Neurophysiologie des drogues de club

Les drogues de club, telles que l'amphétamine ou la MDMA, le GHB et le Rohypnol, sont illégales, à moins que la personne ne dispose d'une prescription légale d'un médecin qui vient alors sur prescription médicale. Certaines drogues de club sont toujours illégales, comme la cocaïne. La consommation de drogues de club, en particulier chez les jeunes, comporte une série de risques. Elles provoquent la désorientation et la confusion, tout comme le Flunitrazepam, ce qui en fait des drogues potentielles pour le viol. Il est impossible de détecter le GHB dans l'organisme après sa consommation. Il a des effets secondaires importants et dangereux à fortes doses, tels que des troubles respiratoires, le coma et la mort. Ils sont fréquemment utilisés dans les boîtes de nuit pour obtenir des sensations fortes et de l'énergie. Les drogues contenant de la méthamphétamine créent une forte dépendance. Elles peuvent être mélangées ou coupées pour inclure de la méthamphétamine. Elles agissent sur le système nerveux central pour provoquer des changements d'humeur, de conscience et de comportement. Ces drogues sont fréquemment consommées par les jeunes adultes dans les soirées dansantes de nuit, les bars et les clubs de danse. Certaines de ces drogues ont été approuvées pour des usages médicaux comme le cannabis/marijuana dans certains pays. Pourtant, comme la majorité des gens consomment de la marijuana, certains régimes l'ont approuvée pour le traitement des formes graves d'épilepsie.