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Bücher der Reihe Sociologie et Anthropologie

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  • von Pierre Loti
    18,00 €

    " Rarahu (idylle polynésienne) est une oeuvre écrite par Pierre Loti.Note : Pierre Loti, dont une grande partie de l'oeuvre est d'inspiration autobiographique, s'est nourri de ses voyages pour écrire ses romans, par exemple à Tahiti pour Le Mariage de Loti (Rarahu) (1882). La reine Pomare lui donne le surnom de Loti, du nom d'une fleur tropicale. Tenu à une obligation de réserve du fait de sa qualité d'officier de marine, il n'en fait son nom de plume qu'à partir de 1876." Rarahu était une petite créature qui ne ressemblait à aucune autre, bien qu'elle fût un type accompli de cette race maorie qui peuple les archipels polynésiens et passe pour une des plus belles du monde ; race distincte et mystérieuse, dont la provenance est inconnue.""

  • von Anatole France
    18,00 €

  • von Jules Simon
    18,00 €

    " Comme il faut que tout soit attaqué en ce monde, et jusqüaux choses les plus saintes, la famille elle-même a eu de nos jours ses ennemis. Nous sommes heureusement débarrassés de ces étranges théories, qui, pour réformer la société, commençaient par outrager la nature; mais les transformations rapides de l¿industrie, en appelant de plus en plus les femmes dans les ateliers et en les arrachant à leurs devoirs d¿épouses et de mères, créent pour la famille un péril d¿une espèce toute différente et beaucoup plus grave. Faut-il s¿opposer, coûte que coûte, aux progrès du mal? Faut-il le subir comme une nécessité de notre temps et se borner à chercher des palliatifs? C¿est un problème d¿autant plus difficile à résoudre qüil intéresse à la fois la morale, la législation et l¿industrie."

  • von Marquis de Sade
    19,00 €

    La Philosophie dans le boudoir ou Les Instituteurs immoraux est un ouvrage du marquis de Sade, publié en 1795.Le sous-titre en est Dialogues destinés à l'éducation des jeunes demoiselles.Extrait : " VOLUPTUEUX de tous les âges et de tous les sexes, c¿est à vous seuls que j¿offre cet ouvrage ; nourrissez-vous de ses principes, ils favorisent vos passions, et ces passions, dont de froids et plats moralistes vous effrayent, ne sont que les moyens que la nature emploie pour faire parvenir l¿homme aux vues qüelles a sur lui ; n¿écoutez que ces passions délicieuses, leur organe est le seul qui doive vous conduire au bonheur.Femmes lubriques, que la voluptueuse Saint-Ange soit votre modèle ; méprisez, à son exemple, tout ce qui contrarie les loix divines du plaisir qui l¿enchaînèrent toute sa vie."

  • von André-Ferdinand Herold
    18,00 €

    " La Vie du Bouddha qüon va lire n¿est pas une ¿uvre de fantaisie, et je crois bon d¿indiquer les principaux parmi les livres, anciens ou modernes, que j¿ai consultés.J¿ai, le plus souvent, suivi le Lalita-Vistara. Il y a du fatras dans ce livre où se mêlent aux récits légendaires les dissertations scolastiques. Là pourtant nous ont été gardées de précieuses traditions sur les origines du héros, sur son enfance, sur sa jeunesse ; on nous apprend comment il fut élevé, on nous raconte quelles furent ses premières actions.J¿ai fait grand usage aussi d¿un poème excellent, le Bouddhacarita d¿Açvaghosha. Dans quelques chapitres j¿en ai reproduit les termes presque littéralement. Le texte du Bouddhacarita a été édité par E.-B. Cowell.J¿ai introduit dans le livre plusieurs jâtakas. Ce sont des contes où le Bouddha rappelle ses vies antérieures. On en trouvera un certain nombre dans un vaste recueil, l¿Avadânaçataka.Deux ouvrages modernes : Le Bouddha, de M. H. Oldenberg, traduit par M. A. Foucher, et l¿Histoire du Bouddhisme dans l¿Inde, de M. H. Kern, traduite par M. Gédéon Huet, m¿ont aussi beaucoup servi ; de même différents travaux, imprimés dans des revues scientifiques. Ainsi, pour l¿émouvante histoire de Viçvantara, j¿ai mis à profit une version sogdienne, publiée dans le Journal asiatique, par R. Gauthiot."

  • von Pierre-Augustin Caron De Beaumarchais
    18,00 €

  • von Anonyme
    21,00 €

    " LES lois sont exécutoires dans tout le territoire français, en vertu de lapromulgation qui en est faite par le PREMIER CONSUL.Elles seront exécutées dans chaque partie de la République, du moment où la promulgation en pourra être connue.La promulgation faite par le PREMIER CONSUL sera réputée connue dans le département où siégera le Gouvernement, un jour après celui de la promulgation ; et dans chacun des autres départemens, après l¿expiration du même délai, augmenté d¿autant de jours qüil y aura de fois dix myriamètres [environ vingt lieues anciennes] entre la ville où la promulgation en aura été faite, et le chef-lieu de chaque département."

  • von Charles Duclos
    18,00 €

    Les Confessions du comte de *** sont un roman-mémoires publié en 1741 par Charles Pinot Duclos à Amsterdam.GenèseLes contemporains de Duclos ont rapporté que l¿origine de la rédaction des Confessions du comte de *** remonterait à une conversation avec Fontenelle. Ce dernier, que Duclos rencontrait, bien avant cette époque, chez Claudine de Tencin, et qui avait été frappé de sa conversation, de ses réflexions sur la société et de ses portraits, l¿avait engagé à écrire, à composer quelque ouvrage. « Sur quoi ? demanda Duclos. ¿ Sur ce que vous venez de dire », reprit Fontenelle. Duclos se souvint sans doute de ce conseil, lorsqüil écrivit les Confessions du comte de ***. Très bien reçu du public, ce roman fit partie jusqüen 1760, avec les Lettres d'une Péruvienne ou les Malheurs de l'amour, des neuf romans les plus lus en France1.AnalyseCette ¿uvre eut d¿autant plus de succès qüon y reconnut bien des figures, quoique Duclos se soit défendu, dans l¿avertissement, d¿avoir voulu peindre qui que ce fût. Le public ne crut guère à ces déclarations qui ne tirent pas à conséquence et, après la mort de leur auteur, le critique d¿origine suisse La Harpe, qui avait vécu au milieu des modèles, écrivait : « Porté de bonne heure dans la meilleure compagnie, en même temps qüil en goûtait les agréments en homme d¿esprit, il l¿observait en homme de talent. Celui de dessiner des caractères était alors fort à la mode, surtout dans la société de Mme de T***, et de M. le comte de F***. La manière d¿écrire de M. Duclos se prêtait merveilleusement à ce genre : aussi les Confessions du comte de *** ne sont-elles qüune galerie de portraits tous supérieurement tracés. »Dans ce que certains ont appelé un « roman à portraits », le lecteur trouve les portraits successifs de la dévote Mme de Gremonville, la précieuse Mme de Tonins, Mme de Persigny la dissipée, la capricieuse Mme d¿Albi, la coquette Mme de Lery, puis la facile, la libertine, la scélérate, la conseillère, la financière, la bourgeoise, et par-dessus tout la charmante Mme de Selve, qui représente le sentiment, l¿amour vrai, et dont l¿histoire clôt de façon vertueuse un roman qui n¿avait pas commencé ainsi.RéactionsCe roman connut un vif succès, attesté par les quatre éditions qui se succédèrent avant la fin de 17422. Cet ouvrage, qui, après sa publication établit vraiment la réputation de son auteur, fut également l¿objet d¿attaques, la même année : un avocat de Toulouse, du nom de Soubeyran de Scopon, qui lui reprochait d¿être trop léger, le critiqua dans un opuscule intitulé Examen des Confessions du comte de ***, Amsterdam, 1742 ; presque en même temps, paraissait l¿Examen des Confessions du comte de ***, avec une absolution générale des fautes qu'il a faites pendant sa vie et celles qui se trouvent dans son livre, par le R. P. P***, cordelier du grand couvent, 1742.

  • von Angus Hamilton
    22,00 €

    " Rien ne serait plus naturel que la guerre fût le résultat de la crise présente ; pourtant on peut dire également que rien n¿est moins certain. Si le terrain des hostilités n¿était pas limité à l¿Extrême-Orient, et si la puissance qui se trouve en face du Japon était une autre que la Russie, on pourrait prédire positivement que la guerre éclatera. Mais avec la Russie, la considération de la valeur stratégique de sa position en Mandchourie doit exercer une influence prédominante sur ses résolutions. Pour ceux qui n¿ont pas étudié de près l¿histoire militaire, aussi bien que pour ceux qui n¿ont pas une connaissance étendue de la situation, la position dans laquelle la Russie se trouve placée offre le plus grand intérêt. Il n¿existe certainement, en dehors de la marche de Napoléon sur Moscou, aucune guerre, dans les annales de l¿histoire militaire, qui puisse se comparer aux difficultés qui assiègent la Russie en Mandchourie et en Corée. De plus, sa position navale n¿est pas meilleure que sa position sur terre. Sur terre, un chemin de fer à voie unique, traversant le c¿ur d¿un pays ennemi, se termine à Port- Arthur."

  • von Francois Arago
    18,00 €

    James Watt, né le 19 janvier 1736 à Greenock en Écosse et mort le 25 août 1819 à Heathfield Hall, dans sa maison à Handsworth (localité maintenant intégrée à Birmingham, en Angleterre) est un ingénieur écossais dont les améliorations sur la machine à vapeur furent une des étapes clé dans la révolution industrielle. Il a animé la Lunar Society de Birmingham. En hommage à ses recherches, le watt (symbole W), a été donné à l'Unité internationale de puissance, ou de flux énergétique (dont le flux thermique)

  • von André Gide
    18,00 €

    Typhon (titre original : Typhoon) est un roman court de Joseph Conrad. Il se déroule au xixe siècle à bord d'un navire de commerce pendant un typhon.Il a été traduit en français par André Gide en 1918 aux Éditions de la Nouvelle Revue française, ancien nom des Éditions Gallimard.Histoire de l'¿uvreConrad rédigea Typhon entre septembre 1900 et janvier 1901. Aussitôt après, il rédigea 3 autres nouvelles : Falk, Amy Foster et Pour demain. Comme à son habitude il publia d'abord ces nouvelles dans des journaux ; Typhon fut ainsi publié dans le magazine Pall Mall en 1902. En 1903, les 4 nouvelles parurent en recueil, dans l'ordre où elles avaient été écrites, sous le titre Typhoon and other stories (Typhon et autres récits), chez l'éditeur Heinemann. Il s'agissait du troisième recueil de nouvelles de Conrad3.André Gide, qui avait rencontré Conrad en 1911 et noué une amitié avec lui, traduisit plusieurs de ses ¿uvres en français, dont Typhon. La traduction française de Typhon fut publiée par Gallimard en 1918.La traduction de Typhon par André Gide a été achevée d¿imprimer le 25 juin 1918 et a paru à la NRF dans la petite collection à couverture bleue réservée aux ¿uvres et aux traductions de Gide ; tirage : 300 exemplaires. Cette traduction est aujourd¿hui disponible dans la Pléiade, au tome II des ¿uvres de Conrad.François Maspero donna une nouvelle traduction de Typhon en 2005. Longtemps, Typhon demeura, dans la traduction de Gide, le texte le plus connu de Conrad en France.

  • von Francois Arago
    18,00 €

    " Lazare-Nicolas-Marguerite Carnot naquit à Nolay (Côte- d¿Or), dans cet ancien duché de Bourgogne qui déjà avait été le berceau de trois des plus grandes illustrations dont les académies puissent se glorifier : Bossuet, Vauban, Buffon. Son père était avocat et exerçait cette noble profession avec beaucoup de talent (ce qui n¿est pas rare), avec un très grand désintéressement (ce qui, dit-on, est un peu moins commun). L¿avocat Claude-Abraham Carnot avait dix-huit enfants : ainsi, d¿après le vieil adage qui promet la prospérité aux familles nombreuses, il dut compter sur un avenir heureux pour chacun de ses enfants."

  • von Walsin Esterhazy & Marie Charles Ferdinand
    19,00 €

    " On se demande sans doute quel but je poursuis en publiant ce livre.Des gens confortablement installés chez eux, sans soucis matériels, à l¿abri detoute souffrance, pourvus de jolis titres de rente et munis de la considération dis tinguée de leurs concitoyens, m¿en ont, paraît-il, blâmé par avance.¿ Pourquoi un livre ? Que ne se tient-il pas tranquille ? ont dit ces honorablespersonnes.Pourquoi ? Je vais le leur apprendre en peu de mots.Pour deux raisons également impérieuses, quoique d¿un ordre bien différent.1° Raison matérielle. ¿ Il faut que je vive et il faut que je fasse vivre les miens.J¿avais une solde et un grade qui étaient devenus toute ma fortune. Pour me ré-compenser de trente années bientôt accomplies de services que mes chefs ont vantés, M. Cavaignac, espoir des patriotes, tombeur putatif des dreyfusards, meles a enlevés, sans même daigner ni me voir ni m¿entendre.Faut-il donc que mes deux petites filles, elles aussi, soient sacrifiées à la discipline et à la raison d¿Etat ?J¿estime qüen fait de martyrs, c¿est assez de moi.2° Raison morale. ¿ On ne s¿est pas borné à faire matériellement à moi et auxmiens tout le mal possible.En m¿arrachant mes épaulettes, on m¿a enlevé mon honneur. Et c¿est pourquoije veux parler.Tant que mes chefs m¿ont couvert, tant qüils ne m¿ont pas désavoué, je n¿airien dit, je suis resté muet et impassible."

  • von Emile Durkheim
    18,00 €

    Les Règles de la méthode sociologique, publié sous forme de livre en 18951 par Émile Durkheim dans la Revue philosophique, constitue l¿ouvrage où le projet sociologique de l'auteur, considéré comme le père de la sociologie française, apparaît clairement. Il cherche en effet à fonder la sociologie comme une science nouvelle et à l¿établir institutionnellement ; ce livre répond à cette ambition où il définit les règles méthodologiques à suivre pour une étude sociologique.Pour devenir une science, la sociologie doit répondre à deux conditions :Elle doit avoir un objet d¿étude spécifique, c¿est-à-dire que pour obtenir une légitimité académique, elle doit se distinguer des autres sciences (philosophie, psychologie) : la sociologie serait l¿étude du fait social ;Elle doit mettre en ¿uvre une méthode de recherche scientifique, rigoureuse, objective, qui se rapproche le plus possible des sciences exactes (comme la biologie) de manière à se détacher le plus possible des prénotions, des préjugés, de la subjectivité produites par l¿expérience ordinaire et vulgaire : la sociologie se devra d¿étudier les faits sociaux comme des choses.En bref, la sociologie sera la science des faits sociaux, définie par une méthode qui lui est propre.Extrait : " Le fait social ne peut se définir par sa généralité à l'intérieur de la société. Caractères distinctifs du fait social : son extériorité par rapport aux consciences individuelles ; l'action coercitive qu'il exerce ou est susceptible d'exercer sur ces mêmes consciences. Application de cette définition aux pratiques constituées et aux courants sociaux. Vérification de cette définition.Autre manière de caractériser le fait social : l'état d'indépendance où il se trouve par rapport à ses manifestations individuelles. Application de cette caractéristique aux pratiques constituées et aux courants sociaux. Le fait social se généralise parce qu'il est social, loin qu'il soit social parce qu'il est général. Comment cette seconde définition rentre dans la première. Comment les faits de morphologie sociale rentrent dans cette même définition. Formule générale du fait social."

  • von Alphonse Aulard
    21,00 €

    " On sait qüen l¿an II la France révolutionnaire essaya, sans y réussir, d¿abolir la religion chrétienne au moyen du culte de la Raison, puis de la remplacer par le culte de l¿Être suprême.Cette tentative étonna, en l¿effrayant, l¿Europe d¿alors ; mais, comme elle a échoué, on la trouva ensuite plus scandaleuse qüintéressante, et il a été de bon goût de présenter le culte de la Raison et le culte de l¿Être suprême comme une des plus sottes aberrations du délire révolutionnaire. Des écrivains sont venus qui ont réagi contre ces jugements trop sommaires: les uns ont cru voir dans l¿hébertisme antichrétien l¿heureuse réalisation de la pensée de l¿Encyclopédie ; les autres ont présenté le déisme robes pierriste comme la religion qui convenait alors et qui con- viendrait encore aujourd¿hui à notre race. Le plus vrai (si- non le plus exact) des historiens de la Révolution, Michelet, a pensé que ni la sécheresse du culte de la Raison ni la froideur du culte de l¿Être suprême ne convenaient aux fils du XVIIIe siècle, et, dans cette tête pleine de Diderot, dans ce c¿ur amoureux de la France, s¿est formée l¿idée d¿une religion de la patrie et de l¿humanité, religion dont l¿esprit, s¿il avait prévalu dans la politique des gouvernants, comme il vivait secrètement, selon Michelet, dans l¿instinct populaire, eût fécondé la révolution, eût orienté l¿âme française dans un sens conforme à son génie et eût peut-être rayonné sur le monde. L¿investigation pénétrante d¿Edgar Quinet est arrivée à de tout autres résultats. Ce penseur ne s¿est point scandalisé de l¿impiété de nos pères, et cependant, il n¿a pas rêvé le triomphe de la libre pensée. Tout en accusant les révolutionnaires de timidité française, tout en se moquant des hésitations de ces Polyeucte prudents, qui insultaient le dogme et en avaient trop peur pour le détruite ou le changer vrai- ment, Edgar Quinet leur reproche de n¿avoir pas demandé au christianisme même la religion des temps nouveaux. Et quelle est la conclusion implicite de tant de railleries éloquentes sur la servitude intellectuelle d¿un Hébert ou d¿un Robespierre ? C¿est qüil eût fallu se borner à convertir la France de la révolution au protestantisme."

  • von Edouard Chavannes
    14,90 €

    " Dans un livre intitulé : « Documents sur les Tou-kiue (Turcs) occidentaux », publié en 1903 par l¿Académie des Sciences de Saint-Pétersbourg, j¿ai eu l¿occasion de citer quelques extraits de la grande encyclopédie Tch¿e fou yuen koei rédigée vers l¿an 1013 par une commission de lettrés. Il m¿a paru utile de compléter ce travail en traduisant tous les textes qui, dans cette encyclopédie, peuvent intéresser l¿histoire des Tou-kiue occidentaux. Tel est l¿objet du présent article." Édouard Chavannes1, né à Lyon le 5 octobre 1865 et mort à Paris le 29 janvier 1918, est un archéologue et sinologue français. Érudit prolifique et influent, Chavannes fut l¿un des sinologues les plus accomplis de l¿ère moderne et, malgré son décès relativement précoce en 1918 à l'âge de 52 ans, est le digne successeur des grands noms de la sinologie française du xixe siècle, tels que Jean-Pierre Abel-Rémusat et Stanislas Julien. C'est en grande partie grâce à son travail que la sinologie est devenue une discipline respectée au sein des sciences humaines françaises.

  • von Léon Wieger S. J.
    19,90 €

    " Le présent ouvrage résume et complète mon Histoire politique de la Chine, (Textes Historiques), et mon Histoire des Croyances religieuses et des Opinion philosophiques en Chine, auxquelles je renverrai souvent, par les lettres TH et HCO respectivement. Il se compose de trois parties. Un précis. Un index biographique. Un index bibliographique. Le Précis expose succinctement la suite des événements arrivés en Chine au cours des âges, depuis le commencement de son histoire jusqüen 1911, mettant le lecteur à même de situer dans leur cadre les hommes et les choses."

  • von Célestin Bouglé
    13,00 €

    " On réunit dans ce petit livre les résumés de quelques- unes des conférences qui m'ont été demandées depuis la guerre, par divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs.Le lecteur remarquera que, dans ces conférences elles- mêmes, je me suis efforcé d'incorporer et d'utiliser les résultats des recherches de sociologie proprement diteauxquelles j'ai pu d'autre part me livrer, par exemple en étudiant les idées égalitaires, la démocratie ou les castes."

  • von Friedrich Engels
    18,00 - 27,00 €

  • von Henri Bergson
    14,90 €

    Le Rire : essai sur la signification du comique est un ouvrage du philosophe Henri Bergson paru le 1er mai 1900. Comme Bergson le dit dans sa préface de 1924, son essai se concentre plus exactement sur « le rire spécialement provoqué par le comique. » La thèse défendue dans l¿ouvrage est que ce qui provoque le rire est le placage de la mécanique sur du vivant. Le rire y est considéré comme une punition de la société envers les êtres qui se laissent aller à la raideur et oublient la souplesse exigée par la vie. Dans cet essai passé à la postérité, Bergson étudie toutes les facettes du rire et du comique. Texte intégral.

  • von René Bazin
    14,90 €

    René Bazin est fasciné par l¿Italie dans la pure tradition du « Grand Tour » cher aux amateurs d¿art, collectionneurs et écrivains du XIXème. Il a multiplié ses séjours et voyages en Italie, et tout spécialement à Rome, enrichissant autant la littérature que la diplomatie dans la période mouvementée du début du XXème siècle. Dans ¿Les Italiens d¿aujourd¿hui¿, Bazin dresse des portraits d¿italiens qüil a trouvés typiques ou intéressants, des descriptions poétiques et colorées des paysages, des anecdotes amusantes et beaucoup de choses sur la pauvreté dans le milieu rural, due selon lui à la mauvaise gestion du pays.Avec les «Italiens d'Aujourd'hui», René Bazin signe un récit de voyage. Il y parle des provinces du nord, de Rome et de la campagne autour de Rome, et en troisième partie, des provinces du sud de l'Italie. On y trouve des portraits d'italiens qu'il a trouvés typiques ou intéressants, des descriptions poétiques et colorées des paysages, des anecdotes amusantes et beaucoup de choses sur la pauvreté dans le milieu rural, due selon lui à la mauvaise gestion du pays. L'auteur détruit un certain nombre de stéréotypes prêtés aux Italiens, il les montre travailleurs, plus simples que les Français dans pas mal de cas.

  • von Max Nordau
    26,90 €

  • von Charles Marie Joseph Turgeon
    19,50 - 19,99 €

  • von Max Nordau
    18,00 €

    " Dans une réunion mondaine berlinoise un peu nombreuse, j¿étais assis en un coin, et contemplais le tableau que j¿avais devant les yeux. Le maître de la maison contraignait son visage dur et récalcitrant au sourire figé ou plutôt au ricanement d¿une danseuse, trahissant trop clairement qüil a été emprunté pour la circonstance au costumier. La maîtresse de la maison donnait à ses lèvres passées au rouge une courbe aimablement doucereuse et décochait de temps à autre sur quelques invitées plus jeunes et plus jolies qüelle, des regards chargés d¿un triple extrait de venimeuse envie. Les jeunes filles jouaient, les unes adroitement, les autres si malhabilement qüon se sentait tenté de les siffler et de leur lancer des pommes cuites, le rôle vaudevillesque de l¿ingénue. ahurie et intimidée. C¿étaient des petites bouches oubliées entr¿ouvertes dans un trouble charmant, des yeux levés au ciel dans une extase sans cause, c¿étaient des « ah ! " et des « oh ! " complètement idiots, des explosions de petits rires imbéciles, tels que peuvent en avoir des huîtres chatouillées par un doigt espiègle, des petites réponses spirituelles de nature à vous faire lever les bras et à pousser des hurlements de douleur ; et au milieu de toutes ces minauderies et manières précieuses, le sang-froid merveilleux d¿un guerrier blanchi sous les armes, de temps en temps un regard dérobé acéré et impitoyable sur une rivale, un jugement cruel ou haineux sur sa personne et sa toile¿e, une estimation boutiquière minutieuse du prix ce celle-ci, l¿observation scientifiquement exacte ce la durée de sa conversation avec les différents messieurs, et la constatation du nombre de ses danseurs et adorateurs ; et au cours de ce froid calcul de tête, à tout instant un agenouillement mental enthousiaste devant sa propre personne, et la répétition de la fervente litanie d¿adoration personnelle : « C¿est toi qui es la plus belle, la plus intelligente, la plus gracieuse de toutes."

  • von Jacques Novicow
    22,00 €

  • von Edgar Savenay
    16,00 €

    " Nous sommes très fiers de l¿état actuel de nos sciences. Qui sait si dans cent ans nos neveux seront aussi contents de nous que nous paraissons l¿être de nous-mêmes? Qui sait ce qui restera des conceptions auxquelles nous attachons le plus d¿importance, et qui nous guident dans nos travaux scientifiques? Il est bon en tout cas de jeter de temps en temps un regard en arrière sur cette grande route du savoir où l¿humanité s¿avance d¿une allure irrégulière, ralentissant le pas à certains moments et dévorant quelquefois le terrain. C¿est en considérant ainsi le passé que nous pouvons juger du chemin parcouru, et constater si nous sommes vraiment en train, comme on le dit, de faire une forte étape. Voyons donc quel était l¿état général des sciences il y a cent ans et au milieu du XVIIIe siècle..."

  • von Emile Montegut
    16,00 €

    " Si l¿on se reporte par la pensée à ce qüétaient les colonies anglaises et à ce que sont les États-Unis aujourd¿hui, on se demande quels puissants engins de civilisation ont pu favoriser, précipiter cet essor si rapide d¿un peuple dont l¿histoire, pour être courte, n¿en est pas moins bien remplie, et à qui n¿ont été épargnées ni les épreuves de l¿adversité, ni celles, plus difficiles peut-être à supporter, d¿une éclatante prospérité. L¿exposition de Philadelphie a répondu à ces questions. En assignant à la presse à imprimer la place d¿honneur dans la galerie des machines, les commissaires américains ont voulu rendre hommage à cette force dont Napoléon Ier disait qüelle était plus à redouter que des centaines de mille baïonnettes. Elle l¿a prouvé aux États-Unis ; elle y est parvenue à un tel degré de puissance et d¿influence, elle a, sous un régime de liberté complète, donné des résultats parfois si inattendus qüil nous a paru utile de résumer ici l¿ensemble de nos études et de nos observations sur le journalisme américain..."

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