Über CLAUDIA ABROQLA
J'aspirais à Rome, à la maison, à quelqu'un d'autre. Quand le Nazaréen est entré à Jérusalem, ma servante et moi nous nous sommes glissés dehors, ennuyés, déguisés, et avons rejoint la foule frénétique.J'ai trébuché, saisi la bride d'un âne, levé les yeux et il était là. Son visage ? Laid. Talentueux.Il m'a regardé. Je veux dire qu'il m'a regardé. Mon Dieu, ses yeux étaient des yeux à mourir. Puis il s'en alla, ses rudes hommes s'engageant sur le chemin menant aux portes.La veille de son procès, j'ai rêvé de lui. Ses mains brunes me touchaient. Alors ça faisait mal. Puis du sang. J'ai vu que chaque paume de sa main était embrochée par un clou. Je me suis réveillé, en sueur, sexuel, terrifié.J'ai envoyé une note d'avertissement, puis rapidement habillé.« Ponce Pilate, Claudia est morte comme est mort le Christ, par toi, mais aussi pour toi.
Mehr anzeigen