Über Un fou rire d'opéra
Riche d'ironie piquante, Un fou rire d'opéra, suivi de Cinquante moèmes primeur pour la jeunesse poursuit le réquisitoire du poète qui se révolte contre un Dieu cruel demeurant toujours «le premier peintre à avoir peint la femme sous les traits du diable». Le poète lui reproche également son mépris pour la race humaine, son indifférence face à la mercantilisation de la nature en se demandant : «Qui croirait un Dieu permettant qu'on tue / une Caretta Caretta pour sa carapace?» Et ainsi se confie Özdemir INCE à ses lecteurs : « je suis marié avec la poésie turque et toutes les poésies du monde sont mes amantes.»
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