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  • von Moliere
    17,00 €

    Orgon est l'archétype du personnage de cour tombé sous la coupe de Tartuffe, un hypocrite et un faux dévot. Il est, ainsi que sa mère, Madame Pernelle, dupe de Tartuffe. Ce dernier réussit à le manipuler en singeant la dévotion et il est même parvenu à devenir son directeur de conscience. Il se voit proposer d'épouser la fille de son bienfaiteur, alors même qu'il tente de séduire Elmire, la femme d'Orgon, plus jeune que son mari. Démasqué grâce à un piège tendu par cette dernière afin de convaincre son mari de l'hypocrisie de Tartuffe, Tartuffe veut ensuite chasser Orgon de chez lui grâce à une donation inconsidérée que celui-ci lui a faite de ses biens. En se servant de papiers compromettants qu'Orgon lui a remis, il va le dénoncer au Roi. Erreur fatale : le Roi a conservé son affection à celui qui l'avait jadis bien servi lors de la Fronde. Il lui pardonne et c'est Tartuffe qui est arrêté.

  • von Moliere
    16,00 €

    Deux jeunes gens, Éraste et Valère, courtisent la fille d'Albert, Lucile, dont le c¿ur penche vers Éraste. Ce dernier apprend de Mascarille, le valet de son rival, que, depuis trois jours, Lucile et Valère se sont mariés. Dans sa fureur, Éraste charge Marinette, la servante de Lucile, d'annoncer à sa maîtresse que leur relation est finie. Gros-René, le valet d'Éraste, se brouille également avec Marinette. S'ensuit un véritable dépit amoureux. Mais c'est seulement à la fin que l'histoire est démêlée.Pour recueillir l'héritage d'un très riche parent, Albert devait avoir un fils. Malheureusement, sa femme ayant accouché d'une fille, il a substitué le fils de la bouquetière, mais ce bébé est mort à l'âge de dix mois. Sa femme a repris chez elle sa fille pour l'élever sous le nom d'Ascagne, à la place du garçon qu'elle n'avait pas eu. En effet c'est Ascagne, une s¿ur de Lucile, jusque-là dissimulée sous des vêtements d'homme, qui s'est unie secrètement à Valère, alors que celui-ci se croit l'époux de Lucile. Cependant Valère se console vite de sa mésaventure en se trouvant l'époux d'une femme charmante, et abandonne volontiers à son rival Éraste la main de Lucile. Gros-René et Marinette suivent l'exemple de leurs maîtres et se marient.

  • von Moliere
    17,00 €

    Truffaldin garde chez lui une esclave du nom de Célie. Lélie qui se trouve charmé charge son serviteur Mascarille 'fourbum imperator' de tout mettre en ¿uvre pour obtenir les faveurs de la belle esclave. Mais Lélie est étourdi et ses maladresses sont autant de bâtons dans les roues de Mascarille.

  • von Moliere
    16,00 €

    La Princesse d'Élide est une comédie galante, mêlée de musique et d'entrées de ballet en cinq actes de Molière, représentée pour la première fois à Versailles le 8 mai 1664, et donnée ensuite au public sur le Théâtre du Palais-Royal le 9 novembre 1664 par la troupe de Monsieur, frère unique du Roi.Seuls l'acte premier et une partie de la première scène du second acte sont rédigés en vers. Pressé par le temps, Molière a achevé la comédie en prose. En dépit de nombreuses reprises à la cour, l'auteur ne chercha jamais à parfaire son ¿uvre.

  • von Moliere
    16,00 €

    Le Barbouillé est marié avec Angélique. Mais il n'est pas satisfait de sa femme qui, dit-il, le fait enrager. Il demande au docteur son avis sur la façon de la punir.À la scène suivante, on voit apparaître Angélique, qui se plaint également de son mari à son amant Valère. Le Barbouillé revient et se plaint de la présence de Valère. Gorgibus, le père d'Angélique, ne peut dissiper la dispute. Le docteur qui veut s'en mêler est traîné hors de scène par Le Barbouillé.Angélique se décide à aller à un bal, où elle espère retrouver Valère. Au retour, elle trouve porte close, et son mari à la fenêtre, qui refuse de la laisser entrer. Elle fait semblant de se donner la mort avec son couteau, et Le Barbouillé, incrédule, descend voir ce qu'il en est. Angélique en profite pour entrer dans la maison et fermer la porte derrière elle. La situation est alors inversée : c'est Le Barbouillé qui est maintenant dehors. Angélique se plaint à son père qui est revenu, que son mari ne rentre qu'à cette heure, ivre. Le Barbouillé, ne pouvant se justifier, enrage.

  • von Tertullien
    16,00 €

    " Ceux qui, cherchant à ébranler la foi à la résurrection, que l'on avait crue fermement jusqu'à ces modernes Sadducéens, prétendent que cette espérance n'appartient point à la chair, ont raison de mettre en question la chair de Jésus-Christ, et de soutenir ou qu'elle n'existe pas, ou qu'elle est tout autre chose que la chair de l'homme. Ils craignent que s'il est prouvé une fois que cette chair est semblable à la nôtre, il n'en sorte contre eux la présomption que cette chair, ressuscitée en Jésus-Christ, ressuscitera infailliblement dans les hommes. Il faut donc soutenir la réalité de la chair avec les mêmes arguments qui servent à la renverser. Examinons quelle est la substance corporelle du Seigneur. Quant à sa substance spirituelle, tout le monde est d'accord. Il ne s'agit que de sa chair. On dispute de sa vérité, de sa nature, de son existence, de son principe, de ses qualités. Sa réalité deviendra le gage de notre résurrection. Marcion, voulant nier la chair du Christ, a nié aussi sa naissance : ou, voulant nier sa naissance, a nié également sa chair, sans doute de peur que la naissance et la chair ne se rendissent témoignage dans leur mutuelle correspondance..."

  • von Moliere
    17,00 €

    La pièce tourne essentiellement autour d'Argan, qui est le malade imaginaire qui a donné son titre à la pièce. Veuf, il s'est remarié avec Béline qui simule des soins attentifs, mais n'attend en réalité que la mort de son mari pour hériter.Il se fait faire des saignées, des purges et prend toutes sortes de remèdes, dispensés par des médecins pédants et soucieux davantage de complaire à leur patient que de la santé de celui-ci. Toinette, sa servante, se déguise en médecin et lui dispense des conseils pleins d'ironie où elle se moque du ridicule des médecins.Angélique, sa fille, aime Cléante au grand dépit d'Argan. Il préférerait voir sa fille mariée à Thomas Diafoirus lui-même médecin.Pour les tirer d'affaire, Toinette recommande à Argan de faire le mort. Sa femme est appelée par Toinette, et manifeste sa joie d'être débarrassée de son mari devant celui-ci, qu'elle croit mort. Toinette appelle ensuite Angélique, qui manifeste un chagrin sincère de la mort de son père : celui-ci arrête aussitôt son jeu et accepte l'union de sa fille avec Cléante, à la condition que ce dernier devienne médecin. Son frère, Béralde, lui conseille de devenir médecin lui-même, ce qu'il accepte. La pièce se termine par une cérémonie bouffonne d'intronisation d'Argan à la médecine.

  • von Moliere
    16,00 €

    Alceste hait l'humanité tout entière, y dénonce l'hypocrisie, la couardise et la compromission. Mais il aime pourtant Célimène, coquette et médisante. Le vertueux se lance ainsi dans des combats perdus d'avance qui l'acculent à la fuite... Molière y critique les m¿urs de la Cour, l'hypocrisie qui règne dans cette société du paraître, où les comportements frisent la parodie.

  • von Tertullien
    16,00 €

    " Je ne doute point, mon frère, qu'après avoir envoyé devant toi ton épouse dans la paix du Seigneur, résolu désormais à posséder la tranquillité de l'âme, tu ne songes à vivre dans la viduité, par conséquent, que tu n'aies besoin de conseils. Quoique, en pareille conjoncture, chacun doive s'interroger soi-même et consulter ses propres forces, comme les nécessités de la chair interviennent dans les délibérations de l'esprit, et résistent dans la même conscience à la foi, celle-ci a besoin de conseils étrangers qui lui servent, pour ainsi dire, d'avocat contre les réclamations de la chair. Il est très-facile d'imposer silence à ces réclamations, si l'on considère la volonté de Dieu plutôt que la condescendance à la chair. On ne se rend point agréable à Dieu en flattant les sens, mais en obéissant à la volonté divine. Or, la volonté de Dieu, c'est que nous soyons saints. En effet, il veut que l'homme, créé à son image, devienne sa ressemblance, afin que nous soyons saints comme il est saint lui-même. Ce bien, ou en d'autres termes, la sanctification, je le divise en plusieurs degrés, pour que chacun de nous puisse y prendre part. Le premier degré, c'est la virginité conservée depuis la naissance..."

  • von Tertullien
    16,00 €

    " Les hérétiques suppriment les noces ; les Psychiques les multiplient. Les premiers ne se marient pas même une fois ; les seconds se marient plusieurs fois. Que deviens-tu, ô loi du Créateur ? Entre les eunuques du dehors et tes voluptueux serviteurs, tu gémis autant de la soumission des tiens que du mépris des étrangers ; conséquemment même offense de la part de ceux qui abusent et de ceux qui n'usent pas. Mais la continence de cette nature n'est pas louable, parce qu'elle est hérétique ; l'usage est illégitime, parce qu'il est psychique. Ici, blasphème ; là, luxure : d'un côté destruction, de l'autre déshonneur pour le Dieu qui institua le mariage. Chez nous, au contraire, qui justifions notre nom de spirituels par la connaissance des dons spirituels, la continence est aussi religieuse que l'usage est pudique, puisque l'un et l'autre sont avec le Créateur. La continence rend gloire à la loi du mariage, l'usage la tempère...."

  • von Tertullien
    16,00 €

    " Il arriva dernièrement qu'une dispute s'éleva entre un Chrétien et un prosélyte juif. La discussion se prolongea de part et d'autre jusqu'au soir, sans qu'ils eussent rien avancé. D'ailleurs le bruit de quelques auditeurs causait un tel trouble que la vérité demeura comme enveloppée d'un nuage. J'ai donc jugé à propos d'examiner avec plus de soin ce qui n'avait pu être éclaira par la discussion, et d'achever par un traité le développement de ces matières. L'occasion de défendre au nom des nations la grâce divine qui leur appartient, a eu du moins cet avantage qu'un homme, sorti des nations et qui n'est pas Juif, ni de la race d'Israël par le sang, a commencé de revendiquer la loi de Dieu. Il suffirait déjà, en effet, que les nations pussent être admises à la loi de Dieu, pour qu'Israël ne fût pas en droit de répéter avec orgueil que les nations ne sont qu'une goutte d'eau dans un vase d'airain, qu'une paille légère emportée parle vent. ..."

  • von Tertullien
    16,00 €

    Aux Nations est un écrit apologétique en deux livres. Il se concentre sur la défense du christianisme par la dénonciation des principes du paganisme et la démonstration de ses absurdités, dans un discours "aux peuples".

  • von Moliere
    16,00 €

    Sganarelle s'introduit chez le bourgeois Gorgibus, pour servir les amours de Valère. Il se fait passer pour un médecin mais Gorgibus le rencontre par hasard sans son habit de médecin. Il s'en sort en inventant un frère jumeau et doit par la suite jouer les deux personnages devant le bourgeois, en passant rapidement d'un rôle à l'autre...

  • von Tertullien
    16,00 €

    " Les Valentiniens, secte nombreuse parmi les hérétiques, parce qu'elle se recrute des apostats de la vérité, penche volontiers pour les fables, et n'a rien d'effrayant dans sa discipline ; les Valentiniens n'ont d'autre souci que de cacher ce qu'ils prêchent, si toutefois c'est prêcher que de cacher sa doctrine. Les ténèbres dont ils s'enveloppent sont une précaution qui les accuse. Ils affichent leur ignominie en affirmant leur religion. En effet, le silence qui recouvre les mystères d'Éleusis, espèce d'hérésie dans la superstition grecque, en est la honte. Voilà pourquoi ils imposent de rudes épreuves, réclament une longue initiation, mettent un sceau sur la langue, et fixent à cinq ans la durée du noviciat, afin d'accroître l'estime en ajournant la connaissance et de relever la majesté des mystères en allumant le désir. Puis vient le devoir du silence. On garde avec attention ce qu'on a découvert si tard. D'ailleurs cette divinité qui réside dans le sanctuaire, ces soupirs des candidats, ce sceau apposé sur la langue, à quoi tout cela vient-il aboutir ?..."

  • von Moliere
    16,00 €

    Piégé dans le château de la belle Elvire qu'il a sauvée des griffes du tyran Mauregat et qu'il doit garder en sécurité, Dom Garcie ne peut prouver son héroïsme au combat. C'est justement pendant cette absence sur le terrain que son rival amoureux, Dom Sylve de Castille, galvanise les troupes contre le tyran et séduit la belle qui ne sait plus lequel de ses deux prétendants choisir.Dom Garcie s'enferme dans sa jalousie de plus en plus maladive où la moindre parole de sa protégée devient promesse de mariage en faveur de son concurrent.

  • von Tertullien
    16,00 €

    " La chair est l'axe du salut: lorsque l'âme est choisie par Dieu en vue de ce salut, c'est la chair qui fait que l'âme peut être ainsi choisie par Dieu. Mais la chair aussi est lavée pour que l'âme soit purifiée, la chair reçoit l'onction pour que l'âme soit consacrée, la chair est marquée d'un signe pour que l'âme soit protégée; la chair est couverte de l'ombre de l'imposition des mains pour que l'âme soit illuminée par l'esprit, la chair se nourrit du corps et du sang du Christ pour que l'âme se repaisse de la force de Dieu. On ne peut donc séparer dans le salaire ce que le travail réunit. Car même les sacrifices agréables à Dieu, je veux dire les luttes de la chair et de l'âme, les jeûnes, les repas différés et frugaux, et les haillons qui sont l'accompagnement de tels exercices, c'est la chair qui les offre à son propre préjudice. La virginité également, le veuvage, la continence cachée dans le secret du mariage et une expérience conjugale unique sont des offrandes à Dieu prises sur les biens de la chair..."

  • von Moliere
    16,00 €

    Le Médecin malgré lui est une pièce de théâtre de Molière en trois actes de respectivement 5, 5 et 11 scènes en prose représentée pour la première fois le 6 août 1666 au Théâtre du Palais-Royal, où elle obtint un grand succès. Reprenant des motifs issus de la comédie italienne déjà utilisés dans Le Médecin volant et L'Amour médecin, Molière y ajoute des éléments tirés de la tradition de la farce française et de celle des fabliaux du Moyen Âge. La grivoiserie de certaines situations et la parodie des pratiques médicales de l'époque, qui constituent les principaux thèmes du Médecin malgré lui, dissimulent une satire de la crédulité, voire une critique de la religion.

  • von Moliere
    16,00 €

    En l'absence de leurs pères partis en voyage, Octave, fils d'Argante ainsi que Léandre, fils de Géronte, se sont épris l'un de Hyacinthe, jeune fille pauvre et de naissance inconnue qu'il vient d'épouser, le second de la jeune Égyptienne Zerbinette.Au retour d'Argante, Octave, très inquiet de la réaction paternelle à l'annonce de son union et, de plus, fort à court d'argent, implore l'aide de Scapin, valet de Léandre. Mais cet habile ouvrier de ressorts et d'intrigues ne parvient pourtant pas à faire fléchir le vieillard.Argante répète à Géronte la nouvelle qu'il tient d'une indiscrétion de Scapin : Léandre a commis une grave erreur. Aussi le jeune homme, fort mal accueilli par son père, corrige vertement le valet pour sa trahison. Mais il quitte bientôt son ressentiment pour le supplier de lui venir en aide : il lui faut payer une rançon pour Zerbinette s'il ne veut pas la voir enlevée par les Égyptiens...

  • von Moliere
    16,00 €

    Éraste est un gentilhomme amoureux d'Orphise. Malheureusement le tuteur de la jeune fille, Damis, projette un mariage avec un autre prétendant. Eraste doit se rendre à un rendez-vous amoureux avec Orphise, mais une dizaine de fâcheux ne cessent de les importuner l'un et l'autre. Damis, ayant entendu qu'Éraste projette de venir dans la maison d'Orphise veut l'assassiner. Mais Damis est attaqué par les valets d'Éraste. Le jeune homme le défend vaillamment et obtient ainsi, après cet acte de courage, la main d'Orphise.

  • von Moliere
    16,00 €

    Madame la Comtesse d'Escarbagnas, noble veuve provinciale, est de retour chez elle, au terme d'un voyage de deux mois à Paris.Un séjour qui lui a permis de voir toute la Cour à Versailles, d'y observer l'étiquette pratiquée par les gens du monde, leur conversation, leurs manières, leurs usages...Éblouie, elle s'est bien juré de faire pratiquer en sa propre demeure d'Angoulême les bonnes manières qu'elle se vante d'avoir apprises à Paris...

  • von Moliere
    16,00 €

    Burlesque et mordant, Molière, dans sa pièce, tend un piège à deux pecques de province qui se prennent pour des femmes branchées ultra-spirituelles quand elles ne sont que des... Précieuses ridicules. Vite, venez nous tendre ici dedans le conseiller des grâces. Vite, voiturez-nous ici les commodités de la conversation. Ne soyez pas inexorable à ce fauteuil qui vous tend les bras ! Hors de Paris il n'y a point de salut pour les honnêtes gens. Votre ¿il en tapinois me dérobe mon c¿ur ! Les gens de qualité savent tout sans avoir jamais rien appris.

  • von Moliere
    16,00 €

    Deux jeunes amants, Éraste et Julie, vivent à Paris. Ils se rencontrent en secret de peur qu'Oronte, le père de Julie, découvre leur relation. Oronte a donné sa fille en mariage à un certain Léonard de Pourceaugnac, bourgeois de Limoges. Dégoûtés par cette idée, les deux amants font appel à une entremetteuse, Nérine et un fourbe napolitain Sbrigani, pour contrer le projet d'Oronte. Dès son arrivée, la ville entière essayera de ridiculiser le nouvel arrivant, et de le dégoûter de la vie urbaine.Éraste survient et dit reconnaître en monsieur de Pourceaugnac un ancien ami, bien qu'ils ne se soient jamais vus, de sorte que celui-ci accepte l'hospitalité qui lui est proposée. Après avoir gagné sa confiance, Sbrigani et Éraste, feignant de le protéger, emploient de multiples moyens pour se débarrasser de lui. Ils persuadent deux médecins que monsieur de Pourceaugnac est fou, mais plus il proteste, plus l'étranger est menacé de saignées et de lavements. Après avoir échappé de justesse à une phlébotomie complète, monsieur de Pourceaugnac est accusé par un soi-disant marchand flamand d'avoir d'innombrables dettes envers lui...

  • von Moliere
    16,00 €

    Deux frères sont tous deux tuteurs de deux s¿urs orphelines. Tolérant et compréhensif, Ariste laisse Léonor libre de ses choix. Son cadet, Sganarelle, se montre, en revanche, rébarbatif et circonspect envers Isabelle qui, amoureuse de Valère, devra avoir recours à des subterfuges pour avoir raison des soupçons de son impérieux tuteur. Elle se rendra ainsi, en se faisant passer pour sa s¿ur, chez son amoureux pour se faire épouser légitimement par lui. Ariste se verra, au contraire de Sganarelle, récompensé de sa largeur d'esprit envers Léonor, en l'épousant.

  • von Moliere
    16,00 €

    Amphitryon et Sosie sont les victimes de Jupiter et Mercure. Jupiter est en effet amoureux d'Alcmène, la femme d'Amphitryon et le voilà prendre l'apparence du mari. S'ensuivent scènes cocasses entre Sosie et Mercure, les deux Amphitryon, des qui-pro-quo entre les maris et les épouses... C'est bien écrit, c'est drôle, c'est court, et on en redemande !

  • von Moliere
    16,00 €

    Deux femmes, Uranie (en référence à la muse de l'astronomie) et Élise, reçoivent des connaissances, et tous discutent de la pièce L'École des femmes qu'ils viennent de voir. Chacun possède un avis tranché : les uns ont aimé, les autres non.Dans le camp des contre , il y a le pédant Lysidas, auteur jaloux du succès de la pièce, le Marquis, personnage sot et prétentieux et Climène, qui affiche une pudeur et une dévotion aisément froissées.Dans le camp des pour , on trouve Dorante, ami de Molière, homme posé et tranquille, Uranie, la maîtresse de maison, et Élise, femme d'esprit, qui feint de soutenir le parti adverse, soulignant par son approbation indéfectible la faiblesse ou l'ineptie des arguments de ceux-ci.Chacun reste sur ses positions, et l'annonce du souper servi sert de dénouement. Ils s'y rendent tous avec plaisir, chacun étant persuadé d'avoir emporté la discussion et de s'y être montré à son avantage.

  • von Moliere
    15,00 €

    L'amour Médecin reprend le canevas classique d'une comédie : l'amour contrarié de deux jeunes gens. Comme dans le médecin malgré lui, Lucinde feint d'être malade parce que son père ne veut pas qu'elle épouse l'homme qu'elle aime. Comme dans le médecin malgré lui, les médecins ne se rendent pas compte que la malade simule, parce qu'ils sont trop occupés à se quereller, quand ils ne comparent pas leur monture et leur clientèle. Molière, pour créer ses personnages, se serait inspiré des médecins de la famille royale.

  • von Plaute
    16,00 €

    Cette comédie traite le sujet est la fourberie machinée par un esclave amoureux aux dépens d'un prostitueur. En effet, l'esclave Taxil, aime une courtisane. Pour pouvoir lui trouver de l'argent, un de ses camarades se déguise en Perse et prétend vouloir vendre une jeune fille enlevée. Celle-ci est en réalité la fille d'un homme libre...

  • von Moliere
    16,00 €

    Les Amants magnifiques est une comédie-ballet de Molière sur une musique de Jean-Baptiste Lully, composée et représentée à l'occasion du carnaval de février 1670, au cours de festivités nommées Divertissement royal. C'est lors de cette représentation que Louis XIV monte pour la dernière fois sur scène en tant que danseur.Derrière l'amusement d'une intrigue sentimentale et romanesque - deux princes rivaux se disputent une jeune princesse qui aime un soldat de fortune, sans noblesse mais non sans gloire, lequel la sauve d'un féroce sanglier et se trouve ainsi autorisé à épouser celle qu'il aime -, Molière fait le procès de l'astrologie notamment grâce au personnage d'Anaxarque, astrologue charlatan. Cette exécution, écrit G. Couton, donnait une leçon de raison à une cour et à une civilisation qui en avaient bon besoin.

  • von Plaute
    16,00 €

    Les Bacchis ou Les Bacchides (latin : Bacchides) est une pièce du dramaturge romain. Le n¿ud de l'action est un quiproquo concernant deux s¿urs, toutes deux filles publiques, du même nom de Bacchis. La pièce met en exergue l'habileté et l'intelligence des serviteurs, supérieure à celle des maîtres qu'ils servent - un thème fréquent chez Plaute.Cette comédie est vraisemblablement une adaptation de la pièce de Ménandre (Dis Exapaton), La double tromperie ou Les deux impostures . Le début de la pièce est perdu mais il est reconstitué dans les restitutions modernes à l'aide du contexte et d'une vingtaine de fragments qui ont été sauvegardés.

  • von Plaute
    16,00 €

    Un jeune homme, Charin, est tombé amoureux de Pasicompsa alors qu'il était en voyage de négoce avec son père. Il la ramène à Athènes avec lui. Le phère de Charinus, Démiphon, se rend vers le bateau alors qu'il est à quai et que Pasicompsa se trouve à bord. Pour expliquer la présence de la jeune fille, Acanthion, l'esclave de Charin, invente que Charin l'a apportée afin d'en faire une esclave pour sa mère.Mais Démiphon tombe également amoureux de la jeune fille et réfléchit à un stratagème pour se l'approprier. Il va trouver son fils et lui dit qu'il a besoin de la vendre. Le vieil homme affirme l'avoir promise à son ami Lysimaque, mais Charin, lui, prétend avoir fait de même avec son ami Eutyque. Mais Charin perd l'affaire et, désespéré, envisage de partir au loin.Pendant ce temps, Lysimaque emmène Pasicompsa chez lui temporairement, jusqu'à ce que Démiphon puisse lui trouver un meilleur endroit pour séjourner. L'épouse de Lysimaque découvre cependant la jeune femme, et pensant que son mari la trompe, va le trouver. Bientôt, Eutyque découvre que Pasicompsa est chez Lysimaque et prévient Charinus. Quand Démiphon découvre que son fils est amoureux de la jeune femme, il finit par renoncer à l'obtenir pour lui-même et laisse à son fils Pasicompsa.

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