Bücher veröffentlicht von Sinope Editions

Plongez dans l'univers fascinant d'Al Capone, l'un des plus célèbres gangsters américains du XXe siècle. Dès son adolescence, ce bandit au surnon évocateur de "Scarface" forge son destin dans les rouages du crime. Sa fortune fulgurante, acquise grâce au trafic d'alcool de contrebande pendant la prohibition des années 1920, en fait une figure emblématique de son époque.Dans son autobiographie saisissante, Al Capone dévoile les méandres de son parcours tumultueux. Au fil des pages, entre révélations et mystères, il semble se livrer comme jamais auparavant. Mais dans cet océan de confessions, où se cache la vérité ?"Ma vie", fruit de conversations entre un journaliste intrépide et le célèbre mafieux, offre un regard sans filtre sur l'homme derrière le mythe. Malgré les mensonges et les ombres qui jalonnent son récit, cette plongée dans l'univers trouble d'Al Capone promet une expérience captivante et révélatrice.

Un meurtre ? Quoi ? Un meurtre ? Non pas de meurtre, mais la belle histoire du savant Sylvestre Bonnard attaché à ses livres.Historien, philologue, le narrateur nous emmène dans son quotidien atypique et plus insolite qu'il n'y paraît.Anatole France s'est fait connaître grâce à ce premier roman. Son verbe si soigné séduit. L'écrivain et poète a reçu le prix de l'Académie française. Il demeure incontournable pour tous les amoureux et amoureuses de la langue française.

Je danserai. Je m'ennivrerai de vin de figues et me donnerai aux soldats.Je me ferai vile et méprisable.De vos cierges je ferai du savon, et de vos candélabres des instruments de plaisir.Je me présenterai nue devant votre Roi et me ferai lécher par ses chiens.Je terminerai par une tarte aux framboises, un café et l'addition.

"Celle du viaduc", c'est une drôle de femme.Personne ne connait son nom. Personne ne sait d'où elle vient, ni ce qui l'a amenée là. Elle a fait sa maison, en bord de mer, sous un viaduc au bruit infernal.Il y a ceux qu'elle fascine, ceux qu'elle effraie. Parce qu'une femme aussi seule et qui n'a peur de rien, ça fait forcément peur à tout le monde.Il y a celles qui viennent à sa rencontre et l'écoutent.Car un soir, elle se met à raconter. Et elle dit les fractures irréductibles, les mauvais choix ou le "pas le choix", la volonté de ne pas fléchir, jamais. De se reconstruire toujours, même si c'est comme une cahute de cartons et de tôle en plein vent."Celle du viaduc", c'est un récit de cassures, de refus, de révoltes.Existe-t-elle vraiment ? Ce qu'elle raconte, l'a-t-elle vraiment vécu ? ou est-ce une idée de femme, un fantôme, que les autres font naître ?

Un meutre a été commis rue Grenat. En tant que journaliste, Kasimir Alou doit se rendre sur les lieux du crime. Mais chose surprenante c'est une immortelle qui a été tuée ? Comment une telle horreur a-t-elle pu se produire ? Le journaliste va devoir enquêter. Pris au piège d'une spirale infernale, Kasimir Alou fera des découvertes sur la société et sur lui-même.Le personnage principal de ce récit de science-fiction vit dans un monde décharné, mais à mesure qu'il avance dans son enquête, il finira par comprendre pourquoi.Inconsciemment, à chaque étape surmontée c'est une part d'humanité qu'il reconquiert. Saura-t-il aller jusqu'au bout et regagner son humanité tout entière ?

Petite, Maryse Bastié disait qu'elle voulait devenir marin.Ce n'est pas marin qu'elle deviendra mais aviatrice ! Maryse Bastié a battu de nombreux records féminins d'aviation. Femme engagée, elle devient résistante pendant la guerre. Elle ne fuit pas le danger. Tout au long de sa carrière, elle va rencontrer des femmes et des hommes qui respectent son talent. Quant à ceux qui ne la prennent pas au sérieux, elle les ignore et continue sans se plaindre.Lire "Aile ouvertes : Carnet d'une aviatrice", c'est aller à la rencontre de Maryse Bastié à travers ses propres mots. La réédition de cet ouvrage incontournable à nos yeux est la meilleure façon de rendre hommage à cette femme d'exception.

Découvrez une multitude d'auteurs talentueux grâce aux chroniques de Gilles Vidal. Grâce à lui nous pouvons voir oh combien la littérature reste riche et diversifiée !

La guerre marque à jamais le corps et l'esprit.Perdu dans les contrées désertiques de l'Afghanistan, Enzo vit chaque jour comme si c'était le dernier.Jeune homme insouciant et amoureux de la belle Loana, comment aurait-il pu imaginer que sa vie basculerait à ce point au moment où le soldat s'en va en guerre ?C'est l'histoire d'un conflit contre un ennemi invisible, d'une cause à défendre pour rendre le monde plus juste. Mais tout le monde sait bien qu'aucune morale ne peut exister sous les bombes. La souffrance se situe dans les deux camps. Enzo le voit, le ressent.Les combats, l'adversité transforment le jeune soldat qui ne sera plus jamais le même. L'amour pourra-t-il le sauver ?

Comme un diamant posé sur un océan de mots. "Filigranes" rend hommage aux poètes, aux peintres, mais aussi à des proches.Le lecteur observe un espace extérieur envoûtant pour mieux contempler un monde intérieur mystérieux.

Arnitoile est le nom wallon de la toile d'araignée.Ce nouvel ouvrage de Patryck Froissart est une juxtaposition de poèmes cassés, de strophes brisées, de vers dispersés, de compositions désarticulées sur le thème de la vieillesse, de la nostalgie, de la Mort qui rôde en cercles centripètes.

"La France semble atteinte d'une grande déception à l'endroit de ses gouvernants." Tels sont les mots écrits par Arthur Arnould au début de son essai. Cette phrase n'est-elle pas encore d'actualité ?Ecrivain et journaliste libertaire, Arnould n'a pas toujours été compris de son époqie, trop souvent rejeté par les politiciens qu'il fréquentait. Pourtant, ses écrit sont d'une modernité suprenante."L'Etat et la Révolution" explique la théorie du marxisme afin d'expliquer comment et pourquoi il est nécessaire de s'extirper de la machine étatique pour fonder un monde plus juste. Contre l'Etat, Arnould donne les solutions pour que le peuple puisse enfin s'en passer.

Charles Virmaître a beaucoup écrit sur Paris et ses moeurs, mais dans cet ouvrage il évoque les événements qui se sont passés à la Commune de Paris en 1871. Cette période insurectionnelle a duré 72 jours, du 18 mars au 28 mai 1871.Il est intéressant de lire cet ouvrage afin de comprendre l'enchaînement des faits ; ceux-ci sont rapportés minutieusement par l'auteur. Virmaître joue ici son rôle d'historien et essaye de rester le plus neutre possible, excepté dans les derniers chapitres.Cet ouvrage reste une référence et demeure fidèle à l'édition originale de 1871.La Commune symbolise encore aujourd'hui les mouvements révolutionnaires de gauche.

Dans la nuit qui suivit son concert du 21 avril 2001 à Montpellier, Allain Leprest se livra à une discussion chaleureuse et débridée au micro de Claude Frigara, en présence de Fabrice Plaquevent, complice des premières chansons. Ce livre retranscrit fidèlement cet entretien. Allain Leprest, poète et chanteur inoubliable se montre tel qu'il est dans cet ouvrage qui transpire de sincérité.

"Le temps déchiré" met en scène des êtres marginaux qui tentent coûte que coûte d'échapper au tragique de leur existence. L'auteur raconte avec affection cynisme et ironie le parcours de ces personnages un peu hors du commun.C'est un théâtre ouvert sur le monde obscur, occulté par la lâcheté de ceux qui ne veulent pas voir. Quatre personnages sont mis en scène, quatre exilés qui vont se rencontre par hasard dans un lieu abandonné et inhospitalier.Le temps comme un étau qui se resserre, duquel les personnages vont essayer de se libérer en ayant l'illusion d'agir jusqu'à la déchirure.

Chacun sait que la politique française en Afrique depuis longtemps mise en cause pour ses relents néocoloniaux et son conservatisme, est fortement contestée et rejetée par les nouvelles générations africaines.L'ex-puissance coloniale peine véritablement à renouveler sa relation avec les jeunesses d'Afrique francophone, qui ne croient guère aux promesses d'une rupture avec les pratiques du passé. Dans ce livre, sans concessions, remarquablement documenté, l'auteur pointe méthodiquement les erreurs, les lâchetés et les ambiguïtés qui ont émaillé la politique africaine de la France.

Le lecteur fait la connaissance d'un maître guérisseur qui se rit du malheur. Thérapeute ou démon ? Nul ne le saura vraiment. Celui qu'on nomme "maître" officie derrière les murs des bureaux du Trocadéro. Existe-t-il réellement ?Où se cache-t-il exactement ? Il faut payer de sa personne pour le savoir, rien n'est donné ! C'est le risque que prend notre personnage, un jeune homme qui voudrait échapper à son sort de moins que rien.Mais toute guérison passe par la découverte du corps. Ermann Carini nous embarque dans une exploration drolatique et raconte avec beaucoup d'humour les aléas de son personnage. Un récit émancipateur qui vous guérira de la morosité ambiante. Tout autant que du "maître".

Découvrez la vie de Frederick Douglass et les obstacles qu'il a dû surmonter pour devenir un homme libre. Ce livre est un témoignage rare, précieux, qu'il nous faut lire et relire.De ces pages de l'Histoire noircies par nos appétits les plus vils, apparaît un parcours d'exception, celui de Frederick Douglass, ancien esclave qui raconte son vécu face aux propriétaires blancs du nord de l'Etat.Il parle du racisme, de l'hypocrisie religieuse, de la violence des propriétaires terriens. Son courage, sa force, sa foi en quelque chose de plus vrai ou de plus grand, lui ont permis de se libérer du joug des blancs sur les noirs.Toute sa vie il s'est engagé politiquement pour défendre les droits des noirs afro-américains. Le lire c'est ne pas oublier son combat et continuer de faire vivre son écriture.

Moom Moster traverse différents époques en compagnie de la poésie sublimante. Un djinn revient d'un long périple à travers les siècles, il prend possession du corps d'une jeune poétesse. Il en est complètement fou amoureux, lui déclame sa poésie, tantôt en français, tantôt en arable.La jeune poétesse amoureuse, elle aussi, émigre clandestinement, en compagnie du djinn, vers l'étranger, pour fuir le harcèlement traditionnaliste où elle vit.

La présente histoire revisitée de la peinture confronte l'Occident à son principal démon, qui s'est immiscé au sein de ses rouages les plus intimes dès la Renaissance : la mélancolie, et l'incapacité pour l'homme à se positionner de manière sereine face au monde. Pour triompher de cette aporie, se succède au fil des siècles une série de peintres tenants d'un style héroïque d'obédience nietzschéenne, capable de confronter le désordre dionysiaque du monde à la mesure apollinienne.