il ne s'agit pas, selon Weil, de libérer les êtres humains de toute forme de travail ; même si c'était possible, ce n'est nullement souhaitable. Elle affirme en effet que « la notion du travail considéré comme une valeur humaine est sans doute l'unique conquête spirituelle qu'ait faite la pensée humaine depuis le miracle grec7 ». Le travail a une valeur en soi et doit tenir une place primordiale dans la vie humaine ; suivant les derniers mots de Weil dans L'Enracinement, soit neuf ans après la rédaction des Réflexions, « il est facile de définir la place que doit occuper le travail physique dans une vie sociale bien ordonnée. Il doit en être le centre spirituel8 ».Il s'agit donc de redonner au travail la valeur qui est la sienne, celle d'une « conquête spirituelle » ou d'un « centre spirituel » dans la vie humaine. C'est à cette condition que pourrait apparaître une société d'hommes libres, car leurs actions procéderaient de la pensée méthodique plutôt que de dépendre de leurs désirs et de leurs craintes. En concevant le travail selon sa valeur propre, l'être humain sort de l'imaginaire et se confronte à la réalité, c'est-à-dire au vrai rapport qui définit sa liberté, celui entre l'acte et la réflexion qui le guide. Weil affirme en effet que la liberté ne consiste pas à satisfaire ses désirs et à ignorer ses craintes ; il s'agit là d'un esclavage. La liberté véritable se définit plutôt « par un rapport entre la pensée et l'action ». En ce sens, « serait tout à fait libre l'homme dont toutes les actions procéderaient d'un jugement préalable concernant la fin qu'il se propose et l¿enchaînement des moyens propres à amener cette fin9 ».Ainsi, libérer les travailleurs de l'oppression revient en fait à libérer le travail lui-même des conceptions erronées que l'on entretient à son propos. Weil crédite Francis Bacon d'avoir fait apparaître la valeur humaine du travail, notamment par la formule selon laquelle « l'homme commande à la nature en lui obéissant ». Cette formule « suffit pour définir le travail véritable, celui qui fait les hommes libres, et cela dans la mesure même où il est un acte de soumission consciente à la nécessité ». Weil refuse en définitive que le travail soit vu comme une « désespérante malédiction », c'est-à-dire « comme la marque de l'esclavage et de l'abjection des hommes10 », ainsi que le suppose la Genèse.

  • von Simone Weil
    34,00 €

    In Intimations of Christianity Among the Ancient Greeks Weil apply her unique, piercing intellect to early Greek thought, where she finds precursors to Christianity. This Routledge Classics edition includes a new Foreword by Christopher Hamilton.

  • von Simone Weil
    19,90 €

    " Écrite à Londres durant l¿hiver 1943, pendant l¿exil de Simone Weil alors engagée dans la France Libre, cette oeuvre resta inachevée. La célèbre philosophe fut en effet emportée trop tôt par la tuberculose, à l¿âge de 34 ans, le 24 août de cette même année. La première édition du texte, publiée post-mortem en 1949, fut dirigée par Albert Camus. Il faut ainsi préciser que les écrits de cette auteure à la pensée si singulière comptèrent énormément dans sa vie intellectuelle, des écrits dont Camus aimait à rappeler publiquement combien ils étaient importants à ses yeux. Lors de l¿attribution de son Prix Nobel à Stockholm, en réponse à la question sur les auteurs qui l¿avaient le plus influencé, Camus prononça ces paroles : « Simone Weil, car il y a des morts qui sont plus proches de nous que bien des vivants »."

  • von Simone Weil
    16,00 €

    Mutig, entschlossen und mit beispiellosem Einsatz kämpfte Simon Weil zeit ihres Lebens für eine bessere Welt. Dabei stellte sie die leidvolle Erfahrung der Fabrikarbeiter und -arbeiterinnen in den Mittelpunkt ihres Engagements. Überraschenderweise steht Weils Vision zur Lösung der sozialen Frage in engem Verhältnis zu Gott. Dabei geht es ihr aber keinesfalls um ein Aufgeben des Weltlichen im Glauben. Die Ordensschwester Britta Müller-Schauenburg beschreibt Weils Haltung in ihrem Vorwort vielmehr als einen "geistlichen Umgang" mit "geistlosen Routinen": Fremdbestimmtheit und Sinnlosigkeitsempfindungen, die sich wie die soziale Ungerechtigkeit bis heute weiter ausbreiten. Weils Texte, die jetzt endlich auf Deutsch vorliegen, legen davon ein eindrucksvolles Zeugnis ab.

  • von Simone Weil
    22,00 €

  • von Simone Weil
    16,00 €

    Le malheur rend Dieu absent pendant un temps, plus absent qu'un mort, plus absent que la lumiere dans un cachot completement tenebreux. Une sorte d'horreur submerge toute l'ame. Pendant cette absence il n'y a rien a aimer. Ce qui est terrible, c'est que si, dans ces tenebres ou il n'y a rien a aimer, l'ame cesse d'aimer, l'absence de Dieu devient definitive. Il faut que l'ame continue a aimer a vide, ou du moins a vouloir aimer, fut-ce avec une partie infinitesimale d'elle-meme. Alors un jour Dieu vient se montrer lui-meme a elle et lui reveler la beaute du monde, comme ce fut le cas pour Job. Mais si l'ame cesse d'aimer, elle tombe des ici-bas dans quelque chose de presque equivalent a l'enfer.C'est pourquoi ceux qui precipitent dans le malheur des hommes non prepares a le recevoir tuent des ames.

  • von Simone Weil
    8,00 €

    Ce recueil de textes de Simone Weil, écrits entre 1936 et 1938, témoigne de son expérience de la guerre d'Espagne. Simone Weil, l'Espagnole, n'a pas hésité à se rendre à Barcelone pour soutenir, au risque de sa vie, la cause d'un peuple pour lequel elle avait une affection sincère. L'Espagne fut la terre qui vit s'affirmer la force de caractère d'une femme prête à mourir pour ses convictions, elle fut malheureusement aussi le lieu où Simone Weil découvrit les affres de la guerre civile, les dérives des mouvements révolutionnaires, la médiocrité des hommes lorsqu'ils se confrontent au pouvoir. Dans le journal de son expérience du front, au-delà de son caractère historique, un style lapidaire laisse entendre une littérature qui se place sur la brèche. Les textes qui suivent le Journal d'Espagne donnent quant à eux un certain écho à la désillusion de Simone Weil tant face à la lâcheté politique qu'à l'inhumanité de ses camarades. Ce recueil se termine sur un article plus théorique, Ne recommençons pas la guerre de Troie, qui souligne le danger de l'utilisation de termes brumeux, d'entités vides : démocratie, capitalisme, communisme, liberté, etc. Les mots n'ont pas de contenu lorsqu'ils fourvoient les peuples et les précipitent dans le sang et dans la haine. Elle rejette catégoriquement les discours abstraits qui mettent en ordre de marche. Simone Weil y oppose une volonté de déconstruire les mécaniques du pouvoir et de son corollaire, le prestige du pouvoir. En ces textes, s'exprime toute la singularité de son humanité, faite d'intransigeance et de cohérence, de raison et de nuances, qui se place invariablement du côté des classes opprimées.Ce recueil contient les textes :- Journal d'Espagne- Fragment de 1936 (« Que se passe-t-il en Espagne ? »)- Lettre à Georges Bernanos- Réflexions pour déplaire- Faut-il graisser les godillots ?- La politique de neutralité et l'assistance mutuelle- Non-intervention généralisée- Ne recommençons pas la guerre de Troie

  • von Simone Weil
    14,00 €

    Dans cette réflexion théologique rédigée en 1942, Simone Weil interroge le premier commandement et invite chacun de nous, avant qu'il ne fasse une réelle rencontre avec Dieu, à reporter cet amour sur les objets dans lesquels il réside, l'amour implicite de Dieu pouvant se porter notamment sur la beauté du monde, les cérémonies religieuses et son prochain.Pour la philosophe Simone Weil, cette question de l'amour de Dieu est primordiale, car tout homme ne peut s'empêcher de désirer, au fond de lui, le bien et la justice. Cependant, ceux-ci sont absents du monde : tout, dans le monde, est souillé par la force et par l'injustice. Le bien, qui est un des noms de Dieu, est inconnaissable, car absent du monde. En revanche, parce que tout homme désire le bien, Dieu est objet d'amour. Toutefois, cet amour a pour objet quelque chose d'inconnaissable, et d'absent du monde. Dès lors, il faut aimer Dieu implicitement, c'est-à-dire en aimant des objets du monde dans lequel Dieu est présent de manière cachée ou secrète. C'est ce que Weil montre dans l'article "Les formes de l'amour implicite de Dieu".[J. Lagalle]Weil, qui a connu des expériences mystiques de communion avec Dieu, considère qu'aimer implicitement est un préalable à l'amour explicite de Dieu, l'amour dans lequel Dieu est l'objet même de l'amour.Les formes implicites de l'amour de Dieu sont au nombre de quatre :L'amour du prochain ;L'amour de l'ordre du monde ;L'amour des cérémonies religieuses ;L'amitié.

  • von Simone Weil
    18,00 €

  • von Simone Weil
    18,00 €

  • von Simone Weil
    18,00 €

  • von Simone Weil
    18,00 €

  • von Simone Weil
    20,00 €

    In den Jahren 1934 und 1935 hat Simone Weil ihre Erfahrungen in einer Fabrik in einem Tagebuch festgehalten, das heute mit Recht zu den wichtigsten politischen Dokumenten jener Epoche zählt. Es gibt kein in seiner Bedeutung vergleichbares Stück politischer Literatur aus der Arbeitswelt jener Zeit. Simone Weil (1909-1943) war Philosophin. Sie schaffte es, große Gegensätze in ihrem Denken und Handeln zu vereinen: So vertrat sie pazifistische Ansichten und kämpfte gleichzeitig im Spanischen Bürgerkrieg, vertrat sowohl rationale als auch mystische Anschauungen.

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