Bücher veröffentlicht von Editions Muse

Des mots pour mon héroïne. Ce soir, hélico français sur sol liégeois où naquit Charlemagne. Des patients traversent le Rhin, eau, sang et larmes d¿un continent dont les bords se haïssent. Les Allemands ont des lits, Europe a son parfum... A Pavie, des Russes de minuit veillent des Italiens. A l¿aube, les vainqueurs de la mort défilent. La vie est un passage, laissons y des fleurs ! Mon héroïne vous y attend, je suis à la fin.

L'amour est une souffrance parfumée, tendre et nécessaire, mais le coup de foudre une profonde naïveté. Le poète aurait-il perdue la raison ? Entre la fiction et le réel, Esther dans ce recueil de poèmes, fait d'une série de lettres-réponses dans les coulisses insoupçonnées du théâtre, se verra chantée par son amoureux... Si la revolte est la règle de l'amour, il faut bien comprendre l'indifférence manifeste des fois primée par la dulcinée ; indifférence qui lui permet de prendre quelques reculs face à son courtisan. Le poète devant la difficulté est l'homme de la situation : à coup de verbes, il essayera un temps soit peu de (ré)conquérir le c¿ur d'Esther, et parviendra, de façons répétées, à briser l'incertitude planant dans la tête de son amoureuse. La dernière lettre d'Esther reste un tournant décisif pour ce couple, tant elle met au grand jour son infidélité qui est ressentie par le poète comme un véritable tonnerre dans l'empire du silence.

En un éclair , à une vitesse vertigineuse , une balle de plomb s'enfonce dans la peau fragile de son corps ! Questionnant , d'un air éperdu , l'eau grise de sa conscience , il observe le faisceau rougeâtre d'un phare gigantesque balayant d'ombre et de lumière sa blessure mortelle . Alors , toute sa vie se met à défiler comme les scènes d'un mauvais film , aussi aléatoire et ridicule qu'une petite goutte d'eau perdue au sommet d'une immense "nouvelle vague " s'éclaire soudain , dans son effroyable déferlement , sur l'écran noir d'une salle vide ! Mais n'est-ce pas là , se dit-il , face à la duplicité du monde , ce que l'on croit voir lorsqu'on regarde derrière soi sa vie passée ? Ce livre , 14è épisode du " Cycle de l'Etoile " , se situe entre " Mourir à Ermioni " et " La Nuit de Cézembre " ( Cycle de l'Etoile V ) . Imaginant les derniers instants de Yann Kervern II , mais aussi revenant sur les surprenantes découvertes du " pseudo " journaliste Michel Renn en Bretagne , il nous invite à une réflexion toujours très actuelle sur la nature du Mal et la vanité de l'Homme confronté à la guerre ...

Dans l¿ennui tranquille de son village, sur les hauteurs d¿Alger, le jeune Said Jy s¿évade de son quotidien par une lecture effrénée, comme une revanche sur sa scolarité interrompue par la guerre. Romans, BD et surtout romans-photos l¿entrainent dans un monde d¿aventures toujours plus exaltant ; lui inspirant le goût des voyages et la quête du grand amour¿ les livres ne sont pas sa seule passion : admirateur des chanteurs en vogue et des acteurs d¿Hollywood, Said a une grande idole : James Dean. D¿ailleurs, ne lui dit-on pas qüil lui ressemble, avec ses cheveux blonds et ses yeux bleus ? En attendant qüil sache quoi en faire, la vie de Said revêt des couleurs plus ternes que celles du glacé ou du grand écran. Entre le travail, à l¿épicerie d¿un ancien du quartier et à l¿usine. La fatalité d¿un mariage espéré par sa mère, son avenir semble prédéterminé, loin de ses passions gentiment moquées par son entourage. Mais le jeune homme voit plus grand, et s¿il ne sait comment s¿y prendre, il sait ce qüil veut être : artiste ! Écrivain, musicien, peintre ? Peu importe !

Le titre « L¿enfer des cadres » parle de lui-même. Il s¿agit pour l¿auteur, à travers sa propre expérience dans l¿administration algérienne, pendant plus de trente ans, de décrire les mésaventures que peut vivre un cadre honnête (surtout le « petit » cadre) dans son travail. En effet, dans les pays sous-développés, on laisse de côté les préfets, les ministres, les PDG, les députés...etc, et on ne s¿attaque qüaux fonctionnaires moyens sans grandes responsabilités mais pris comme lampistes, quand cela va mal. En bref, c¿est cette injustice que l'auteur a voulu faire ressentir aux lecteurs, dans dans son ouvrage autobiographique, et témoignage. L¿auteur sait donc de quoi il parle puisqüil a été plongé en plein dans le monde de l¿incompétence et de l¿imbécillité.

...Devant un tel spectacle, SILIKA et ENIGMO avaient l¿air tout triste ; pourtant, ils avaient pour armes la foi et la patience. Mais l¿enthousiasme du début semblait se muer en désillusions amères. Pour l¿heure, il ne leur restait plus que CHICO et sa piste, pour continuer à entretenir chez eux, l¿espoir bien que maigre de retrouver MARGULIES. Pendant ce temps, des vies étaient en périls et continuaient à crier au secours. CHICO et son copain étaient allés mener une de ces opérations dont eux seuls avaient le secret.Peut-être y a-t-il peu de gloire à avouer que la vie de ces enfants dans les rues de ZULIATTA voulait être la plus forte, et c¿est dire qüelle fut quotidienne. Et c¿est direqüelle fut à ras de terre et de soucis, acharnée et patiente, rusée et égoïste, avec chagrin et pitié ! ...

Avec un style singulier et un goût particulier et authentique, Correspondance de pensée se livre au lecteur. D¿une plume juste, salubre, nostalgique et enthousiasmée, l¿on se rend compte qüil s¿agit bien d¿un ouvrage qui relate en toute sincérité des expériences vécues. D¿ailleurs c¿est cette particularité unique à son auteur qui définit sa marque de fabrique tout au long de ses lignes. Car en empruntant une grille de lecture à l¿auteur, ce qui frappe de prime abord c¿est à quel point notre sensibilité est secouée. C¿est bien cette sensibilité associée à une Soif quête de spiritualité, de la connaissance intuitive, de la plénitude de l'intimité, de la nostalgie d¿un amour paternel et fraternel, du sens de la responsabilité pour l¿éducation d¿une fratrie, de l¿imagination, et de l¿amour qui entre autres constituent le socle de base de cette correspondance.

Univers fantastique où nous découvrons des portraits de magiciens et magiciennes adolescents dans l'école Fébus. Dans une petite ville d¿apparence ordinaire ceux-ci se découvriront en grandissant des talents cachés et feront la rencontre de bon nombre de héros qui pratiquent tous la magie.La maîtrise de la magie passe par la connaissance et la maîtrise du monde qui nous entoure, selon les qualités du magicien et de la magicienne, son héritage, sa généalogie et ses dons.

Mon mal qui me ronge est un recueil qui relate trois histoires qui abordent la même thématique: la tragédie, le regret, la tristesse et surtout les douleurs internes qui rongent tant de personnes au sein de notre société...la première est celle de Moahé ,une jeune fille pleine d'avenir et d'espoir va se mettre en relation amoureuse avec Srantèh, un véritable infidèle qui va faire de la vie de cette dernière un véritable enfer sur Terre. Ce qui va aboutir sur la perte de son bébé après huit mois de grossesse...la seconde est celle d'Anagaman qui va tomber amoureuse de Jolie Coeur une jeune fille qui ne faisait que narguer tous les hommes qui lui faisaient la cour...une fois la vérité éclatée, Anangama va se retirer en laissant Jolie Coeur dans un désarroit total pour se marier à Taloa Claman, une collègue de travail...la troisième est celle Mr Touapli qui va être victime d'une fausse accusation de viol depuis la classe Terminale qui va le conduire en prison...après plusieurs années écoulées, ayant eu une opportunité de voyage, il fut rattrapé par son casier judiciaire...

Ce n¿est pas un drame si nous ne sommes pas toujours motivés. D¿ailleurs, personne ne peut être motivé à cent pour cent pour tout et tous les jours de son existence. Il arrive parfois des pauses, des temps d¿hésitation, de tâtonnement, de répit... Mais, il n¿y a pas de doute qüune bonne motivation reste nécessaire à une réalisation efficiente. Elle est une ressource indispensable à toute réussite. Ici, l¿auteur a l¿ingénieuse idée de consigner un certain nombre de pensées stimulantes en vue de mobiliser chez le lecteur toute l¿énergie positive nécessaire pour prendre sa vie en main et la réussir en dépit des obstacles.

Rien ne prédestinait la petite Chiara à son destin ... Mais une rencontre malfaisante peut parfois changer le cours d'une vie et c'est ainsi qu'elle se retrouve fiancée à celui qui va changer sa vie de manière tragique.Engluée dans son malheur, elle trouve une bouée de secours auprès d'un homme qui saura lui apprendre ce qu'est réellement l'amour dans la douceur et la tendresse, loin des poings et des bleus.Mais le malheur ne se tient jamais bien longtemps éloigné et l'impensable se produit, condamnant ainsi Chiara au plus cruel des choix.

Une plus-value et pour toujours plus d¿expressions que toi par, ton art ton exemplaire poids moyen, quête pour le bien de la jungle ou de la bergerie, action ayant son droit que je sois prévenu maintenant à découvrir la vraie voie avant qüune autre strate qui te voit déjà en avance de sa quête n¿arrive que pour annoncer qui viendra nous dire quand. ¿¿PLUS LA FATIGUE PERSISTE, MIEUX LA REMUER NOUS DÉFATIGUE¿¿

Le nuage se dissipa. En un clin d¿¿il tout se clarifia, la vérité se révéla et le chemin se traça. Je suis sortie, croyant en un répit, un moment de détente, une justice du ciel, une libération totale. Oui pourquoi pas ? Je mérite un affranchissement. Je sortais de ma prison.Pour la première fois depuis quatorze ans je vois autrement le soleil. Le ciel est plus clair, je remarque que les oiseaux chantent, que ma vie a risqué de passer sans que j¿en profite. Je sors, je suis ce chemin éclairée. J¿ai pris la décision de tout quitter, de refaire ma vie, de sortir de l¿ombre et de voir le soleil.

Le récit que je vous conte est celui de chaque algérien fier de son passé et qui croit dans un avenir meilleur. Arrezki dans ce roman ne vit pas ses actions mais il les pense. Le A d¿Arrezki est comme le el de la langue arabe. Il identifie et rend connu tous inconnus. Il est là pour quelque chose. Arrezki procède par comparaison et analogie. Dans sa vie quotidienne il est l¿Arabe, l¿indigène, et le berger. Il aime l¿architecture coloniale et rêve de visiter la Rome antique. Il est musulman pratiquant et un souffle Payen le parcourt. Son nom le tourmente et sa patrie l¿enchante et dans ce tumulte il essai de prendre parti.

Cette pièce de théâtre est une dénonciation de la place des femmes dans la société africaine à travers l¿histoire poignante d¿une veuve dépouillée par la famille de son défunt mari. Face à cette honteuse injustice, le lecteur ne peut qüéprouver de la compassion et être révolté, tout comme ''Jean'', le personnage à qui j'ai fait le choix de transmettre une voix toute particulière et puissante qui n'est autre que la mienne. L¿affrontement entre les coutumes familiales et la société moderne, symbole de deux époques, représente un sujet tabou dans bon nombre de familles africaines et c'est pourquoi j'ai fait le choix d'en parler à travers cet ouvrage.

L¿auteur qui n¿est pas à son premier essai mais à son 24ème bouquin a choisi pour celui-là de marquer les esprits avec un titre iconoclaste « CRI DU SANG A SIKABOUTOU » pour raconter dans une fiction des évènements réels qui se produisent chaque jour autour de nous. Qui parfois font l¿objet d¿une indifférence, cependant d¿une cruauté inhumaine. En choisissant le nom « sikaboutou » et en faire le théâtre de son histoire, cela n¿est pas fortuit et revêt tout son sens. Car ces choses qüil révèle pour ne pas les passer sous silence se passent effectivement quelque part dans une partie de ce monde. C¿est donc le c¿ur rempli d¿amertume que se posant derrière son ordinateur et sur son clavier laisse libre cours ses notes remplir ses pages blanches qui s¿affichent enrobées du sang des enfants de sikaboutou qui ne cesse de crier justice ! justice ! justice !L¿auteur invite le lecteur ou la lectrice en lisant ces quelques pages à suivre l¿élan de son c¿ur associé à sa raison pour comprendre que, quelque part dans ce monde si on est heureux chez soi, il y a toujours un être qui souffre entre les mains des autres et à besoin juste de vivre sans que l¿on ne fasse couler son sang impunément.

Madame des Anges, c'est comme ça que tout le monde la surnommée dans le quartier. Pourtant, son surnom ne s'éloigne en rien de son vrai nom ; pour tout vous dire elle s'appelait Angel. Mais ce surnom qui fait un peu bourgeoise-française lui va comme un gant à cause du respect que les gens ont pour son âge, sa carrure... et par-dessus tout elle tenait ce surnom grâce à son affaire fleurissante qui, à l'époque avait un grand succès dans ce coin de la ville de Kinshasa.Les gens disait, plus précisément sa clientèle raconter qüelle transmettra le savoir divin à ses filles. Qu'elle était la mère des anges... la grande dame des anges.

Juillet 1986. Billy un jeune adolescent de 16 ans compte bien profiter de ces deux mois de vacances pour se reposer et s'aérer l'esprit après une année scolaire mouvementée. Se reposer est un bien grand mot, car lui et Tchad, son ami d'enfance, ne vont pas tarder à faire une série de découvertes étranges qui vont les obliger à se battre pour que notre monde ne bascule pas dans le chaos. Ensemble, ils devront surmonter des épreuves et percer à jour les secrets¿de l'autre côté du miroir¿

La littérature est une de ces formes de communication par laquelle l¿homme se dit et dit son monde. Il y a dans la littérature une sorte de volonté anthropologique qui fait qüelle est particulièrement liée, presque indissociable de la vie humaine, elle est à juste titre le lieu d¿expression de la vie humaine. Reste à savoir maintenant les formes que prend cette expression, ses objectifs, ses destinataires¿Au fil du temps, les formes littéraires ont été créées, ont évolué et ont permis à la littérature de se révéler comme un art : l¿art de dire le monde avec des idées, des mots dans des styles esthétiques variés. Par ailleurs, l¿expression littéraire en tant qüart tire un grand profit des ressources imaginaires de l¿homme. C¿est peut-être pour cela qüon a souvent tendance à identifier la fiction à la littérature.

C¿était un jeudi matin, le soleil montrait ses rayons dans le lycée. Iris venait de faire son entrée dans la classe lorsque Jack s¿était rapproché d¿elle.-Bonjour Iris-Bonjour-Hier J¿ai rêvé de toi-Ah bon et c¿était quoi ?-Que nous marchions sur la plage, main dans la main.-D¿où Morphée t'as conçu ce rêve ? .....La lecture de la suite du roman vous fera découvrir tout une suite d'intrigues; Jack camarade de classe d¿Iris est tombé amoureux d¿elle.Drague, pleurs, inquiétude, affection, passions, toute une suite d¿évènements qui amène à se connaître et savoir comment s¿adapter, quand l¿amour réel veut s¿exprimer.

Après avoir obtenu son bac, Barka, un jeune sénégalais originaire de l¿Extrême Est du pays et passionné de questions religieuses notamment liées à l¿islam, fini par manquer d¿enthousiasme pour poursuivre ses études dans le supérieur. L¿université paraîtra à ses yeux comme un lieu non porteur d¿avenir. Sa rencontre avec Ali, un commerçant dont les affaires sont au bord de la ruine sonne presque comme une fatalité, une étape parmi les péripéties de sa vie. Hélas toutes ses man¿uvres pour la vie restent étrangement stériles et gravement d¿ailleurs. Son échec motive son choix. En effet, dans le souci de préserver sa foi, Barka choisi d¿être rigoriste. Tantôt, dans l¿intention de découvrir le vrai islam, il se pose des questions dont les réponses manquent de clarté.Conséquemment, il subit une totale radicalisation qüil finira par regretter, on peut faire ce constat avec sa défection des rangs djihadistes qüil organise à l¿insu de ses camarades.