Les Jeunes France (grands caractères)

Les Jeunes France, écrit par Théophile Gautier, est un livre captivant qui nous plonge au c¿ur de la bohème parisienne du XIXe siècle. Dans ce roman, l'auteur nous dépeint avec une plume incisive et poétique les aventures de jeunes artistes en quête de liberté et de beauté.

Au fil des pages, nous suivons les tribulations de ces "jeunes France", ces artistes marginaux qui rejettent les conventions de la société bourgeoise pour vivre pleinement leur passion artistique. Gautier nous offre ainsi un véritable panorama de la vie artistique de l'époque, entre salons littéraires, ateliers d'artistes et cafés animés.

Mais au-delà de cette peinture de la bohème, Les Jeunes France est également une réflexion profonde sur l'art et la création. Gautier nous invite à nous interroger sur la place de l'artiste dans la société, sur sa quête de l'absolu et sur les sacrifices qu'il est prêt à faire pour atteindre la perfection.

Avec une plume élégante et raffinée, Théophile Gautier nous transporte dans un univers foisonnant de couleurs, de passions et de rêves. Les Jeunes France est un livre qui ne laisse pas indifférent, qui nous pousse à réfléchir sur notre propre rapport à l'art et à la liberté.

Cette édition en grands caractères rend la lecture encore plus accessible et agréable, permettant à tous de se plonger dans cette ¿uvre majeure de la littérature française. Que vous soyez amateur d'art, de poésie ou simplement curieux de découvrir un pan méconnu de l'histoire littéraire, Les Jeunes France saura vous séduire par sa finesse et son originalité.

Impression en « gros caractères ».
Extrait : "Qu'est-ce que la vertu ? moins que rien, un mot
A rayer de la langue. Il faudrait être sot
Comme un provincial débarqué par le coche
Pour y croire. Un filou, la main dans votre poche,
Concourra pour le prix Monthyon. Chaude encor
D'adultères baisers payés au poids de l'or,
Votre femme dira je suis honnête femme.
Mentez, pillez, tuez, soyez un homme infâme,
Ne croyez pas en Dieu, vous serez marguillier ;
Et quand vous serez mort un joyeux héritier ..."