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Bücher veröffentlicht von Gilles Bertin

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  • von Pourtant Collectif
    19,00 €

    Parmi les 36 vitres des nouvelles, poèmes et séries photos de ce Pourtant consacré au littéraire et photographique thème «Fenêtres», ce sobre tercet de 12 mots claque comme une porte dans un courant d'air. Sous ses dehors triviaux et rectangulaires, la fenêtre découpe, échantillonne, prélève dans le ciel, la nuit, la rue, le paysage, telles les photographies de L. Arrouasse, I. Otto, D. Truong, F. Martin. Elles sont cinglantes, les fenêtres, écrit la poétesse et artiste multimédia Jas Maeline, soit elles oublient de me mettre en lumière, soit elles m'appellent, [...] elles veulent, les fenêtres, que je les prenne dans mes bras, que je leur saute à travers pour la tentative de la tendresse. La tendresse, parlons-en : les personnages des nouvellistes B. Bourlier, F. Herbert-Pontais, des photographes M. Dew, F. Malapris, D. Cattinari, L. Laboudigue, des poètes V. Baudry, A. Lerasle, sont des êtres seuls, confrontés ou qui se confrontent à des sentiments qui les dépassent, dehors s'ils sont dedans, dedans s'ils sont dehors, sentiments à tenir distants, pour éviter de sauter par la fenêtre (P. Chevallier Curt) ou pour les chérir à travers la vitre du temps (P.E. Cayral). Par bonheur, comme chez Brel, la fenêtre prête aussi à rire, à applaudir, théâtre de boulevard pour qui oublie ses clés, pour assister à l'arrivée des extra-terrestres, écouter le rossignol, quand il ne faut pas la changer pour cause de diagnostic énergétique ou la troquer contre le pare-brise d'une voiture-appartement SDF. Alors, il y a la poésie, celle que nous offre pour la première fois, en exclusivité, après une douzaine de romans et des dizaines de nouvelles, le grand Marcus Malte. Sa fenêtre ?

  • von Collectif Pourtant
    19,00 €

    «Te voilà bête domestique et pourtant à jamais hors d'atteinte.», constate le narrateur du bref texte "Jour de l'an" ouvrant ce numéro de pourtant consacré à «Sauvage ?» Il parle à un faon mort depuis plusieurs jours dans la forêt, employant cette 2e personne qui s'adresse au lecteur, à toi. Serais tu également sauvage ? Enfant faon ? Qu'est-ce qu'être sauvage ? Pour le photographe Alain Mangeot, en couverture, c'est le mouvement. Le mouvement de l'envol, précise avec des photographies le poète Nils Lisnic. Pour l'auteur de polar écolo Pascal Dessaint dans sa bouleversante nouvelle "Le dernier fil", ou un homme pleure devant le dernier documentaire animalier diffusé à la télévision, c'est le divorce inéluctable de l'homme et du sauvage. Pourtant, si selon le poète Jim Harrison «les poèmes sont eux mêmes une expression du sauvage«, alors la poésie très présente dans les 148 pages de ce numéro expriment le contraire avec sa persistance têtue. Et, lorsque sous la plume tendre et vigoureuse de Viviane Campomar, un rabatteur quitte le clan des chasseurs du village pour adopter une femelle marcassin, c'est l'histoire initiatique d'un retour de l'être humain au sauvage. Voire chez Jean-Pierre Brazs, un 1789 du végétal taillé, élagué, tondu, qui se rebelle dans une savoureuse "Révolte des pelouses".

  • von Pourtant Collectif
    19,00 €

  • von Collectif Pourtant
    19,00 €

  • von Collectif Pourtant
    18,00 €

  • von Collectif Pourtant
    21,00 €

    « Trouvez-moi, s'il vous plaît quelque chose, pas grand chose, quelque chose qui ressemble à la foule, encore, des gens que je ne connais pas déjà, que j'aimerai beaucoup, très vite, très peu, que j'oublierai demain, et trouvez-moi des nuits, sans méfiance ni contrôle, trouvez-moi un vieux bar un peu crade où commencer la fête et où la terminer, accoudé quelque part au milieu d'un dialogue nocturne et peut-être insensé, trouvez moi des journées qui se contrediront, des jours qui changent un peu, pour presque rien, comme un regard, un détail, un salut, une balade, un retard, une envie... »Thomas Pietrois-ChabassierIl fallait durant ce confinement opposer des mots et des photos de vie aux mots et images qui nous enfermaient. Il fallait témoigner du pendant et épeler l'après pandémie. À la demande de la revue Pourtant, du 16 mars à juin 2020, 20 autrices, auteurs, photographes sont allés dans « Un monde sans visages » chercher l'autre. Ils en ont secoué le politique dans « Un hymne à la sauvagerie » et en ont tisonné les transgressions dans « Fantasmes interdits ». Ils ont regardé l'intime bouleversé par cette pandémie : « Se laissera-t-on aller à l'ivresse de la veille ? »

  • von Pourtant Collectif
    17,00 €

    PourtantCréation et rencontre littéraire et photographiqueNuméro 1, juillet 2020

  • von Collectif Pourtant
    19,00 €

    Les aiguilles des boussoles des 10 photographes, 9 nouvellistes, 5 poètes qui contribuent à ce numéro s'affolent au voisinage du pôle de passions aussi communes que l'amour, l'ASMR (Autonomous Sensory Meridian Response) , les voitures de collection ou l'embrochage de citations de poètes aux ailes d'albâtre. Voire pour l'éditeur David Meulemans (Aux forges de Vulcain) pour la passion de la passion dans un texte métonymique à lire impérativement en page 7. Au centre précis du pôle magnétique, ces aiguilles s'immobilisent, comme le vent dans l'oeil du cyclope. La passion étrécit heureusement la vue et tout est calme, simple et évident. L'amitié offerte est acceptée, fils et père roulent ensemble dans la DS Pallas paternelle restaurée, l'île noyée de brume devient le lieu d'alliance Chloé Baudry et Léna Maria ou du chasseur Yannick Cordemy, les épreuves photographiques révèlent la photographe azérie Fidan Nazim qizi. Ou bien tout se dérègle sous l'effet de ce magnétisme orageux, l'artiste détruit son oeuvre, l'amoureux rompt, la moto vole dans le décor. L'aiguille de la boussole est le doigt qui montre la Lune où se promènent les victimes des passions.

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