Bücher von Thomas Kodjo Wokpor

L¿Homme se doit de louer son créateur, professent les religieux, théorisent les théologiens. Aussi, la religion et la morale constituent-elles des sources non moindres pour la formalisation des normes juridiques.De tout temps, La religion et la morale influencèrent les normes de gestion de la cité. Leurs diktats s¿avéraient prépondérants au cours des époques des royaumes anciens de toutes les régions du monde (Egypte, Babylone, Grèce, Rome, Koush, Ghana, Mali, Kongo ¿). Dans la présente contemporanéité, elles dirigent les initiatives et actions des politiques, des communautés.Aussi, la spiritualité, la religion et la morale se jouent-elles de chiens de garde réciproques pour la préservation des pratiques honorables de bonnes m¿urs au bénéfice de la perpétuation d¿un meilleur vivre-ensemble et l¿harmonie de l¿écosystème humain et environnemental.L¿ignorer et se décider à les entraver dans leurs prérogatives, posent un souci de déni, entraînant par ricochet des tentatives de normalisation des paraphilies (déviances sexuelles), dont les corollaires seraient la survenance des pandémies (Sida, C. virus...), ou l'effet papillon des conflits armés.

L¿Afrique et l¿Africain.« Le bien est caché, silencieux, il requiert une fouille lente et continue. Car le style de l¿Intelligence infinie est discret, il ne s'impose pas ». Pape François.Tant d¿ouvrages, généralement si excellents existent, peut etre faut-il constamment se rappeler certaines choses, pour l¿élévation de l¿humanité. L¿Etat et la Religion, sont un mal nécessaire chez Nietzche et chez les afro-centristes tels que Cheik Anta Diop, Omotunde Kalala, Kémi Seba, Nathalie Yamb. « L¿Afrique, aujourd¿hui,, possède le potentiel de richesses et de puissance, mais n¿a pas la richesse? »Pour les afro centristes "Un Africain, doit aimer et défendre son frère, sa terre, son continent. Il se doit d'être un inventeur, et se mettre toujours à la lumière de Dieu". Qüest ce qui manque pour l¿envol de l¿Afrique?Ce pourrait être le « bien », le « désir du bien ». Le « bien » est ce qui est désirable. Ce qui est désirable pour l¿humain a de la valeur, des valeurs. Avoir le « désir du bien », c¿est se porter à un esprit de grandeur et être fournisseur de solutions idoines, appropriées, efficientes aux situations moins brillantes auxquelles font face les populations.