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Dans ce document, D. DIANGANA KOUZOUKOULA rapporte l'idée de la philosophie comme phare, a travers des sujets qui ont inspiré ses réflexions, ses responsabilités prises et ses missions de recherches accomplies.Cet ouvrage retrace une philosophie de l'historicité, qui est un ensemble de conceptions portant sur les principes des êtres et des choses, sur le rôle de l'homme dans l'univers, sur Dieu, sur l'histoire et, de façon générale, sur tous les grands problèmes de la métaphysique. La philosophie n'est une théorie mais une activité qui nous permet d'être éclairé. Car une oeuvre philosophique se compose essentiellement d'éclairement.S'inspirant des documents philosophiques et de son expérience dans le monde philosophique, l'auteur évoque la philosophie comme phare, parce qu'elle est une recherche de la vérité qui est guidée par un questionnement sur le monde, la connaissance et l'existence humaine.Enfin, il s'agit de rechercher un juste milieu entre la place de l'homme dans le monde, d'une part, et la moralité humaine, d'autre part, pour bien parler de la philosophie et de bien philosopher.

Pendant une période de deux années (1794/1796), des personnages divers et variés, certains historiques, d'autres non, vont se croiser ici et là au fil d'événements dont le déroulement décrit ce qui arrive en cet ancien royaume devenu République. De grands projets sont mis en place par les deux héros, l'Ermite, Jules Valentiale et Louisiane de la Rivière son amie et complice. Les rencontres inattendues se multiplient au fil des pages jusqu'à une fin inéluctable qui ne n'est pas vraiment une conclusion.

¿Mercuriale de la nosomanie¿ est un recueil de poèmes qui, au-delà du jeu de l'oralité et du sarcasme mués en véritable subterfuge de douleurs et de soufflets, reflète l'inquiétude du poète qui se veut futuriste. Il exprime les faix qui submergent la société , invite à grever le présent, à l'essorer pour mieux accueillir l'horizon des rêves. De ce fait, le recueil poétique est scindé en deux parties. Si l'une est une combinaison de récit et de chants, l'autre est une suite de poèmes titrés. Elles chantent, dans leur synergie, le tison du futur.

L'esclavage est le seul mal qui de par son apparence multidimensionnel maintient l'Homme dans la véritable profondeur de la nuit. Quand bien même les possibilités dune parfaite libération nous sont proposées, celles-ci nous prend en hottage du haut de son statut destructeur et faucheur de bien-être. C'est pourquoi dans une société ou la prostitution, le grand banditisme, l'analphabétisme, la vie de débauche, est maitre nous y sommes condamnés à un esclavagisme démesuré, affectant ainsi notre vécu quotidien, changeant ainsi ce qui fut de notre passé.Face à ce dilemme sociétal, trouver le canal d'aération afin de respirer et vivre une ère nouvelle est plus que jamais nécessaire, important et primordial pour le tournant de notre vie. Un tournant qui se veut décisif malgré les épines posées par les gendarmes et promoteurs de la destruction des êtres. C'est d'ailleurs cette attitude de sortir de l'obscurité, de l'esclavage sociétal qui est à saluer chez notre héroïne qui malgré, les hauts et bas de la vie, les contraintes de la société réussit à donner un sens nouveau a sa vie, réussit à se faire une identité nouvelle, chose qui respectent a souhait les normes éthiques.

Abou Yacine descendit à l'aéroport international de Damas, de retour de l¿Arabie Saoudite, chargé d'or et d'argent fruits de son travail là-bas toute une décennie. Il prit un taxi de places et raconta au chauffeur Baraket la quantité de biens qüil a pu réunir de son travail au golfe. Satan suggéra au chauffeur Baraket de tuer son client et de se débarrasser de lui dès la sortie de la ville de ¿Homs¿ afin de s'accaparer des fruits de la pénibilité du travail de Abou Yacine et de se libérer ainsi de sa propre pauvreté abjecte. Cependant, il entra dans un conflit entre sa conscience vive et Satan. Qui prendra le dessus et est-ce que Abou Yacine parviendra-t-il de retourner à son épouse et son fils de petit âge à El Hassaké ? Ou sera-t-il tué par la voracité de Baraket qui le jetterait dans la nature désolante ?...

L¿auteur a voulu que ce soit une nouvelle. Mais la texture de l¿ouvrage tire également d¿une biographie fictive. Au niveau du personnage ensuite : l¿encyclopédisme de sa formation rappelle Gargantua ; sa polyvalence illimitée fait dans l¿éclectisme professionnel d¿un tout autre siècle que le nôtre qui est plutôt favorable à la spécialisation. Son immoralisme enfin l¿apparente à la lignée de Cléopâtre de Plutarque, que Nana de Zola et plus près de nous, de c¿est le soleil qui m¿a brûlée de Calixte Beyala dont elle rappelle le naturalisme et la mocherie.Le plus grand mérite de cet ouvrage se situe, il me semble, dans la possibilité qüil offre à toutes les catégories sociales de la communauté congolaise actuelle et pourquoi pas mondiale de retrouver son image un peu comme dans le miroir miraculeux de Milan Kundera.

Dans leurs tonalités différentes où l¿ironie se mêle à la mélancolie, où l¿invocation historique s¿allie au drame, ce recueil de poèmes du titre "L¿Eau Des Fleurs" le coiffer, ce n¿est pas faire preuve d¿esprit facile, ni celui de l¿usage d¿une intelligence communiquée ... Je dédie ce recueil à tout ceux qui ont conscience de ne rien connaître et veuillent connaître.

Profondément inspiré des sujets de notre célèbre époque, ces trois textes, des fictions proches de la réalité, proposent une réflexion générale sur le foyer, le chômage et notre engagement dans une Afrique contemporaine. Peut-être veut-il dire que nous sommes héritiers d'une société manquant de vision futuriste ? Les questions humaines débattues ne sont-elles pas adaptées aux contextes ? Manquons-nous d'engagement ? La littérature est un moyen de résistance et "La fin de l'espoir d'Espoir" illustre cela en fournissant des précipités véridiques de rêves. Nous pouvons imaginer déjà la joie qu'auront les lecteurs à lire cette collection de trois nouvelles une fois publiée.

Avant l'arrivée des premiers blancs sur le continent africain. Les peuples sauvages avaient une organisation structurelle bien définie qui s'étendait dans l'ensemble des régions sud Sahélienne. C'est dans cette même optique que se situe le Canton Souza qui est constitué de 5 villages communs : Dioro, Obadi, Gatsha, Thamake et Kuerinya. Ce dernier Kuerinya est un village Royaume parmi les 4 autres villages qui sont des chefferies Kuerinya est dirigé par le roi MEYOP V depuis 6000 lunes et soleils. Meyop V a deux femmes et quatre enfants donc Irna, Salem, Jade, et Hakyd (11 ans) qui est dernier. Le règne de MEyop V est forgé par la participation de toute la population de Kuerinya et des villages environnants pour le développement du canton. Le règne de Meyop V est aussi mis en embûche par ses deux frères Mani Benoua et Mani Ndzan qui cherche toujours un moyen de le déstabiliser ou de le détrôner si l'occasion se pose. Bien heureux des faits, Mani Benoua va se servir d'un petit mécontentement des habitants des différents villages envers le roi. Mani Benoua va se servir de ce différend pour créer une mutinerie pour déstabiliser son frère le roi.

C'est le résumé de 53 ans de ma vie avec ses hauts et ses bas et ses galères que j'aimerais partager avec d'autres gens, pour montrer à tous ceux qui n'ont pas eu de chance dans la vie, que rien n'est perdu, qu'il y a toujours de l'espoir.Après avoir connu pas mal de galères, l'alcool, la drogue, la vie dans la rue, aujourd'hui je m'en suis sortis grâce à l'aide de personnes qui m'ont tendus la main, ainsi que grâce à mes enfants.

Un homme d¿un âge certain replonge dans la vie qui a été la sienne. Il repasse en boucle le chemin parcouru, celui qui dessine ses moments de vie privée passée à regarder le temps se décliner sans qüil puisse en saisir les nuances mais sans en être blasé pour autant. Il estime, en effet, que sa vie a été bien remplie, avec ses hauts et ses bas. Une chose lui est clairement évidente : Il a bien vécu malgré tout. Et ce temps est empli d¿amours ratés, de destins brisés et de passion face aux intempéries de l¿existence. Dans ce regard, il analyse, comme en laboratoire, ce qui a fait sa vie professionnelle. Haut cadre de l¿Etat, il a accompagné les institutions de son pays en observateur engagé. Ce ne fut point de tout repos. La trame de cette vie est décortiquée en pleine conscience de ce qui a marché et, surtout, ce qui biaise la vie politique d¿un Etat en permanente transition.

La vie des individus est en proie aux mutations que connaissent nos sociétés et leurs corollaires. La rencontre des cultures avec ce qüelles comportent de bon comme de mauvais, à travers Bianouan, ce petit village du sud-est de la Côte d¿Ivoire. Ce roman évoque les changements qui s¿opèrent, bouleversant la vie des hommes, avec Kalifa le marabout, qui oublie que le temps des mariages arrangés par exemple, est bien révolu, Attouba qui a du mal à s¿adapter à son époque et Assemian, qui, pris dans le tourbillon de la modernisation, peine à se réinventer. Dans cet imbroglio, où ils se sentent tous pris au piège du temps, existe-il une échappatoire pour tous ces individus en quête du bonheur, vivant cette nouvelle ère, cette époque qui tranche avec celle qüont connue leurs pères ? D¿un autre point de vue, cet ouvrage d¿un ton parfois comique, est également une invite à la solidarité, à la tolérance, et à l¿acceptation de nos différences, garant d¿une coexistence pacifique.

Ensemble de textes, photographies, dessins et peintures autobiographiques. Anorexie, dépression, hospitalisations, alcoolisme, cyclothymie, tentatives de suicide... mais aussi une très forte envie de vivre car je sais combien la vie peut être belle. Je la célèbre également dans cet ouvrage. Hommage à ceux qui sont partis trop tôt et qui m'ont fait promettre de continuer la lutte. Ainsi qu'une main tendue à ceux qui souffrent, car ils ne sont pas.

J¿entendais mille petites voix qui bruissaient silencieusement dans la brousse embrasée par la romance de minuscules et exigus êtres vivants qui s¿échauffent et se dilatent. Les clappements des ramures se crispaient et éclataient. Les légères flammes explosives s¿échappaient furtivement des bocages. De temps à autre, les hululements des chiens et les aboiements des hiboux sans oublier le grincement des dents des serpents noirs agrémentaient et animaient l¿oraison funèbre. Le vent grondait inlassablement et fouettait la voûte qui larmoyait, humectait et dégoulinait comme une pluie diluvienne. Il régnait dans les profondeurs que l¿on entendait hurler, les jérémiades de la nature subodorant la présence d¿une main biscornue.

Né dans la précarité, de parents réputés pour la non-scolarisation de leurs enfants. Roland prend l¿initiative d¿en être l¿exception. IL décida donc de sortir sa famille du gouffre de la pauvreté par le biais de l¿école.Avec beaucoup de peine, il réussit à convaincre ses parents de lui permettre d¿aller à l¿école grâce au soutien de monsieur Magloire, le directeur de l¿école primaire du village. Ce fut donc le début d¿une aventure clairsemée d¿embûches et de frasques.

Qüest ce qui peut manquer à une femme belle, en bonne santé, indépendante et financièrement stable ?L¿amour bien évidemment. Toute femme à un moment donné de sa vie est interpellé ou indexé si elle est célibataire et de surcroit sans enfant. Surtout dans la société Africaine et particulièrement en AFRIQUE DE L¿OUEST où se déroule cette histoire.En effet Milly est une jeune Béninoise qui a tout sauf l¿amour.Lorsqüelle fait la rencontre de Lucas, un jeune architecte de 3 ans son cadet, elle pense avoir trouvé le parfait conjoint.Néanmoins deux semaines avant le mariage, elle découvre par un concours de circonstances (heureux ou malheureux seule la suite nous le dira) que son prince charmant en armure n¿est qüun vulgaire escroc et arnaqueur qui, avec l¿aide d¿une connaissance à elle, s¿est immiscé dans sa vie pour atteindre son objectif.Entre désillusion, colère, haine et égo blessé Milly va devoir batailler pour retrouver la paix du c¿ur et mener à bien sa vengeance, car oui elle a décidé de se venger de ces deux lascars qui l¿ont prise pour une idiote.

2009 est une année essentielle dans la législation numérique au Congo. La mise en place des textes lois qui ont transformé les secteurs de l¿internet et du numérique avait commencé, en passant par la stratégie nationale de développement de l¿économie numérique pour favoriser un accès aux infrastructures et services numériques à tous et pour tous, à la réglementation du cyber espace.L¿enfant est bien présent avec son statut de curieux et espiègle qui veut comprendre les lois du numérique pour agir et être protéger.Comment concilier intérêts nationale congolais, lois du numérique et droits des enfants ? Quelque soit le milieu social, la fracture numérique surtout la méconnaissance des lois est mal vécue.

Le monde court à sa perte et Cokou Codjo Bligui est l¿une des jeunes plumes contemporaines qui, par leur écriture, l¿empêchent de déchoir totalement ; de s¿effondrer. Travers à Venir est un ensemble de textes poétiques qui peint une société actuelle, et annonce une autre à venir ; si, le silence et la passivité continuent d¿être le mot d¿ordre face à certains faits, certains actes, voire, certains pas que nous posons. La plupart des poèmes regroupés dans ce recueil se présentent comme des intrigues narratives. L¿auteur y exprime sa conception, ses impressions, ses émotions, etc. sur plusieurs thèmes en nous présentant parfois, des personnages thématiques. Ce qui porte à croire qüil voudrait bien nous faire vivre ses idées, le monde qüil peint d¿une manière ou d¿une autre ...Extrait de la préface de Damien SEDEGNAN, Homme de Lettres

Mon pays en haut est une lumière qui éclaire tout lecteur attentif aux questionnements quotidiens de l'homme.Son point d'application se situe entre l'humain vis à vis de son implication face aux activités communautaires et de son introspection pour s'assurer de bien être en congruence avec les codes moraux.Cette lumière donne un programme instructif qui peut être l'objet de cours pour des élèves et étudiants.Son but en petit mot est de permettre à l'homme de se comprendre pour pouvoir servir intelligemment.

Entrez dans la vie de la jolie Louise pour découvrir tous les soucis possibles et imaginables qüelle rencontre au quotidien. Cette jeune fille va vous faire découvrir comment une journée de routine peut se transformer en une belle (ou mauvaise) aventure. Malgré tout, elle vous apprendra à toujours aller de l¿avant sans baisser les bras. Un livre destiné aux demoiselles qui aiment sortir de leurs habitudes.

Sorcellerie, terme pour lequel chaque africain a une attitude un peu de résignation et de vaincu, terme qui succite le doute, la peur et les chaos... on ne peut en décrire les méfaits car elle est l'ombre des superpuissances. Aux congolais de dire Doka, Muloji, Ndoki, Mupongo... s'il y a des mots face auxquels la Société est restée impuissante, c'est la sorcellerie. Nos parents nous ont dit de faire attention, nous-mêmes le disons à nos enfants et nos enfants le dirons à leurs enfants. Du Sénégal au Madagascar, chacun sait à quoi ressemble un SORCIER. Nul ne peut le vaincre: ni ces pasteurs oints et puissants, ni ces Anthropologues intransigent... Mais ces jeunes gens ont rompu avec le mystère et la richesse culturelle. Qui es-tu sorcier? Quelle relation il y a-t-il entre toi, la politique, la religion, la vieillesse, la pauvreté, la tradition? Qie cherche-tu en pleine cité. J'ai appris que tu vis en brousse parmi les animaux féroces... Recule et laisse-nous avancer.

D¿emblée, il y a lieu de saluer une nouvelle figure qui fait son entrée dans la dynastie, que dis-je dans la lignée de « Jean-C¿ur de¿ » Initiée par SONY LABOU TANSI. En effet, dans La Vie et demie (roman,1979).SONY a légué notamment : Jean ¿ c¿ur - de- pierre (L¿Ogre super-mâle, Roi du sexe), jean-au-C¿ur-Tendre, Jean-Brise-C¿ur, jean-Oscar-C¿ur de pierre, jean-au-C¿ur-plein-de-souris, jean-cache-sexe, jean-vaurien, jean-Ventre, jean-Vide-C¿ur, jean-Soupe, jean-Gratte-ciel, jean-cochon¿Au demeurant, C¿ur à Papier se veut une nouvelle terrienne, truculente, vulgaire mais qui est en même temps la représentation des comportements tragi-comiques et grotesques qui marquent la scène politique et sociales de Bukavu et en même de tout le pays.

Le jour, nous nous activons et le soir nous dormons. Mais, la règle, n'est-elle pas inversée quand notre travail ou métier nous impose sa loi de travailler la nuit pour nous reposer le jour?!Nos rythmes biologiques sont bouleversés par les exigences du travail dans nos usines, bureaux et administrations.La récréation est choisie et c'est elle l'école de la vie réelle car le déclassement dans nos écoles dites notées ont compris qu'il fallait copier sur la nature.

PARIAS DANS LEURS PROPRES PAYS est un livre qui dénonce avec force et énergie les abus et injustices que subissent certains citoyens dans leurs propres pays face à la boulimie du pouvoir de certains dirigeants africains en particuliers qui s'enrichissent illicitement sur le dos d'une population toujours plus pauvre. Il dénonce les modifications anticonstitutionnelles des constitutions de certains dictateurs africains en perte de vitesse pour se maintenir au pouvoir à vie en violation des règles démocratiques. Ce livre conscientise et rappelle à la jeunesse africaine ses responsabilités vis-à-vis de l'histoire de faire barrière à tout projet machiavélique de saper la démocratie en Afrique. Car chaque homme doit savoir sa mission sur terre, la remplir ou la trahir. Ce livre interpelle la communauté internationale de sa responsabilité dans l'état actuel de l'Afrique et liste ces crimes d'hier et d'aujourd'hui commis contre les enfants d'Afrique restés impunis et rappelle que la pacivite par une indifférence totale est ni plus ni moins signe de la complicité. Il redonne espoir à la jeunesse africaine en les invitant au travail pour bâtir une Afrique.

Aux premiers instants de son séjour à Djibouti, il n'avait guère prêté attention à cette jeune femme toujours revêtue d'un ample vêtement traditionnel et la chevelure soigneusement cachée sous un voile. Elle était sa secrétaire et elle devint son amie. Au fil du temps, elle devint bien plus, même, si leur amour ne resta jamais que platonique. Ceci est le récit de quelques-unes des conversations qu'ils eurent, elle, la musulmane et lui, l'athée.Il constitue la preuve qüen ce monde fou et violent, tout est possible entre ceux que tout oppose, pourvu qüil y ait ce petit quelque chose, ce petit rien, que l¿on appelle communément¿Amour.

Il s¿agit d¿un jeune homme burundais du nom de Mwenemana qui nous parle de sa famille: de lui-même, de la sociabilité de son père, de l¿intégrité de sa mère, de la douloureuse vie de sa s¿ur et de son frère. Il nous compare sa famille à celle de ses proches, puis nous parle des riches conversations de sa mère et de son père envers leurs enfants.Dans ce livre, le narrateur nous présente la passivité quasi-totale de l¿être humain par la nature durant tout son séjour terrestre. « Le têtard; malgré sa queue qui lui semble comme une honte, il reste incapable de se défaire. Il attend les changements physiologiques dont leurs seules commandes sont les lois de la nature. »« Ce n¿est pas la conscience qui détermine la vie, mais la vie qui détermine la conscience.» Karl Marx (1818¿1883)Jeune est celui qui s¿interroge avant d¿agir, car les années rident la peau et le péché ride l¿âme.

DJEPA est une jeune étudiante tchadienne qui a fait le voyage de son pays natal pour poursuivre ses études en Turquie. Sa quête de connaissances et de nouvelles aventures est aussi remplie d'incertitudes et de défis. DJEPA est confrontée à des cultures et des m¿urs très différentes des siennes et elle doit apprendre à s'adapter à des situations qui ne lui sont pas familières. Nous suivons la vie de DJEPA, ses hauts et ses bas, dans sa nouvelle vie en Turquie. Malgré ces défis, DJEPA s¿est montrée enthousiaste et déterminée à réussir ses études. Elle a été encouragée par ses amis et sa famille à poursuivre ses rêves et à saisir cette opportunité d¿étudier à l'étranger.

Un enfant est rejeté par son père car il a un handicap, le père quitte femme et enfant. La maman meurt d'une crise cardiaque, l'enfant est placé comme tête de turc chez sa tante puis à l'orphelinat mais l'amour triomphe.Un groupe d'amis passe Noël dans un chalet à la montagne, fait exceptionnel, il neige à n'en plus finir, ils ne savent plus sortir, des gangsters les prennent en otages en passant par le grenier. La police s'inquiète et parvient à les sauver. Cependant, la fonte des neiges engendre les inondations et les coulées de boue.Elles sont 4 amies + le petit ami d'une des leurs, elles partagent tout mais la pharmacienne est poursuivie par un gangster. Il essaie de la tuer. Pourquoi ? Elle n'en sait rien mais le petit ami semble deviner le coupable.Tout se termine dans l'amour, le bonheur, la chance.

Un recueil d'une trentaine de mes poésies, abordant divers thèmes plutôt graves comme la bipolarité, la dépression, l'épuisement ou plus légers comme l'Art, la Musique ou les saisons; mais toujours avec la mélodie des alexandrins et l'amour de la Poésie. Elles ont toutes été écrites en l'espace de 3 mois, à l'hôpital de jour. Sur conseil de mes compagnons de souffrance et mes professeurs, psychologues, je tente de partager mes poèmes, en espérant toucher d'autres personnes.

Marta, sur un coup de tête, abandonne Charles et son fils encore bébé : Laurent. Elle retourne s'établir à Toulouse sous le nom de Vanessa. Elle refait sa vie avec un gentleman et donne le jour à une fille : Huguette. Charles se remarie : il épouse Bernadette qui met au monde cinq enfants dont deux filles. Laurent grandit malheureux et ne parvient pas à s¿intégrer au milieu familial sachant que Bernadette n¿est pas sa génitrice. Il ressent une désaffection prononcée pour ses demi-frères et demi-s¿urs. Étant familialement inadapté, iI décide alors de quitter la ferme où il est né et part à la recherche de sa mère biologique. Cette tentative de recherche sera un traumatisme pour lui. Il en a pris un grand coup qui lui sera fatal.