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  • von Matthia Lobke
    29,80 €

    Lumière, structure, ligne, ombre = photographie Detlef Orlopp (*1937) a débuté en 1955 son apprentissage de photographe et aujourd'hui, 70 ans plus tard, l'artiste a derrière lui une oeuvre éclatante. Jusque 1973, il a aussi été professeur à l'école d'arts appliqués (Werkkunstschule) de Krefeld. En 2015, le musée Folkwang d'Essen lui achète une part importante de ses archives. Entièrement voué à la photographie analogique en noir et blanc, l'artiste « peint » avec la lumière, la structure, la ligne et l'ombrage dans le champ thématique des paysages et des portraits. Il choisit des détails de la surface de la terre dont il dissimule l'origine matérielle et réduit l'immensité à la perspective en profondeur de la surface. La comparaison insuffisante de grandeurs donne naissance à un ordre nouveau de l'image que le degré d'abstraction affranchit au niveau des formes. Les détails de paysages de Detlef Orlopp ne sont ancrés ni dans le temps ni dans l'espace, ce sont des abstractions reconverties en éléments imagés structurels. Ils ancrent l'artiste dans l'art moderne du 20 e  siècle. Le tachisme de Wol, la structure « all-over » des drippings de Jackson Pollock, la gestuelle d'un Hans Hartung dont il a notamment vu le travail à Documenta 2 ont prescrit la ligne et la structure de ses images photographiques qui font souvent l'effet de traits de pinceau. Le cahier grand format « Partout nos traits éclatent » (Überall splittern unsere Gesichtszüge) paru à l'occasion de l'exposition montre pour la première fois des travaux de la série des glaciers.     Exposition : Kunstverein Heilbronn, 24/2 - 5/5/2024

  • von Barbara J. Scheuermann
    29,80 €

    Le (cauchemar) de l'homme parfait Louisa Clement s'intéresse dans son travail à la question de la présence humaine dans l'artificiel ou, le cas échéant, à la présence de l'artificiel dans l'humain. Elle a d'abord fait sensation avec son oeuvre « Représentantes » (Repräsentantinnen) (2021) où elle fait intervenir 10 clones robotisés qui, en plus d'une ressemblance parfaite avec elle, disposaient par le biais de la technologie d'un accès à toutes les informations et données personnelles la concernant. L'IA leur permettait d'imiter l'artiste et de la reproduire le plus fidèlement possible jusqu'à en devenir les revenants, pourtant dotés chacun d'une vie propre. Louisa Clement a aussitôt été élue à l'unanimité pour le prix d'art de la ville de Bonn 2023 : « Malgré sa jeunesse, l'artiste Louisa Clement a déjà créé une oeuvre à la force et la cohérence exceptionnelles... et a convaincu [le jury avec son] projet [inédit] qui se situe à la jonction de l'art et de la science, tout en traitant des sujets d'actualité brûlants tels que le rapport entre l'homme et l'intelligence artificielle, l'individu et l'algorithme, l'expérience et le flux de données. » Pour l'exposition au Kunstmuseum de Bonn (22.2-16.6.2024), elle développera et perfectionnera son travail actuel intitulé « Compression » (2023), une capsule métallique de 2 cm de haut qui contient un ADN synthétique généré à partir des jeux de données tirées de l'oeuvre complet de l'artiste jusqu'à aujourd'hui et doit le conserver pendant 1000 ans. Exposition : Kunstmuseum Bonn, 22/2 - 16/6/2024

  • von Julius Osman
    29,80 €

    Hannover - Mont Ventoux Avec Christian Ratschlag, son lauréat 2023, le PRIX SPRENGEL poursuit sans dévier dans la nouvelle direction engagée en 2021. Lancé par Bernhard et Margrit Sprengel en 1979, la responsabilité en a été transférée à la fondation de la caisse d'épargne de Basse-Saxe Niedersächsische Sparkassenstiftung en 1991 et il est géré et attribué conjointement par la Niedersächsische Sparkassenstiftung et le ministère de la science et de la culture (MWK) de Basse-Saxe depuis 2021. Le changement d'orientation est lié à une forte augmentation de la dotation financière, mais aussi et surtout à la bourse de voyage en Europe qui est désormais associée au prix, avec une exposition au musée Sprengel de Hanovre et la publication d'un catalogue. L'intention derrière l'attribution, justifiée par la longue et riche histoire des échanges culturels entre les peuples, de la bourse de voyage qui fait partie intégrante du concept de prix et d'exposition est l'ancrage de la Basse-Saxe dans l'Europe et de son idée spécifique d'un ordre social libéral-démocratique.   Exposition : Sprengel Museum Hannover,  18/11/2023 - 3/3/2024

  • von Jochen Kienbaum
    48,00 €

    Pensées et sentiment ! Louisa Clement s'intéresse dans son travail à la question de la présence humaine dans l'artificiel ou, le cas échéant, à la présence de l'artificiel dans l'humain. Elle a d'abord fait sensation avec son oeuvre « Représentantes » (Repräsentantinnen) (2021) où elle fait intervenir 10 clones robotisés qui, en plus d'une ressemblance parfaite avec elle, disposaient par le biais de la technologie d'un accès à toutes les informations et données personnelles la concernant. L'IA leur permettait d'imiter l'artiste et de la reproduire le plus fidèlement possible jusqu'à en devenir les revenants, pourtant dotés chacun d'une vie propre. Louisa Clement a aussitôt été élue à l'unanimité pour le prix d'art de la ville de Bonn 2023 : « Malgré sa jeunesse, l'artiste Louisa Clement a déjà créé une oeuvre à la force et la cohérence exceptionnelles... et a convaincu [le jury avec son] projet [inédit] qui se situe à la jonction de l'art et de la science, tout en traitant des sujets d'actualité brûlants tels que le rapport entre l'homme et l'intelligence artificielle, l'individu et l'algorithme, l'expérience et le flux de données. » Pour l'exposition au Kunstmuseum de Bonn (22.2-16.6.2024), elle développera et perfectionnera son travail actuel intitulé « Compression » (2023), une capsule métallique de 2 cm de haut qui contient un ADN synthétique généré à partir des jeux de données tirées de l'oeuvre complet de l'artiste jusqu'à aujourd'hui et doit le conserver pendant 1000 ans.

  • von Susanne Pfleger
    39,80 €

    Die Kunst der MonotypieSammlungsschwerpunkt und Alleinstellungs­merk­mal der Städtischen Galerie Wolfsburg sind gra­fische Werke, von denen zahlreiche in der Druck­werkstatt im Schloss Wolfsburg entstanden sind. Beim Ausstellungsprojekt (April bis August 2022) »Surprise. Die Kunst der Monotypie« stand die Monotypie im Fokus, entsprechend stellt nun das Buch mit Arbeiten internationaler KünstlerInnen diese Medium in seinen verschiedenen Facetten vor. Die Monotypie ist eine spannende Verbindung von Malerei, Zeichnung und Grafik. Das um 1640 erstmals eingesetzte Verfahren erlebte im 19. Jahrhundert einen ungeahnten Siegeszug, insbesondere die Impressionisten schöpften die Potenziale dieser zwischen Zeichnung und Druck oszillierenden Technik virtuos aus. Das Verfahren fordert zur raschen Umsetzung eines Bildes auf und übersetzt die künstle­rische Handschrift wirkungsvoll ins gedruckte Bild. Das Buch zeigt Monotypien ­zahlreicher KünstlerInnen, darunter Werke bedeutender ­VertreterInnen der Moderne wie John Cage oder Edgar Degas, Arbeiten zeitgenössischer Künstler­Innen wie Herbert Brandl, Shara Hughes, Mia Chaplin, Günther Förg oder Gerhard Richter u. v. a.

  • von Andreas Baur
    48,00 €

    Hier und JetztAïcha hat einiges erlebt: Als Adoptivkind nach Frankreich gekommen, ist sie dort in schwierigen Verhältnissen aufgewachsen. Heute lebt sie auf Mallorca und hat sich voller Konsequenz in das Abenteuer Malerei gestürzt. Ihre Bilder sind un­mittelbar, unverstellt - sie sind, was die Biografie der Künstlerin anbelangt, geprägt von einer tiefen Authentizität, die die Betrachter­Innen zum Ein­tauchen in ihre Lebensumstände einlädt. Lebensgroß ­begegnen einem die Figuren auf den großforma­tigen Bildern jüngeren Datums, die den ­Dialog mit uns auf Augenhöhe suchen. Aïcha malt sich ihre Geschichte von der Seele. In ihrer ­Bilderwelt kehrt sie zurück in ihre Kindheit und ­Jugend, meistert sie die Dinge des ­alltäglichen ­Lebens, orchestriert sie die kleinen Geschichten. Und doch ist im Hintergrund stets etwas Bedroh­liches, fast eine düstere Stimmung zu erahnen. Der Bildaufbau wirkt dabei ­klassisch, die Interaktion der Bildgegenstände ist formal völlig souverän konzipiert, die Motive teilen sich bei der Betrachtung ­unmittelbar mit. Aïcha könnte eine herausragende Akteurin der Art Brut ­gewesen sein, doch sie malt im Hier und Jetzt, so dass ihre gewaltige Bildsprache ist nicht anders als sensationell zu nennen ist.

  • von Marc Gundel
    42,00 €

    Gregor Schneider Preisträger Ernst Franz Vogelmann-Preis für Skulptur 2023Den Räumen nie entkommen zu können, weil sie gesellschaftlich und durch Tabus aufgeladen sind, weil sie neben ihrer physischen auch eine psychische Wirkung entfalten, kennzeichnet die künstle­rische Haltung von Gregor Schneider. ­Gregor Schneider, 1969 in Rheydt geboren, ist 2001 mit »Totes Haus u r« schlagartig einer breiten Öffentlichkeit bekannt geworden, nachdem die Arbeit auf der Biennale in ­Venedig mit dem Goldenen Löwen ausgezeichnet worden war. Nun erhält er, nach Roman Signer, Franz ­Erhard Walther, Thomas Schütte, Richard Deacon und Ay¿e Erkmen, den Ernst Franz Vogelmann-Preis 2023 für Skulptur. Der seit 2016 an der Kunst­­­akademie Düsseldorf lehrende Künstler »schaut hinter die Fassade der Dinge und definiert nebenbei die Begriffe Bildhauerei und Installation neu«, begründete die Jury ihre Wahl. Und in der Tat, seine biografisch fundierte Agenda bildet den ­irritierenden ­Ausgangspunkt seiner Arbeiten, die die Be­sucherInnen zu handelnden AkteurInnen ­werden lassen.Ausstellung:Kunsthalle Vogelmann, Heilbronn, 15/7 - 29/10/2023

  • von Lynn Kost
    48,00 €

    Die Form im Dienst des InhaltsDie Installationen der in Berlin lebenden Künst­lerin Sung Tieu (*1987 Hai Duong, Vietnam) ­be­schäf­tigen sich mit dem wechselseitigen (Zwangs-) Verhältnis von Bürokratie und Identität. Ausgangspunkt ihrer Arbeiten bilden ihre ­Recherchen über das Anwerbeabkommen für vietnamesische VertragsarbeiterInnen in der ehemaligen DDR. Vor dem Hintergrund ihrer eigenen Biografie begann sie sich mit den komplexen soziopolitischen Hintergründen dieses spezifischen Migrationskontextes zu beschäftigen. Es überlagern sich darin Aspekte des Arbeitsregimes, der Regulierung von Wohnraum und der Kontrolle der Privatsphäre. Diesen migrationspolitischen und ökonomischen Zusammenhängen spürt Sung Tieu in ihrer ­Archivarbeit systematisch nach und verdichtet ihre Forschungsergebnisse in Rauminstallationen, die Objekte, architektonische Interventionen, Dokumente, Zeichnungen, Videos und Toneinspielungen miteinander kombinieren, zu atmosphärisch eindrucksvollen audiovisuellen Erzählungen. ­Formalästhetisch sind ihre Arbeiten an Minimal Art und Konzeptkunst angelehnt. Was zunächst im Widerspruch zum politisch-narrativen Ansatz der Künstlerin zu stehen scheint, repräsentiert ­jedoch eine Form des kritischen Engagements, das den konventionellen Glauben an die Auto­nomie der Kunst und ihrer Interpretation auf die Probe stellt. Für Tieu steht die Form im Dienst des Inhalts. Das zeigt auch die Gestaltung dieser Publikation, die einen Teil von Tieus Recherchematerial und Archivalien sowie ihre gesamten ­Serien bürokratischer Dokumente in einer strengen Rasterstruktur reproduziert. Kunsthistorische ­Essays und ein Interview mit der Künstlerin geben uns zusätzlich Auskunft über weitere wichtige ­Einflüsse und Bezüge ihres Kunstschaffens.Ausstellungen:Kunst Museum Winterthur, 16/9 - 19/11/2023Kunsthalle Nürnberg, 9/3 - 9/6/2024

  • von Martin Schick
    48,00 €

    Auftrag als Konzept»Wenn ich durchs Museum gehe, kann ich sagen, welches Bild nach Modell entstanden ist und welches nicht!« ­- Caroline von Grone hat einen scharfen und unbestechlichen Blick für Situationen und Porträts. 1991 war sie ­Meisterschülerin bei Klaus Rinke an der Kunst­akademie Düsseldorf und hatte sich, ganz un­typisch für jene Zeit, auf das Porträtmalen ­verlegt, entweder mit Modellen, die sie etwa in ­U-Bahnhöfen angesprochen hatte, oder mit Personen, die ein Porträt bei ihr be­stellt hatten. Es ist eine ihrer Stärken, dass sie ­Beobachtungen »nicht erfindet«. Das geht mit einer Sehschärfe einher, die den ­BetrachterInnen einen ­großen Genuss beschert. Denn die Bilder offerieren ein ums andere Mal auch das Bild im Bild, etwa abstrakt aufgefasste Kachelwände, ­Bodenfliesen oder die Interieurs öffentlicher Orte wie ­Telefonzellen oder Fahrkartenautomaten. Immer wieder hat sie auch Häuser ­gemalt, etwa Häuser einer norddeutschen Siedlung, bevor sie dann abge­rissen wurden. Gerade auch solche finalen Zustände haben sie interessiert - eine Art Gegenpol zur Fotografie etwa der Bechers. Immer Teil ihrer Praxis war für Caroline von Grone das Malen in der Öffentlichkeit, denn sonsten beäme sie »die still­lebenhafte Präsenz in das Bild nicht rein, wenn ich das nach einem Foto versuchen würde«.Ausstellung:Galerie der Stadt Backnang, 13/5 - 13/8/2023

  • von Matthias Kunz
    29,80 €

    Wenn tausend Blüten den Fasan erklimmenAustin Eddy formuliert in seinem malerischen Werk Widersprüche, greift auf kubistische Traditionen zurück und sucht die Balance zwischen Figuration und Abstraktion. Seine figurativen Elemente falten sich zu nächtlichen Landschaften, Gebäude werden zu isolierten Ansichten scheinbar klaustrophobischer Räume, schwebende Wolken ähneln knolligen Fingern - und alle sind zugleich Porträts, Stillleben und Landschaften. Austin Eddys Werk verweist formal und konzeptuell auf die amerikanische Moderne, das Besondere an ihm aber beschreibt niemand besser als der Künstler selbst: »Ich denke, die Gemälde versuchen ständig, einen Weg zwischen Realität und Abstraktion zu finden. Ich bin daran interessiert, die Grenzen auszuloten, wie weit man die Konversation zwischen beidem ausdehnen kann. Die Gemälde haben ihre Wurzeln in Erzählungen aus dem richtigen Leben, sind aber nicht notwendigerweise daran gebunden, die Realität zu repräsentieren. Um sie an die Erde zu binden, versuche ich, die Zeit zu nutzen. Das Licht spielt eine entscheidende Rolle, wenn man verstehen will, wie diese Bilder funktionieren. Nicht nur im Sinne der Tageszeit, sondern auch im Hinblick auf die mögliche Dauer eines Ereignisses. Der Versuch, einen Nachmittag in einem Moment einzufangen - oder die Hektik des Fliegens in der Stille eines Bildes - reizt mich besonders. Da ich darauf aus war, die Bildsprache zu vereinfachen, finde ich es wichtig, dass sie durch die Farbe der entsprechenden Zeit in die natürliche Welt zurückgeholt werden.«Ausstellungen:Académie Conti, Le Consortium, Dijon 3/7 - 9/10/2022Knust Kunz Gallery Editions, München, 29/9 - 12/11/2022

  • von Bill Viola
    39,80 €

    Erstmals »Ausgewählte Schriften und Vorträge« auf DeutschBill Viola (*1951 in New York City) gilt als einer der wichtigsten Pioniere und Vertreter der Video­kunst. Das Buch ist als Reader konzipiert, der ­In­teressierten Violas eindringliches visuelles Werk anhand dessen eigener bildhafter Sprache entdecken lässt. Ergänzend geben die dialogisch gesetzten Texte einen Einblick in die Tiefe seines künstlerischen Denkens, das sich aus einem weitreichenden Netzwerk an Einflüssen und Gedanken formt.Ausstellung:Museum der Moderne Salzburg, 16/7 - 30/10/2022

  • von Christina Vegh
    29,80 €

    Ein neuer Blick auf das ElementWasser ist in hohem Maße indifferent. Einerseits ist es allgegenwärtig, Ursprung allen Lebens und somit aufs Engste mit dem Dasein in all seinen ­Dimensionen verknüpft. Andererseits hat es keine feste Form, keine spezifische Farbe oder einen ­eigenen Geruch; es kennt unzählige Erscheinungs­­­weisen und entzieht sich der Festlegung auf eine einzige Bedeutung und somit einer end­gültigen ­Bestimmungsform. Es steht in Relation zur Um­gebung, macht unseren blauen Planeten und ­unseren eigenen Körper aus, es verbindet als Handelsweg und trennt als Grenze, es dient zur Reinigung oder zur Erholung und ist zugleich gefährlich, ein potentieller Un­glücks­ort. Es markiert ­spirituelle Kräfte und mutiert in Zeiten neo­liberaler Wirtschaftsordnungen zur hart umkämpften Ware. Schließlich verweist Wasser als Ressource auf die dringendste gesellschaftliche Fragestellung im 21. Jahrhundert: die Klimakrise. Zugleich hat das Besondere dieses Themas den Kuratorinnen der Kunsthalle Bielefeld neue ­Perspektiven auf die eigene Sammlung eröffnet und damit Anknüpfungspunkte an aktuelle globale sowie gesellschaftliche Debatten geboten. Das Thema Wasser führt zu vielschichtigen Fragen, die Kultur, Natur, Politik, Wirtschaft, Körper und Geist betreffen und ist damit als Gegenstand facettenreicher, internationaler kuratorischer sowie künstlerischer und wissenschaft­licher ­Projekte hochaktuell und allgegenwärtig. Die Beobachtung, dass außer­­-gewöhnlich viele Werke der Sammlung der Kunsthalle das Element Wasser thematisch aufgreifen, macht nicht nur deutlich, dass das Thema für KünstlerInnen mit unterschiedlichsten formalen wie narrative ­Ansätzen attraktiv ist. Ein wichtiger Impuls für Ausstellung und Buch ging ­allerdings von der US-Künstlerlin Roni Horn und ihrem Werk »Saying Water« (2012) aus. In ihm führt sie einen Monolog über das Wasser und macht uns klar, dass wir alle etwas anderes meinen, wenn wir über Wasser sprechen. So hat ihre bedeutende Arbeit der Ausstellung Dem Wasser folgen den Weg geebnet und für einen neuen Blick auf das Element gesorgt.Ausstellung:Kunsthalle Bielefeld, 4/6 - 16/10/2022KünstlerInnen:Katinka Bock, Carolina Caycedo, Lovis ­Corinth, Catherina Cramer & Giulietta Ockenfuß, Ludwig Dill, Karl Ellermann, Max Ernst, Lyonel Feininger, Conrad Felixmüller, Hermann Freudenau, Henri Gaudier-Brzeska, Hella Guth, Franz Hecker, Klara Hobza, Ferdinand Hodler, Ludwig von ­Hofmann, Roni Horn, Axel Kasseböhmer, Jacques Lipchitz, Henri ­Manguin, Anton Melbye,Otto Modersohn, Gabriele Münter, Kenneth Noland, Adrian Paci, Enrique Ramírez, Ernst Sagewka, Robert Smithson, Hiroshi Sugimoto, Heinrich Vogeler u. v. m.

  • von Christina Vegh
    39,80 €

    ConnectionsThomas Ruff (*1958) und James Welling (*1951) gehören zu den bekanntesten Fotokünstlern der Gegenwart. In ihren Werken ­erforschen sie die Bedingungen der visuellen Wahrnehmung, auch in Bezug auf unseren ­Einsatz der fotografischen Apparatur, und die Konditionierung unserer Sicht auf die Welt durch fotografische Bilder. Die Ausstellung »Dunkle Materie. Thomas Ruff und James Welling« und der gleichnamige Begleitkatalog konzentrieren sich auf Arbeiten, die dem fotografischen Bild neue Möglichkeiten abringen und unser Vorstellungsvermögen erweitern. Wir nehmen unsere Umwelt subjektiv wahr, wir sehen und fühlen sie vor dem Hintergrund dessen, was wir in tradierten Bildern und Wörtern fassen und verstehen ­können. Rund achtzig Prozent der Materie im ­Universum bestehen aus einem Stoff, den wir nicht kennen: Dunkle Materie. Verhält es sich ­ähnlich mit dem fotografischen Bild? Verbirgt es mehr, als es zeigt?Ausstellung:Kunsthalle Bielefeld, 5/11/2022 - 5/3/2023

  • von Michael Buhrs
    78,00 €

    The Emergency Will Replace the ContemporaryIm September 2020 konzipierte der in Kopen­­hagen lebende Künstler Thierry Geoffroy / Colonel, geb. 1961 in Nancy, Frankreich, THE AWARENESS MUSCLE TRAINING CENTER im Museum Villa Stuck in München. Im Anschluss an dieses intensive partizipatorische Ausstellungsprojekt entstand die Idee, die erste umfassende Monografie zum facettenreichen Werk des Künstlers in den letzten vierzig Jahre zu erstellen. Die Publikation umfasst alle künstlerischen Formate, darunter die prominentesten - Emergency Room, Critical Run und Biennalist -, die in der ganzen Welt realisiert ­wurden. Ebenso beleuchtet werden die mit Colonels Aktivitäten verbundenen physischen Kunstwerke, die von Fotografie über Bewegtbilder bis hin zur Malerei reichen. Weiteres Element der ­Publikation ist eine vollständige Chronologie, die Geoffroys künstlerischen Aktionsradius dokumentieren. In den begleitenden Texten geht eine internationale Autorschaft auf die verschiedenen Aspekte des Werkes ein und erläutert, wie seine künstlerische ­Praxis mit konzeptuellen Mitteln sowie ortsspezi­fischem Ansatz die Aufmerksamkeit auf Manifestationen der Macht und der Ungerechtigkeit lenken.

  • von Henrike Mund & Christina Vegh
    29,80 €

    Dóra Maurer nimmt eine Sonderstellung einDóra Maurer (*1937, lebt in Budapest) gilt als ­prominente Vertreterin der Neo-Avantgarde. Sie gehört damit zu den KünstlerInnen, die seit den 1960er Jahren progressive Wege jenseits der ­offiziellen staatlichen Kulturpolitik Ungarns beschritten haben. Ihre Arbeiten, die Grafik, Fotografie, Film, Aktionskunst und Malerei umfassen, zeigen klare konzeptuelle Herangehensweisen, wobei als die zentralen Aspekte Wahrnehmung, Bewegung, Verschiebung und Transformation zu nenen sind. Die Abstraktion, insbesondere die­jenige der ­frühen Jahre der Bundesrepublik Deutschland, kann heute als eine politische ­»Bereinigung« eingestuft werden, stand sie doch stellvertretend für die »offene Gesellschaft«. Entsprechend sind zahlreiche Sammlungen in deutschen Museen ausgerichtet, darunter auch die der Kunsthalle Bielefeld (Ausstellung von Dóra Maurer in Bielefeld: 29/1-15/5/2022). In ehemaligen Ostblock­ländern wie Ungarn aber, hatte die Abstraktion eine »oppositionelle« Konnotation. Durch die Nicht-Gegenständlichkeit ihrer Arbeiten, die im Gegensatz zur offiziellen Vorgabe des Sozialis­tischen Realismus stand, nimmt Dóra Maurer eine Sonderstellung ein. Verstärkt wurde das durch ­ihre Kontakte und Reisen in den Westen, die für sie aufgrund ihrer doppelten ungarischen und österreichischen Staatsbürgerschaft schon vor 1989 möglich waren. Ihre Experimente in den ­Medien Fotografie und Film in den 1970er Jahren sowie ihre auf prozessualer Verschiebung beruhen­den abstrakt-geometrischen Arbeiten weisen eine offensichtliche fomale Parallelität zur Nachkriegskunst Westeuropas und der USA auf. ­Tatsächlich jedoch sind ihre Arbeiten ohne die ­Erfahrung des Lebens unter dem kommunistischen Regime nicht zu denken.

  • von Larissa Kikol
    39,80 €

    Anselm Reyle in HeilbronnAnselm Reyle gehört zu den international ­renommiertesten deutschen Künstler­I­nnen ­seiner Generation. In Tübingen geboren und in Heilbronn aufgewachsen, wird er nun die gesamte Kunsthalle Vogelmann bespielen. Die Liste seiner Ausstellungsorte liest sich wie das Who's Who der Kunstwelt: von der Kunsthalle ­Zürich bis zum Palazzo Grassi in Venedig, von den Deichtorhallen Hamburg bis zur Kunsthalle Tübingen. Seine Kooperationen, z. B. mit Dior für eine exklusive Handtaschenserie, sind legendär. Auf verblüffende Weise mischt Anselm Reyle Stile, Farben und ­Materialien, arbeitet mit Autolack, PVC- und Spiegel-folie, Sprühfarbe, LED-Leuchten, Beton oder Ton. Fundstücke als Ausgangsmaterial spielen in ­seinem Werk immer wieder eine herausragende Rolle, wobei es sich dabei ebenso um Elemente aus den Werken anderer KünstlerInnen wie um Alltagsobjekte, Architekturen oder auch um ­Design handeln kann. Entsprechend bestimmen ­Reflexion, Aneignung, ­Um- und Neuformulierung seine Arbeitsweise. Die Betrachter­Innen verfangen sich denn auch im überraschenden Beat gegensätzlicher formaler wie materieller Samplings, in denen sich das gesamte ­Bildrepertoire moderner abstrakter Bildfindung wiederfindet. Das geplante Buch wird die in Heilbronn vor Ort entstehenden raumgreifenden Wandarbeiten zeigen, die neueste Werkserie mit Bildern auf Sack­leinen präsentieren und auch einen Blick auf Anselm Reyles früheres Schaffen werfen.Ausstellung:Kunstverein Heilbronn, 8/7 - 23/10/2022

  • von Lynn Kost
    39,80 €

    Nochmals zur InstallationSeit den 1960er Jahren hat sich die Installation zu einer wesentlichen Gattung der Kunst entwickelt. Sie konfrontiert das Publikum mit einer Fülle von Informationen und einer Vielzahl zeitgleicher Ereignisse, welche die Aufnahmefähigkeit permanent herausfordern - ein in der heutigen Wissensgesellschaft allgegenwärtiger Zustand. In Rauminstallationen finden klassische Kunst­gattungen kaum mehr Verwendung, sie werden hauptsächlich mit Alltagsgegenständen, Ready-mades und Neuen Medien inszeniert. Das Publikum findet sich beim Betrachten mitten im Werk wieder, alle Sinne werden angesprochen, und insbesondere Film, Video, Licht, Sound und Gerüche erweitern das übliche ästhetische Erlebnis in eine ganzheitliche Erfahrung. Die innere Dichte wird fortwährend mitproduziert, indem die zahlreichen Eindrücke subjektiv geordnet und situativ zusammengesetzt werden. Durch die Verwendung neuer digitaler Medien haben Installationen zusätzlich an Komplexität gewonnen. Die klare Trennung zwischen Kunstwerk und Publikum löst sich zugunsten multimedialer Räume auf, in denen die Welt buchstäblich aus den Fugen zu geraten scheint. Die Publikation Welt aus den Fugen zeigt anhand von neun raumgreifenden Installationen internationaler zeitgenössischer KünstlerInnen der jüngeren Generation, wie heute auf die akutellen Themen Klimawandel, künstliche Intelligenz, Krypto-Evolution, Ökologie, Identitätspolitik und Migration reagiert wird. Der Band bietet zudem mit einem Glossar einen vielschichtigen Überblick zu den wesentlichen Begrifflichkeiten.Ausstellung:Kunst Museum Winterthur, 21/5 - 14/8/2022KünstlerInnen:Ed Atkins, Julian Charrière, Simon Denny, Lizzie Fitch / Ryan Trecartin, Fabien ­Giraud & Raphaël Siboni, Anne Imhof, Pamela Rosenkranz, Sung Tieu, Raphaela Vogel

  • von Rainer Michael Mason
    98,00 €

    »Der malende Partisan«»Der malende Partisan« wurde Georg Baselitz jüngst von Cornelius Tittel in einer Rezension (3.11.2021) in der Welt zur soeben gestarteten großen Retrospektive im Centre Pompidou genannt. Für Heiner Müller war (1991) in einem Gespräch mit Alexander Kluge der Partisan »in einer modernen, also technokratisch definierten Struktur so etwas wie ein Hund auf der Autobahn«. Und in diesem ­Außenseitertum sieht Tittel den Künstler Georg Baselitz über die Jahrzehnte zu einem ­Monolithen werden, den »die Académie des Beaux-Arts nun als einzigen Deutschen in ihre ­Reihen aufgenommen hat. Das Schwert, das er während der feierlichen Zeremonie überreicht ­bekommen hat, soll seine Unsterblichkeit symbolisieren. Es hätte es nicht mehr gebraucht.« Zusammen mit ­den Herausgebern Rainer ­Michael Mason und Detlev Gretenkort zeigen wir jetzt das ­Erscheinen von Band IV (1989-1992) des druckgraphischen ­Werkes für das Frühjahr 2022 an; enthalten sind die Werknrn. 718-1010. Wie schon beim Erscheinen von Band III ausgeführt, steht es außer Frage, dass das druckgraphische OEuvre bei Georg ­Baselitz eigenständig neben seinem malerischen und bildhauerischen Schaffen steht. Der Künstler hat das Medium nicht nur in der Vielfältigkeit seiner verschiedenen technischen Ansätze und Lösungen seit Jahrzehnten geprägt, sondern es durch seine beispiellose Virtuosität in die erste Reihe der Kunst der Nachkriegsmoderne gerückt.Ausstellung:The Retrospective; Centre Pompidou, Paris, 20/10/2021 - 7/3/2022Archinto; Palazzo Grimani, Venedig, 19/5/2021 - 27/11/2022

  • von Bruno Brunnet
    19,80 €

  •  
    39,80 €

    Zürich und die Kunst der 1920er JahreDie 1920er Jahre stehen wie kein anderes Jahrzehnt für Aufbrüche und Rückfälle. In keiner anderen Periode des 20. Jahrhunderts war die Sehnsucht der Menschen nach Neuerungen wohl so gross wie zu jener Zeit. Urbanistische Visionen wurden entworfen, Städte wuchsen in rasanter Geschwindigkeit, klassische gesellschaftliche ­Rollenbilder wurden hinterfragt und aufgebrochen, benachteiligte bzw. unterdrückte Minderheiten ­verschafften sich Gehör in Kultur und Politik. An die Seite eines die Interessen der Arbeiter be­rücksichtigenden Alltags gesellte sich eine ­wachsende Freizeitindustrie. Der hohe Innova­tionsgrad dieser Zeit fand direkten Niederschlag in der Experimentierfreudigkeit der Künste. Überraschend ist, dass deren Erzeugnisse nichts von ihrer Aktualität eingebüsst haben. Anders als bei vielen Ausstellungen, die sich den 1920er Jahren gewidmet haben, werden Schau und Buch Stilrichtungen wie Bauhaus, Dada, Neue Sachlichkeit sowie Design- und Architekturikonen des Modernismus nicht separat betrachten, sondern sie in Dialog setzen, wodurch die Stilheterogenität jener Aufbruchsjahre besonders deutlich hervortritt. Der Fokus richtet sich auf Berlin, Paris, Wien und Zürich, dabei werden alle Medien wie Malerei, Plastik, Zeichnung, Fotografie, Film und Collage erfasst. Auch soll den weniger bekannten Positionen, insbesondere denen von Frauen, eine Plattform geboten werden. Zeitgenössische Künstler- innen und Künstler, die sich explizit mit der Formen­sprache und den Themenstellungen der 1920er Jahre befassen, schlagen die Brücke in unsere Gegenwart.Künstler*innen:Josef Albers, Hans Arp, Kader Attia, Johannes Baargeld, Marc Bauer, Benito, Erwin ­Blumenfeld, Constantin Brancusi, André ­Breton, ­Marcel Breuer, Suse Byk, Coco Chanel, Serge ­Charchoune, Salvador Dalí, Adolf Dietrich, ­Otto Dix, Dodo, Kees van Dongen, Theo van ­Doesburg, Marcel Duchamp, Jean Dunand, Max Ernst, Theodore Lux Feininger, Hans Finsler, Barthel Gilles, Natalja ­Gontscharowa, George Grosz, Max Ernst Haefeli, Raoul Hausmann, Raphael Hefti, Heinrich Hoerle, René Herbst, Hannah Höch, Karl Hubbuch, Martin Imboden, ­Johannes Itten, Pierre Jeanneret, Rashid Johnson, Paul Joostens, Gemaine-Paule Jourmard, Grete ­Jürgens, Wassily Kandinsky, Elisabeth ­Karlinsky, Lajos Kassák, Ernst Ludwig Kirchner, Paul Klee, Frank Kupka, Rudolf von Laban, Michael Larianow, Le Corbusier, Fernand Léger, Lucien Lelong, Jacques Lipchitz, Jeanne Mammen, Elli Marcus, ­Fabian Marti, László Moholy-Nagy, Lucia Moholy, Piet Mondrian, Alexandra ­Navratil, Walter Niggli, Amédée Ozenfant, Trevor Paglen, Gret Palucca, ­Nicolas Party, Charlotte Perriand, Pablo Picasso, Paul Poiret, Ljubow Sergejewna Popowa, Man Ray, Georges Ribemont-Dessaignes, Hans Richter, Gerrit T. Rietveld, Vitorelli Rita, Hans Robertson, ­Ludwig Mies van der Rohe, Jean-Lambert-Rucki, Charlotte Rudolph, Thomas Ruff, Christian Schad, Xanti Schawinsky, Oskar Schlemmer, Wilhelm Schnarrenberger, Georg Scholz, Max Ulrich Schopp, Kurt Schwitters, Shirana Shahbazi, Mario Sironi, Veronika Spierenburg, Anton Stankowski, Warwara Fjodorowna Stepanowa, Niklaus Stoecklin, Hiroshi Sugimoto, Marianne My Ullmann, Félix ­Vallotton, Madeleine Vionnet, Nikolai Wassilieff, ­Gustav Wunderwald, Frantisek ZelenkaAusstellung:Kunsthaus Zürich, 3/7-11/10/2020

  • von Hubertus Butin
    24,80 €

    Das langersehnte neue »Begriffslexikon zur zeitgenössischen Kunst« bietet auf 376 Seiten einen kompakten Überblick über die wichtigsten Phänomene zeitgenössischer Kunst. Führende TheoretikerInnen unserer Zeit beschreiben, analysieren und bewerten in 90 Essays pointiert die Kunstentwicklung von 1960 bis heute. Gleichzeitig werden die für die Kunst einflussreichen Diskurse vorgestellt und ihre kulturelle Definitionsmacht ausgeleuchtet und hinterfragt. Die seit einigen Jahrzehnten zu beobachtende Intellektualisierung der Kunstgeschichte und Kunsttheorie ist unter anderem durch ihren interdisziplinären Anspruch gekennzeichnet: Neben den traditionellen Fragestellungen und Methoden haben sich längst etwa diskursanalytische, sozialhistorische, gendertheoretische, medienanalytische, postkoloniale und bildwissenschaftliche Sichtweisen etabliert. Dies betrifft gerade auch die zeitgenössische Kunst, zu deren anspruchsvoller Rezeption ein immer breiter werdendes Wissen und ein erhöhtes Theoriebewusstsein erforderlich sind. Mit dem vorliegenden Begriffslexikon soll eine Orientierungsmöglichkeit zur Hand gegeben werden: Die LeserInnen können sich sowohl einen Überblick über die zeitgenössische Kunst als auch über die von ihr nicht zu trennenden theoretischen Auseinandersetzungen verschaffen. Dabei wollen die Texte keine abgeklärte, kanonisierende Sicht vermitteln, sondern sind vielmehr selbst als Teil der aktuellen Debatten aufzufassen, zumal viele der Themen und Diskurse noch in Entwicklung begriffen sind. Die Beiträge weisen deshalb eine Form auf, die sich zwischen klassischem Lexikoneintrag und kritschem Essay bewegt. Am Ende der Texte, die zahlreiche Abbildungen enthalten, findet sich jeweils auch eine Auswahl einschlägiger Literatur für eine intensivere thematische Beschäftigung.

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